La Mère
de Dieu est sur un nuage à un mètre du sol. Sous le nuage, je
vois comme une pluie d’or et le sol se met à fleurir.
Elle
parle en levant les bras :
Je vous
oins en vue de cette nouvelle année sur la terre. Que mon divin
Fils vous guide ! Il reste avec vous et vous protège. Il vous
rend forts de corps et d’esprit. Il ouvre votre cœur et habite
en vous. Chers enfants, je suis avec vous. Soyez fermement attachés
à ce que Dieu veut et qui est bon.
La Mère
de Dieu nous bénit avec son chapelet. L’apparition recule en diminuant
de dimensions jusqu’à disparaître complètement. Une phrase, en
lettres d’or, reste au-dessus de l’autel : « Marie, Mère de Dieu.»
Pendant
la prière du Rosaire qui précède la sainte Messe, saint Charbel
s’agenouille à l’autel et s’associe à la prière. Pendant la messe
apparaissent sainte Barbara et saint Robert Bellarmin, ce dernier
vêtu comme un moine. Ils s’associent à la prière.
Pendant
la Communion apparaît au-dessus de l’autel un signe qui m’est
inconnu.
Sievernich,
8 janvier 2001
Le lundi
8 janvier 2001 se tient dans l’église paroissiale de Sievernich
la sixième réunion de prière de l’Oasis bleue. Je ressens d’abord
une forte chaleur, puis à l’improviste je vois Marie, la Mère
de Dieu. Elle se meut dans les airs à gauche de l’autel. Elle
est habillée tout en blanc. Ses cheveux sont partiellement visibles
sur le côté du voile. Ils sont brillants comme l’or. La Sainte
Vierge sourit, son visage rayonne.
Elle
se met à parler :
Mes enfants,
je vous bénis et vous salue. Je me réjouis de votre venue et de
votre prière dans mon Oasis bleue. Sur chacun de vous je répands
mes grâces. Elles ne sont pas limitées à une seule personne. Ouvrez-moi
votre cœur. Laissez entrer mes grâces. J’ouvre les portes pour
mon cher divin Fils. Il voudrait être proche de vous, non seulement
comme un hôte ; il voudrait être « un » avec vous. Si vous vous
laissez guider par moi, c’est possible.
Ne vous
effrayez pas ! N’ayez aucune peur, car je suis auprès de vous
et, vous tenant par la main, je vous conduis à Jésus.
Souvent
vous êtes tentés. Il y a d’apparents empêchements qui tendent
à vous éloigner de la prière. Alors, appelez-moi et je viendrai
écraser la tête du serpent. Pensez-y lorsque vous êtes tentés
et appelez-moi. Je prierai mon Fils Jésus-Christ et il ne refusera
pas mon souhait de vous libérer de ces ténèbres.
Chers
enfants, soyez forts dans l’Oasis bleue, car moi je suis en elle
avec mon cher Fils. Votre bon directeur spirituel vous conduira
à mon divin Fils Jésus. Il possède ma grâce et en lui il y a aussi
la grâce de mon divin Fils Jésus-Christ. Il vous indique le chemin
; parcourez-le et n’hésitez pas ! Son action sur terre, celle
de mon divin Fils, celle de la Mère et celle de l’Oasis bleue
sont en vérité « une » dans la vérité du Père. Priez et ne vous
lassez pas. Priez et je déverserai mes grâces sur vous. Aujourd’hui,
j’ouvre vos âmes pour moi et pour mon Fils Jésus, telle est la
volonté du Père.
(Suit
une communication personnelle.)
La Mère
de Dieu me montre alors la sphère terrestre. Elle la tient des
deux mains et elle regarde par-dessus elle. Tenant toujours la
boule terrestre dans ses mains, elle s’incline vers le sol, en
passant à côté de nos bancs dans l’allée centrale. Puis elle retourne
directement vers l’autel.
Alors
trois roses apparaissent sur la sphère. Une jaune est sur l’Argentine,
une blanche sur l’Italie et une rouge sur l’Allemagne. Ces roses
sont très grandes.
La Mère
de Dieu parle :
Mon intime
désir est que les âmes soient enchâssées dans mon chapelet.
Devant
la Mère de Dieu sont agenouillés Robert Bellarmin, Padre Pio et
une religieuse que je n’ai pas pu identifier. Marie joint ses
mains et se met à prier, puis elle dit :
C’est
ainsi que je veux conduire et consolider mon Eglise. Je la conduis
à mon Fils, car telle est la volonté du Père. Je vous aime, mes
enfants.
Quelqu’un
recouvrera aujourd’hui la vue. J’ouvre cette âme pour mon Fils
Jésus. Telle est la volonté du Père.
Marie
s’en va lentement dans les airs, devient progressivement plus
petite, puis disparaît. Les trois autres personnes présentes,
agenouillées, continuent de prier.
Pendant
la sainte Messe je vois un pape défunt proche de l’autel. Il porte
un long manteau, très large. Il est très grand et sur sa mitre
on remarque une croix. Dans ses mains il porte un livre d’or.
Il dit : "Je vous aide."
Sievernich,
5 février 2001
Le lundi
5 février 2001 se déroule dans l’église paroissiale de Sievernich
le septième rassemblement de prière du groupe Oasis bleue. Je
ressens une forte chaleur. Je vois soudain la Mère de Dieu debout
à gauche de l’autel. Elle porte sur la tête une grande couronne
d’or et en dessous un voile blanc. Elle est habillée d’un manteau
rouge et d’une robe bleue. Ses cheveux sont partiellement visibles
sur le côté : de longs cheveux brun foncé, ondulés. Ses bras sont
étendus. En dessous d’elle un ovale irradie une lumière jaune
clair.
Elle
parle :
Je vous
salue et vous bénis, mes enfants. Je suis Marie l’Immaculée, Marie,
Mère de Dieu. Je me réjouis de votre présence, spécialement de
votre prière. Ainsi, mes enfants, vous parlez avec le Père, avec
le Fils, avec moi, la Mère. Combien vous aime mon divin Fils Jésus-Christ
! Aussi je veux pleinement vous conduire à lui.
Chers
enfants, Jésus est votre chemin ; il est votre but. Ne craignez
pas le monde, ne craignez pas les ténèbres, moi je vous guide
sur demande du Père, je vous guide au nom du Fils. Je suis avec
vous dans l’Oasis bleue. Je suis chez vous si vous êtes à la maison.
Où que vous soyez, si vous le désirez et si vous m’appelez, je
serai auprès de vous, car c’est la volonté du Père et celle de
mon divin Fils.
Toutes
les contrariétés que vous endurez, offrez-les à mon Fils. Transformez-les
en prières. Chers enfants, le serpent ne peut rien commander à
la Reine, qui au contraire, avec la permission du Fils, peut écraser
la tête du serpent. Je voudrais vous emmener vers le Fils, vers
le Père. Ne craignez rien. Faites-moi confiance. Je vous prends
par la main. Soyez comme un enfant et prenez la main que je vous
tends. Faites confiance à mon divin Fils. Dites plusieurs fois
par jour : « Ô mon Jésus, j’ai confiance en Vous ! »
Si c’est
moi qui vous conduis, vous ne pouvez vous égarer. Voyez combien
grande est l’erreur dans le monde ! Pourtant le Fils envoie l’Esprit
Saint et la Mère, afin que l’erreur ne tombe pas dans un sol qui
lui soit favorable, et que la vraie Eglise ne s’éteigne pas. Elle
deviendra une petite plante, mais dont les fruits seront abondants.
(Suit
une communication personnelle.)
Mes grâces,
je les répartis entre vous.
Maintenant
la Mère de Dieu vient vers chacun de nous et pose sa main sur
nos têtes.
Chers
enfants, ma grâce va aussi sur ceux pour lesquels vous priez.
Voyez ! Vous n’avez qu’à trouver le chemin qui conduit à moi.
(Suit
une communication personnelle.)
Priez,
mes enfants, priez pour l’Eglise, priez pour les pasteurs. Priez
pour l’Allemagne.
Je vois
alors son chapelet commencer à émettre des rayons rouges.
Marie
pleure. Elle me montre un écrit, mais je ne peux pas l’identifier.
Mon Fils
me dit : « Mère, ne pleure pas. L’Eglise, dans laquelle je suis
totalement, se purifiera. Cela (elle me montre alors un écrit
de plusieurs pages) ne se produira pas.
Chers
enfants, restez fidèles à mon Fils et priez. Je ne vous abandonne
pas. Je vous aime. Mon divin Fils vous aime. Restez auprès de
lui !
La Mère
de Dieu joint alors ses mains pour la prière et pose un regard
expressif sur chacun de nous. L’apparition devient alors très
pâle, diminue et disparaît.
Alors
seulement je vois que Sœur Faustine est assise au premier banc
de l’église et prie intérieurement le Rosaire. Robert Bellarmin
est agenouillé devant l’autel et prie aussi le Rosaire. Son chapelet
est en bois ; il a une grande croix de bois. Sur l’autel on remarque
comme un arc-en-ciel. Au-dessus se trouvent les lettres « I O
S.»
Sievernich, 5 mars 2001
Lundi
5 mars 2001 se tient dans l’église paroissiale de Sievernich la
huitième rencontre du groupe de prière Oasis bleue.
Je ressens
une intense chaleur, puis je vois la Mère de Dieu venir à nous,
se mouvant sur un rayon doré. Elle se place à gauche de l’autel.
Elle porte un manteau bleu clair, bordé d’une décoration dorée,
et sous celui-ci une robe blanche. Dans ses mains elle tient un
chapelet doré. Elle a joint les mains pour la prière. Elle porte
alors son regard sur nous. Elle est sur un nuage et a une rose
d’or sur le pied gauche.
Elle
dit :
Je vous
salue et vous bénis, mes enfants. Je suis Marie, l’Immaculée,
Marie, la Mère de Dieu. Mon divin Fils Jésus-Christ m’envoie vers
vous. Il vous aime beaucoup. Je suis totalement adonnée à sa volonté.
Il est votre salut. Confiez-vous à lui et c’est avec plaisir que
je serai votre Mère. Venez à moi, mes enfants, j’essuierai vos
larmes et vous conduirai à mon Fils Jésus.
Elle
vient alors vers chacun de nous et fait un signe de croix sur
notre front. La suivent deux anges, de blanc vêtus. Chacun d’eux
porte un récipient en or ayant la forme d’une coquille. Puis ils
retournent sur la gauche de l’autel.
Marie
dit alors :
Chers
enfants, un temps vous est accordé sur terre pour le jeûne et
la pénitence. Utilisez ce temps. Volontiers je vous aiderai. Je
veux être votre porte, la porte par laquelle vous parvenez à mon
divin Fils. Je suis la porte, mon Fils est votre chemin.
Voyez,
je vous ai donné une indication, selon la volonté de mon divin
Fils, afin que vous acceptiez l’action de l’Esprit Saint, son
action salutaire. Prononcez les prières qui proviennent de mon
Fils, celles qu’il vous a proposées.
(Suit
une communication personnelle.)
Sur terre
le temps est venu de vous réunir pour prier. Je vous tiendrai
compagnie et je prierai avec vous.
L’Eglise
est en péril. C’est pourquoi j’agis et suis pleinement auprès
de vous. La terre, le monde sont devenus désertiques pour la foi.
Cette terre, je veux la rendre fertile pour mon Fils. Je replanterai
la terre et je ferai partout des oasis de prière.
Mes enfants,
ne vous découragez pas. Considérez l’action de mon divin Fils
sur terre. Vous n’êtes pas laissés seuls. Le contradicteur jette
le doute dans vos cœurs et il veut vous éloigner du chemin qui
est mon Fils Jésus lui-même. C’est le contradicteur qui vous décourage,
qui installe paresse et oisiveté dans vos cœurs. Ne vous laissez
pas induire en erreur, mes enfants. Moi, avec l’aval de mon divin
Fils Jésus-Christ, je ne le tolérerai pas.
Je suis
auprès de vous. Je vous guide, vous et mon Eglise, l’Eglise de
mon Fils Jésus qui vous aime tendrement. Il prend soin de vous
comme un père, si vous le laissez agir. Laissez-vous conduire
par lui et par moi et vous serez sauvés.
Je ne
tolérerai pas que les ténèbres envahissent complètement l’Eglise.
Ce qui est malade, s’en ira. Mais voyez, chers enfants, combien
mon Fils prend soin de vous puisqu’il vous envoie sa Mère, qui
prépare sa venue. J’ensemence mon oasis avec l’amour du ciel.
Il doit rendre forts ceux qui sont fidèles. Il doit rendre forte
mon Eglise. Moi, je vous rends forts, forts d’esprit. Faites-moi
confiance, ainsi qu’à mon divin Fils. Ce que le monde vous donne,
ce n’est pas ce que le Père vous donne. Le chemin qui conduit
à mon Fils est incommode ; celui du monde est large et facile.
Allez donc vers mon Fils ! Moi, je suis avec vous et je vous aide.
Réconfortés, vous pourrez, avec mon aide, parcourir même ce chemin
qui est incommode. Je suis votre Mère ; je vous aime, mes enfants.
Vous
êtes tentés, ces temps-ci particulièrement ; aussi soyez assidus
dans la prière. Je ne saurais jamais assez vous dire que je suis
avec vous. Appelez-moi, mes enfants, lorsque vous avez besoin
d’aide. C’est pour vous que je suis là !
Du nuage
sur lequel la Mère de Dieu est debout s’est formée la boule terrestre.
La Botte italienne apparaît à l’avant-plan. Je vois la ville de
Rome et le Vatican. Puis je vois une grande salle de réunion,
dans laquelle se trouvent beaucoup de cardinaux qui discutent.
Dans la discussion il est question de la généralisation de la
messe sans Eucharistie. On ne devrait plus que rompre le pain,
ensemble avec la communauté, disent-ils, car beaucoup ne croient
plus à la Présence eucharistique.
La Mère
parle :
Ainsi
ce serait presque la fin de l’Eglise, pensent ceux qui sont fidèles.
Les sans-Dieu y voient une ouverture pour les laïcs dans l’Eglise.
Mais moi j’agirai. Ils ne réussiront pas à détruire le Corps du
Christ.
La boule
terrestre se met à tourner sur elle-même et devient un grand soleil
qui se meut dans l’espace autour de l’autel. Au centre du soleil
il y a les lettres JHS. La Mère de Dieu nous bénit. La vision
s’estompe et disparaît.
Je vois
alors Sœur Faustine dans les premiers bancs de l’église en train
de prier. Myriam d’Abellin est assise à côté d’elle. Robert Bellarmin,
agenouillé devant l’autel, prie également le Rosaire. Je ressens
subitement un parfum de fleurs.
Sievernich,
le 2 avril 2001
Le lundi
2 avril 2001 a lieu la neuvième rencontre de prière de l’Oasis
bleue dans l’église paroissiale de Sievernich.
Tandis
que nous prions le chapelet des larmes, je ressens une forte chaleur.
Apparaissent un ovale de lumière claire, puis la Mère de Dieu,
dont le manteau est bleu clair, la robe et le voile d’un blanc
étincelant. Elle me sourit tendrement. Je constate qu’elle est
debout sur un nuage et qu’elle porte des sandales en or. Elle
est sur ce nuage à environ 20 cm au-dessus du sol. Dans ses mains,
elle tient une médaille qui est fixée à la fin du chapelet La
médaille porte l’effigie de Jésus durant sa Passion. La médaille
est entourée d’une couronne de rayons dorés qui se déploient dans
notre direction.
Je vois
alors deux anges, vêtus de blanc, agenouillés devant la Mère de
Dieu. Ils prient. Ils ont des cheveux blond clair, tombant jusqu’aux
épaules. Marie leur parle brièvement. Leur visage se trouve alors
tout proche de moi.
Marie
dit :
Chers
enfants, je vous salue et vous bénis au nom de mon divin Fils
Jésus-Christ. En son nom, je viens vers vous. Je suis Marie l’Immaculée,
Marie la Mère de Dieu.
Mes enfants,
je me réjouis à cause de vos prières. Je veux être totalement
auprès de vous, dans vos cœurs. J’emmène avec moi mon cher Fils,
votre Sauveur Jésus- Christ.
Quelle
douleur j’ai ressentie sur la terre lorsque j’offrais mon Fils,
tel un Agneau immolé ! Cet acte d’offrande, combien il fut difficile
pour moi, même si j’en avais été informée, même si j’étais certaine
que mon divin Fils ressusciterait dans le Père. Moi aussi, j’ai
enduré des heures pleines de détresse et de soucis. J’étais si
abattue.
Voyez
combien la sainte Face de mon Fils est outragée et considérez
que ses douleurs contribuent à votre salut. Comme ici-bas il vous
a libérés naguère, il vous libère aujourd’hui encore dans votre
détresse. Considérez intensément sa Face de douleurs ici-bas,
mais n’oubliez pas pour autant la joie de la Résurrection, cela
contribue à votre salut. C’est à lui que je veux vous amener,
à mon Fils. Vous, mes enfants, c’est en lui que vous devez ressusciter.
C’est en lui que vous devez éprouver la joie éternelle. Je voudrais
totalement vous revêtir de mon Jésus, mes chers enfants.
Peut-être
la prière vous paraît-elle souvent pénible. Elle peut aussi vous
paraître inefficace en voyant l’état du monde. Chers enfants,
ce n’est pas le cas. Vous ne supporteriez pas de voir la force
de la prière, si je vous la montrais. Pensez que ce sont la puissance
et la grâce du Père des cieux, qui vous aime tellement. Les larmes
que je verse pour vous, mes enfants, sont des grâces, des grâces
pour vous !
Mon divin
Fils est l’Alpha et l’Oméga. Tout est en lui, tout émane de lui.
C’est pourquoi personne ne va au Père sans passer par lui.
Ne recherchez
votre bonheur et votre satisfaction dans aucune autre religion,
ni dans les biens du monde. Vous n’y trouveriez pas tout. Ce n’est
qu’en mon Fils que vous trouvez l’amour divin, la béatitude céleste.
Consciemment, vivez l’Amour du Père dans le quotidien. Chers enfants,
cela n’est pas seulement pour vous, mais pour tous. Le contradicteur
vous tente journellement. Mais ne vous découragez pas. Je vous
console. Appelez-moi ! Je vous prends la main et vous guide. Laissez-
vous guider par moi ! Je porte mon divin Fils dans vos cœurs.
Je prends soin de chacun de vous. Je ne viens pas seulement pour
quelques-uns, je viens chez chacun de vous. Je ne saurais jamais
assez vous le redire !
Lorsque
vous êtes tentés, ne portez pas cette souffrance seuls. Ne vous
creusez pas la tête ; ne soyez pas aigris. Offrez votre peine
à mon Fils Jésus-Christ, votre Sauveur, et à moi, votre Mère.
Je suis là pour vous. Je suis présente.
La Mère
déploie son manteau ; il nous enveloppe entièrement. Puis elle
l’ouvre à nouveau, bénit et regarde vers nous. Elle lève les mains
au ciel.
L’apparition
disparaît. Je ne vois plus qu’un ovale lumineux, ainsi que les
deux anges à genoux qui portent un vase en or.
Alors
seulement je vois, assis dans les premiers bancs de gauche : Sœur
Faustine, Robert Bellarmin et Myriam d’Abellin. Ils prient le
Rosaire avec nous. |