Années 1940
- Prière
dictée par Jésus à Marcel VAN« Petit enfant de
mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière,
et cette prière, je veux que les Français me la
récitent :
Seigneur Jésus, aie compassion de la France,
daigne l'étreindre dans ton Amour et lui en montrer toute
la tendresse.
Fais que, remplie d'amour pour toi, elle contribue à te
faire aimer de toutes les nations de la terre.
Ô Amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de
te rester à jamais fidèles et de travailler d'un
cœur ardent à répandre ton Règne dans
tout l'univers.
Amen.
Ô mon enfant, dis aux Français que cette prière
est celle-là-même que je veux entendre de leur bouche.
Elle est sortie de mon cœur brûlant d'amour et je veux
que les Français soient les seuls à la réciter.
Quant à toi, mon enfant, je veux que tu la récites
aussi, mais tu la réciteras également en français.
(...) mon enfant, la France est toujours le pays que j'aime et
chéris particulièrement... J'y rétablirai
Mon Amour... En contemplant la fleur, ta sœur aînée,
(Ste Thérèse de L'Enfant-Jésus), souviens-toi
de prier pour que le pays que j'aime et chéris particulièrement
ait le courage de se sacrifier pour le " Règne de
mon Amour ". ... Mon enfant, la France est toujours le pays
que J'aime et chéris particulièrement... J'y rétablirai
Mon Amour.... Pour commencer à répandre sur elle
Mon Amour, Je n'attends désormais qu'une chose : que l'on
M'adresse assez de prières. Alors, mon enfant, de la France
Mon Amour s'étendra dans le monde. Je Me servirai de la
France pour étendre partout le règne de Mon Amour
(J'avais manifesté déjà ces choses à
une ou deux âmes, mais toi, mon petit enfant, tu les ignorais
encore ; c'est pourquoi Je te les dis maintenant)... Mon enfant,
J'aime beaucoup la France...»
Extrait du livre : Marcel
Van Œuvres Complètes 2 Colloques
disponible à : St Joseph Editeur (voir en page
LIENS)
Pape Jean-Paul II - Homélie de la Messe au Bourget - Dimanche 1er juin 1980, lors de son 1er voyage en France
« Aujourd’hui, dans la capitale de l’histoire de votre nation, je voudrais répéter ces paroles qui constituent votre titre de fierté : Fille aînée de l’Église.
... Un très grand chapitre de cette histoire a été inscrit dans l’histoire de votre patrie, par les fils et les filles de votre nation. Il serait difficile de les nommer tous, mais j’évoquerai au moins ceux qui ont exercé la plus grande influence dans ma vie : Jeanne d’Arc, François de Sales, Vincent de Paul, Louis-Marie Grignion de Montfort, Jean-Marie Vianney, Bernadette de Lourdes, Thérèse de Lisieux, Sœur Élisabeth de la Trinité, le Père de Foucauld, et tous les autres. Ils sont tellement présents dans la vie de toute l’Église, tellement influents par la lumière et la puissance de l’Esprit Saint !
… Le Christ est venu au monde au nom de l’alliance de l’homme avec la sagesse éternelle. Au nom de cette alliance, il est né de la Vierge Marie et il a annoncé l’Évangile. Au nom de cette alliance, « crucifié... sous Ponce Pilate » il est allé sur la croix et il est ressuscité. Au nom de cette alliance, renouvelée dans sa mort et dans sa résurrection, il nous donne son Esprit...
...Comment se fait-il que, depuis un certain temps, l’homme ait découvert dans tout ce gigantesque progrès une source de menace pour lui-même ? De quelle façon et par quelles voies en est-on arrivé à ce que, au cœur même de la science et de la technique modernes, soit apparue la possibilité de la gigantesque autodestruction de l’homme ; à ce que la vie quotidienne offre tant de preuves de l’emploi, contre l’homme, de ce qui devait être pour l’homme et devait servir l’homme ?
Comment en est-on arrivé là ? L’homme en marche vers le progrès n’a-t-il pas pris un seul chemin, le plus facile, et n’a-t-il pas négligé l’alliance avec la sagesse éternelle ? N’a-t-il pas pris la voie « spacieuse », en négligeant la voie « étroite » ?
C’est à cela que l’homme est appelé dans l’alliance avec la sagesse éternelle.
... Il n’existe qu’un problème, celui de notre fidélité à l’alliance avec la sagesse éternelle, qui est source d’une vraie culture, c’est-à-dire de la croissance de l’homme, et celui de la fidélité aux promesses de notre baptême au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit !
Alors permettez-moi, pour conclure, de vous interroger :
France, Fille aînée de l’Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ?
Permettez-moi de vous demander :
France, Fille de l’Eglise et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l’homme, à l’alliance avec la sagesse éternelle ?
Pardonnez-moi cette question. Je l’ai posée comme le fait le ministre au moment du baptême. Je l’ai posée par sollicitude pour l’Église dont je suis le premier prêtre et le premier serviteur, et par amour pour l’homme dont la grandeur définitive est en Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit.
14 août 1983
- Prière de Jean-Paul II à Lourdes
« Ici, sur cette
terre de France, je confie, ô Mère de Dieu, à
ton amour maternel les fils et les filles de ce peuple. Ils n'ont
pas cessé de t'honorer, dans leurs traditions, dans l'art
de leurs cathédrales, dans leurs pèlerinages, dans
la piété populaire comme dans la dévotion
des auteurs spirituels, sûrs de demeurer proches du Christ
en te contemplant, en t'écoutant, en te priant.
Beaucoup ont tenu à se consacrer à toi, y compris
des rois, comme l'a fait Louis XIII au nom de son peuple.
Ô Marie, obtiens pour ces frères et sœurs de France
les dons de l'Esprit Saint, afin de donner une nouvelle jeunesse,
la jeunesse de la foi, à ces chrétiens et à
leurs communautés, que je confie à ton Cœur
Immaculé, à ton amour maternel. »
En 1986, samedi 4 octobre, il disait encore à Lyon dans son homélie à la Messe de Béatification du Père Chevrier :
« La France demeure un grand pays, à l’histoire prestigieuse et une grande tradition culturelle, avec à sa racine une tradition spirituelle, fruit de la foi de tout un peuple qui a bâti ses cathédrales, produit des œuvres mystiques, développé d’innombrables initiatives de charité, entrepris une épopée missionnaire.
Église qui es à Lyon, tu as été baptisée dans le sang de tes martyrs, souviens-toi de ta ferveur première avec l’évêque Pothin, le diacre Sanctus, l’esclave Blandine... Église de Lyon, souviens-toi aussi de l’évêque Irénée qui, pour toute l’Église, a défendu la véritable foi au Verbe Incarné, vrai Dieu et vrai homme, au regard des gnoses qui déjà tentaient de dissoudre cette foi.
Église de Lyon, souviens-toi de toutes les initiatives prises par tes fils et tes filles au cours des siècles pour sanctifier l’Église, servir son unité, pour l’entraîner au service de la société comme Marius Gonin et Joseph Folliet, développer l’œcuménisme comme le Père Couturier, aider l’éducation des jeunes comme la bienheureuse Claudine Thévenet, stimuler le rayonnement missionnaire de l’Église comme Pauline Jaricot, assurer une présence contemplative au milieu des non-chrétiens comme le Père Jules Monchanin. Ils sont légion, “foule immense de témoins”, et constituent pour nous des guides, une famille, des intercesseurs, selon l’expression de la préface des saints.
Et toi, Église de France, souviens-toi de ton baptême, de l’alliance que Dieu n’a jamais reniée, souviens-toi de Son Amour, souviens-toi de l’Esprit-Saint qui t’habite et qui peut toujours susciter en toi un nouveau printemps spirituel si tu le désires vraiment. Ne crains pas, ne te laisse pas décourager par les difficultés à vivre aujourd’hui la foi ; tes saints les ont connues et dépassées. »
Et au départ de Lyon, le 7 octobre 1986, fête de Notre-Dame-du-Rosaire :
« Il m’a semblé rejoindre l’âme profonde de la France dont les fils et les filles n’ont pas oublié leur histoire chrétienne, leur vocation de baptisés, même environnés par le brouillard de l’indifférence religieuse, du doute ou du respect humain, qui trop souvent tend à les replier sur eux-mêmes. Un nouvel élan spirituel et apostolique est possible pour l’Église en France. »
5 décembre 1983 - Message à Lucie
C'est en France que j'ai
déposé mon Divin Cœur,
comme on dépose une perle dans un écrin.
C'est à la France d'en susciter la dévotion
et de la maintenir à travers les âges.
« Le règne viendra par l'Alliance ».
A présent le temps est venu
où Je dois présenter à mon Père
mon peuple uni dans l'Alliance
et sous le signe de ma Croix.
Avance et regarde l'horizon...
Déjà l'aurore paraît, avec elle vient l'espérance...
Regarde les signes de L’ALLIANCE.
Travaille pour ton Dieu, ma toute-petite.
L'Amour a posé sur toi le doigt et te bénit.
C'est de la France, ma fille aînée,
que j'adresse ce message à mon Eglise.
Je n'ai fait que vous rappeler
la sainte doctrine de mon Evangile
que Je veux voir refleurir sur la terre.
Puisez aux richesses
qui font la tradition de ma Sainte Église.
22 janvier 1990 - Message à Vassula
(Message pour la France, donné
pour la réunion de prière du 11 février 1990
à Nice)
- La Paix soit avec vous.
Je suis l'Esprit d'Amour, de Paix, de Réconciliation. Je
suis Celui qui vous aime le plus. Je suis votre Créateur.
Je vous dis solennellement que Je continuerai à répandre
Mon Saint Esprit sur vos fils et filles comme il n'est jamais
arrivé depuis de nombreuses générations,
pour vous nourrir directement de Ma Propre Main et placer Ma Loi
tout entière sur vos coeurs.
De vos jours, Je suis en
train de révéler Ma Sainte Face à vous tous.
Oui, Ma Sainte Face brillera sur vous, Mes bien-aimés.
Je vous révélerai Ma Gloire et toi qui pourrais
ne pas Me connaître encore, Je viendrai également
à toi et Je prendrai ta main dans la Mienne et la placerai
sur Mon Sacré Coeur. Je te ferai ressentir Mes Battements
de Coeur et si alors tu Me le permets, Je séduirai ton
petit coeur et le consumerai de Mon ardent Amour et le ferai entièrement
Mien.
Si vous vous abandonnez
à Moi, Je vous formerai à Ma Divine Image. Je vous
redonnerai votre divinité et Je vous ferai saints comme
Je suis Saint. Venez donc à Moi, votre Sauveur. Pourquoi
regarder ailleurs ? Pourquoi rechercher ce que le monde offre
et qui ne dure pas ? Recherchez ce qui est Saint et Eternel. Pourquoi
se fier à ce que le monde offre alors que ce qu'il offre
ne dure pas ? N'avez-vous pas déjà entendu que J'ai
dit combien toute chair est herbe ? L'herbe se dessèche,
la fleur se fane, mais Ma Parole reste à jamais. Tournez-vous
vers Moi et faites confiance à Mon Amour.
Mes petits enfants, Je
suis le Chemin, la Vérité et la Vie. N'écoutez
pas le Tentateur qui cherche la ruine de votre âme - son
empire est dans le monde - mais écoutez-Moi, votre Dieu,
qui vous offre aujourd'hui Ma Main et qui Me courbe jusqu'à
vous pour vous élever de la poussière et vous rendre
saints dans Mon Coeur. Ecoutez-Moi et vous hériterez Mon
Royaume. Venez à Moi et faites la paix avec Moi. Je vous
lègue Ma Paix, une Paix que le monde ne peut pas vous donner.
Viens, toi qui ne M'as
pas encore reconnu comme ton Rédempteur et détache-toi
des choses élémentaires qui ne peuvent ni élever
ni nourrir ton âme. Pourquoi acceptes-tu d'être leur
esclave ? Reviens à Moi, même dans ta misère
et ta culpabilité. Je t'accepte tel que tu es et Je te
dis que Je t'ai déjà pardonné. Laisse-Moi
te dire, Mon enfant, qu'aucun homme n'a un plus grand amour pour
toi que le Mien. Lève tes yeux vers Moi et regarde Qui
te supplie : c'est Moi Jésus, ton Sauveur, qui viens à
toi aujourd'hui, parlant par les bouches mêmes des plus
petits d'entre vous. Je viens pieds nus* et comme un mendiant
te demander un retour d'amour. Je suis à la recherche de
ton coeur, ne Me refuse pas... Jour et nuit, Je tends Mes Mains
vers toi. Quand viendras-tu à Moi ? Quand entendrai-Je
ta réponse ? Trouverai-Je une réponse dans ce désert,
Mon enfant ? ou bien le Silence recouvrira-t-il Mon Ame ? Ecoute,
écoute Ma plainte, c'est la consolation que tu peux M'offrir.
N'aie pas peur, Je t'aiderai. Tu vois ? Je te renouvellerai entièrement
si tu t'abandonnes à Moi. Je suis venu jusqu'à ta
porte, et si vous êtes rassemblés ici aujourd'hui
pour écouter ce que Mon Esprit vous dit, c'est parce que
J'ai choisi qu'il en soit ainsi. Je suis venu te donner l'Espérance,
Je suis venu te donner la Lumière. Je ne suis pas venu
te condamner mais te réveiller, Mon enfant, et te montrer
Mon Sacré Coeur, et Qui Se tient devant toi.
Vous êtes à
Moi, bien que vous ne le soyez pas tous car certains placent l'honneur
des hommes avant l'honneur qui vient de Dieu. Aussi Je vous dis
solennellement :
Recevez Mon Saint Esprit
aujourd'hui...
Recevez Mon Saint Esprit aujourd'hui...
Recevez Mon Saint Esprit aujourd'hui...
Reviens à Moi. J'entends
te délivrer du mal et réveiller ton amour pour Moi.
J'entends Me montrer à toi et te donner le signe de Ma
Sainte Présence comme Je le donne à d'autres, te
couvrant de Mon délicat parfum d'encens. Viens donc à
Moi Me parler. Me parler c'est prier, prier avec ton coeur. Je
suis venu dans le calme de la nuit te rappeler Mes préceptes.
Ne sais-tu pas que depuis le commencement des temps, depuis que
l'homme fut mis sur terre, une chambre au Ciel a été
préparée pour toi ? Ta Demeure est au Ciel, avec
Moi, à Mes côtés. Que cette chambre soit remplie
de ta présence. Ne Me chagrine pas de voir ta chambre vide
pour l'Eternité... Retourne à Moi, cesse d'errer
sans but dans ce désert, cherche-Moi, Mon enfant. Cesse
de faire le mal, apprends à pardonner, apprends à
faire le bien. Sois confiant en Moi, ton Dieu, apprends à
aimer tes ennemis, fais la paix avec Moi. Je te dis solennellement
que si la terre est aujourd'hui recouverte de désastres,
c'est le fruit de son apostasie.
Ah ! Mes amis, vous tous
qui M'aimez et Me vouez votre vie entière, vous qui avez
libéré le nécessiteux lorsqu'il appelait
et avez donné votre chaleur à l'orphelin qui n'avait
pas d'amour, vous qui êtes sensibles aux besoins des pauvres
et qui consolez la veuve et qui ouvrez toutes grandes vos portes
aux sans-père, et vous, qui cherchez à servir la
cause de la Justice, sans jamais lever la main contre les innocents,
réjouissez-vous ! car vous êtes vraiment Mes enfants.
Aujourd'hui, Mes bien-aimés, Je vous demande de prier avec
ferveur et de réparer pour ceux que Mon Coeur aime, mais
qui se sont tournés contre Moi. Je vous demande de vous
immoler pour tous ceux qui aggravent Mes Plaies, en les voyant
tuer leur enfant avant même sa naissance. Priez pour le
sein qui forme ces enfants mais les oublie et ne s'en rappelle
plus le nom.
Invoquez-Moi dans vos difficultés
et J'accourrai vers vous. Comptez vos grâces et louez-Moi.
N'avez-vous pas entendu auparavant que Je secours tous ceux qui
s'accrochent à Moi ? Vous n'êtes pas sans père,
vous avez un Père au Ciel qui vous aime infiniment et Son
Nom est comme une myrrhe s'épanchant de Lui pour vous oindre
et vous bénir. Mes bien-aimés, Je vous fais don
de Mon Amour. Prenez courage, vous tous qui vous immolez pour
les autres. Je suis près de vous pour vous consoler. Prenez
courage, Mes enfants, votre Dieu est très près de
vous et beaucoup ont entendu Mes pas. L'Amour est en train de
revenir à vous comme Amour et habitera parmi vous.
Je bénis chacun
de vous, laissant Mon Soupir d'Amour sur vos fronts. Soyez un.
* Pieds nus : en simplicité,
sans choisir des âmes particulièrement saintes pour
Se manifester à travers elles.
25 novembre 1994 - Message donné
en France à Vassula
- Mon Seigneur !
- Je Suis. Appuie-toi sur Moi... paix, Mon enfant. Ecoute et comprends
: dépends de Ma puissance massive et de Mon Infinie Miséricorde.
Prêche de la façon que Je t'ai prêché.
Suis le coeur de la Loi*. Je te rappellerai tout ce qui t'a été
dit.
(Puis le Christ m'a donné ce message pour la France :)
En ces jours, Je Me suis revêtu de toile de sac, pour manifester
Mon chagrin. N'as-tu pas remarqué comme J'ai pris le désert
à la recherche de Ma Fille Aînée* ?
Aujourd'hui, si J'ai pris le désert à ta recherche,
c'est afin de mettre à l'épreuve l'authenticité
de ton nom**, puisque tu as été choisie la première
pour répandre Mon Amour. Je n'oublierai jamais combien
tu étais Ma fierté et Mon orgueil et combien tu
avais été obéissante.
Qu'est-il advenu du zèle ardent que tu avais auparavant
? Jadis, J'étais attrayant pour ton coeur. Comment as-tu
pu oublier toutes les Grâces que tu as obtenues de Moi,
hier encore ?
Fille-de-Mon-Eglise, tu es héritière de Mon Royaume
! Je suis venu à toi pour raviver ta dévotion à
Mon Sacré Coeur, au travers d'une promesse.***
Don-de-Mon-Père, jadis gardienne de Mes Intérêts,
ne M'oblige pas à dire : " Ma Propriété
a été vendue**** et Elle s'est remplie d'administrateurs,
au lieu de permettre à Mon Esprit d'y garder Son siège.
Maintenant, Mon siège est gouverné par la chair
".
Reviens à Moi et corrige à nouveau ton coeur ; repens-toi
et reconnais ton péché en présence de Mon
Père, et Je répondrai à ton cri de repentir.
* C'est-à-dire
l'amour : "Évangélise avec amour pour l'Amour".
** Allusion au titre de "Fille aînée de l'Eglise"
par lequel, depuis le XIIème siècle, les Papes désignent
la France (note du traducteur).
*** La France doit promettre fidélité au Sacré
Coeur.
**** En anglais : given away (sold away) : dissipée, distribuée,
donnée.
3 juin 1996 - Message à Françoise
Jésus le Christ
te dicte : sens Ma douleur, peuple choisi de France, et comprends
combien tu offenses ton Dieu.
Que ce soit vers Moi que
tu tournes ton regard, à présent, afin d’implorer
Mon pardon pour tant de méfaits que tu as commis.
Mon peuple, Je t’ai
donné une reine, Marie Ma sainte Mère, et toi, tu
l’as écartée et t’es éloigné
de Moi.
Mais Marie garde ses enfants
de France ; elle les sauvera et Me les ramènera.
Ouvrez vos yeux, enfants,
et voyez comment Marie sillonne déjà la France afin
de venir vous chercher et vous ramener tendrement, vers la Lumière.
Dans peu de jours, Je serai
à nouveau parmi vous : Je vous illuminerai de Ma radieuse
Présence, et pénétrerai dans vos cœurs
préparés par Ma Mère bien-aimée. D’ici
peu, vous saurez alors qui Je Suis et combien vous M’avez
fait mal, vous qui avez repoussé votre Maman céleste.
Le royaume de Jésus
viendra par Marie : J’ai choisi votre pays pour rechristianiser
le monde, en le sanctifiant, en vous sanctifiant.
Marie ne laisse jamais
ses enfants ; c’est pourquoi elle vient parmi vous aujourd’hui
- les vierges pèlerines -, déversant ses grâces
sans nombre et attendrissant vos cœurs.
Mais J’ai besoin
de votre regard d’amour, de l’éveil de votre
cœur, et cela, afin de vous purifier, de vous montrer combien
Je vous aime. J’ai besoin que vous compreniez combien vous
M’offensez journellement, vous vautrant dans la boue du
péché et sombrant à l’état de
larves esclaves de Satan.
Vous ignorez tout de Satan,
car vous croyez encore qu’il n’existe pas ; eh bien,
Je vous dis, Moi, le Christ Jésus : Satan est caché
auprès de vous, prêt à sauter sur votre faiblesse
à chaque instant ; il est esprit et esprit de mal : il
veut détruire vos cœurs et vos corps en vous amenant
vers la souffrance éternelle.
Ouvrez donc vos yeux et
comprenez que Dieu ne donne pas la souffrance et que c’est
seulement votre inclination pour le mal, votre refus de Dieu,
qui vous font recevoir tant de douleurs.
Revenez à Moi, Me
demandant pardon de tant de méchanceté à
Mon égard : Je vous pardonnerai, vous serrerai contre Mon
Sacré Cœur, vous délivrerai du mal qui vous
tient prisonniers.
Je veux que la France connaisse
la tendresse de son Dieu ; pour cela, faites-vous tout-petits,
pendant qu’il est encore temps…
Je vous aime et vous bénis,
vous qui accueillez Mon Message.
Je sauverai la France,
après l’avoir purifiée ; elle Me servira et
M’adorera.
Jésus le Christ
5 juin 1996 - Message à Françoise
Jésus le Christ
te dicte : cela est Mon message pour la France, à nouveau
; écris pour ton pays, enfant.
Voici à nouveau
que Je viens en votre pays, par la bouche de Mon instrument fidèle,
vous donner la vie en abondance.
C’est maintenant
que Je descends en vos cœurs, pour les illuminer de Ma Présence
constante, de Ma tendresse profonde pour chacun d’entre
vous.
D’ici peu, le tonnerre
va gronder au-dessus de votre pays, car le mal que vous avez fait
appelle le mal à tomber sur vous. Ce n’est pas Dieu
qui vous envoie les souffrances, c’est le démon qui
vous les inflige parce que vous l’acceptez en vos âmes.
Le péché appelle la souffrance…
Revenez à Moi, âmes
de ce temps, car votre souffrance de l’âme ou du cœur,
du corps aussi, prendra son apaisement dans la douceur de Mon
Cœur divin.
Mais pour cela, il faut
que vous daigniez Me regarder, Me croire lorsque Je vous dis que
Je vous aime, Me faire confiance lorsque Je vous dis que Je pardonne
inlassablement, à qui M’offre ses péchés
en s’en repentant.
Je vous éclairerai
si vous le désirez, vous apprenant à Me connaître,
à ne pas M’offenser.
Pourquoi M’offensez-vous
si fort, vous moquant de Mes commandements d’Amour ? Pourquoi
ne désirez-vous pas la vie et le bonheur de l’amour
en vous ?
Pourquoi croyez-vous que
les misères qui vous arrivent sont irrévocables
? Ne comprenez-vous pas que Je vous ai créés pour
la joie, et ce, quelles que soient les difficultés de la
vie ? Croyez-vous donc que Je ne souffre pas en regardant tant
de maladies physiques et morales tomber sur vous ?
Je peux retirer le mal
de la terre, si vous croyez que Je - le Christ Jésus -
veux votre bonheur ; Je peux le défaire du pouvoir que
vous lui avez donné si vous revenez à Moi humblement,
Me demandant pardon pour tant de peine faite à Mon Cœur.
Si vous acceptez de changer
vos vies, en Me laissant faire le bien en vous, Je purifierai
vos âmes et sauverai vos cœurs qui n’existent
plus guère.
Il faudra que Je vous donne
l’épreuve du feu pour que vous Me regardiez en abaissant
votre orgueil… Mais, quoique Mon Cœur ne désire
pas vos souffrances, Je serai obligé de les laisser vous
atteindre si vous ne reconnaissez pas votre Dieu.
Comprenez-vous combien
Je vous aime, enfin ?
Ne désirez-vous
donc pas l’infini Amour que J’ai pour vous ? Est-ce
que votre vie d’esseulés vous satisfait vraiment,
ou voulez-vous enfin rendre Gloire à votre Créateur
pour la beauté de votre âme qu’Il veut vous
rendre ?
Ouvrez donc vos yeux, et
si vous n’y arrivez pas demandez-le-Moi, et Je vous promets
que Je M’élancerai vers vous, vous donnant de Me
connaître et de M’adorer, afin que vous soyez enfin
heureux.
Je vous bénis, vous qui accueillez
Mon message.
Jésus le Christ |