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Dozulé Sulema Vassula
 
 

Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous !

Histoire chrétienne de la France

Histoire chrétienne de la FRANCE



MESSAGES, PROPHÉTIES ET PRIÈRES
POUR LA FRANCE
(Classés par date)

SAINT RÉMI ET LE BAPTISTÈRE DE REIMS

SONT, POUR LA FRANCE, CE QUE MOÏSE ET LE

SINAÏ FURENT POUR LE PEUPLE JUIF.
Clovis

Le 19 décembre 1907, Saint Pie X déclarait à l'archevêque de Reims, Monseigneur Luçon, nouvellement promu Cardinal :
 
« Reims conserve la source baptismale d'où est sortie toute la France Chrétienne, et elle est justement appelée pour cela le Diadème du Royaume.
C'était une heure ténébreuse pour l'Église de Jésus-Christ. Elle était d'un côté combattue par les Ariens, de l'autre assaillie par les Barbares ; elle n'avait plus d'autre refuge que la prière pour invoquer l'heure de Dieu. Et l'heure de Dieu sonna à Reims, en la fête de Noël 496.
Le baptême de Clovis marqua la naissance d'une grande nation : la tribu de Juda de l'ère nouvelle, qui prospéra toujours tant qu'elle fut fidèle à l'orthodoxie, tant qu'elle maintint l'alliance du Sacerdoce et du Pouvoir public, tant qu'elle se montra, non en paroles, mais en actes, la Fille aînée de l'Église. »

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Dans la nuit de Noël 496, à minuit, au jour anniversaire et à l'heure même de Sa naissance, le Christ, lors de la naissance spirituelle de notre France et de nos Rois, voulut par un miracle éclatant affirmer la mission divine de notre Pays et de la Race Royale de Mérovée pour sanctionner solennellement les paroles divinement inspirées de Son ministre, au moment même où saint Rémi allait proclamer cette mission au nom du Tout-Puissant. À minuit, alors que le Roi, la Reine et leur suite étaient là :

« SOUDAIN, raconte Hincmar, Archevêque de Reims, UNE LUMIÈRE PLUS ÉCLATANTE QUE LE SOLEIL INONDE L’ÉGLISE ! LE VISAGE DE L’ÉVÊQUE EN EST IRRADIÉ ! EN MÊME TEMPS RETENTIT UNE VOIX : LA PAIX SOIT AVEC VOUS ! C'EST MOI ! N'AYEZ POINT PEUR ! PERSÉVÉREZ EN MA DILECTION ! »

Quand la voix eut parlé, une odeur céleste embauma l'atmosphère.
Le Roi, la Reine et toute l'assistance épouvantés, se jetèrent aux pieds de saint Rémi qui les rassura et leur déclara que c'est le propre de Dieu d'étonner au commencement de Ses visites et de réjouir à la fin.
Puis, soudainement illuminé d'une vision d'avenir, la face rayonnante, l'œil en feu, saint Rémi, le nouveau Moïse, s'adressant directement à Clovis, Chef du nouveau Peuple de Dieu, lui tint un langage identique, quant au sens, de l'ancien Moïse à l'Ancien Peuple de Dieu :

« APPRENEZ, MON FILS, QUE LE ROYAUME DE FRANCE EST PRÉDESTINÉ PAR DIEU À LA DÉFENSE DE L’ÉGLISE ROMAINE, QUI EST LA SEULE VÉRITABLE ÉGLISE DU CHRIST.
CE ROYAUME SERA UN JOUR GRAND ENTRE TOUS LES ROYAUMES.
ET IL EMBRASSERA TOUTES LES LIMITES DE L'EMPIRE ROMAIN !
ET IL SOUMETTRA TOUS LES PEUPLES À SON SCEPTRE !
IL DURERA JUSQU’A LA FIN DES TEMPS !
IL SERA VICTORIEUX ET PROSPÈRE TANT QU'IL SERA FIDÈLE À LA FOI ROMAINE.
MAIS IL SERA RUDEMENT CHATIÉ TOUTES LES FOIS QU'IL SERA INFIDÈLE À SA VOCATION ».

Au IXe siècle, Raban Maur, Archevêque de Mayence, a rendu public le passage suivant qui aurait été prononcé également par saint Rémi à la fin de son allocution :

« VERS LA FIN DES TEMPS, UN DESCENDANT DES ROIS DE FRANCE RÉGNERA SUR TOUT L'ANTIQUE EMPIRE ROMAIN.
IL SERA LE PLUS GRAND DES ROIS DE FRANCE ET LE DERNIER DE SA RACE.
APRÈS UN RÈGNE DES PLUS GLORIEUX, IL IRA À JÉRUSALEM, SUR LE MONT DES OLIVIERS, DÉPOSER SA COURONNE ET SON SCEPTRE.
ET C'EST AINSI QUE FINIRA LE SAINT EMPIRE ROMAIN ET CHRÉTIEN ».

 

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Prophétie de Saint Pie X - Allocution du 29 novembre 1911
Documents pontificaux de S.S. saint Pie X
(Versailles : Courrier de Rome, 1993), Vol.11, pp.396-397.
Saint Pie X


« Que vous dirai-je maintenant, à vous, chers fils de France, qui gémissez sous le poids de la persécution ?
Le peuple qui a fait alliance avec Dieu aux fonts baptismaux de Reims se convertira et retournera à sa première vocation.
Les mérites de tant de ses fils, qui prêchent la vérité de l’Évangile dans le monde presque entier, et dont beaucoup l’ont scellé de leur sang, les prières de tant de saints qui désirent ardemment avoir pour compagnon dans la gloire céleste les frères bien aimés de leur patrie, la piété généreuse de tant de ses fils qui sans s’arrêter à aucun sacrifice pourvoient à la dignité du clergé et à la splendeur du culte catholique et, par-dessus tout, les gémissements de tant de petits enfants qui devant les tabernacles répandent leur âme dans les expressions que Dieu met sur leurs lèvres, appelleront certainement sur cette nation les miséricordes divines.
Les fautes ne resteront pas impunies, mais elle ne périra jamais, la fille de tant de mérites, de tant de soupirs et de tant de larmes.
Un jour viendra, et nous espérons qu’il n'est pas très éloigné, où la France, comme Saul sur le chemin de Damas, sera enveloppée d’une lumière céleste et entendra une voix lui répéter :
- Ma fille, pourquoi me persécutes-tu ?
Et à sa réponse :
- Qui êtes-vous, Seigneur ?
La voix répliquera :
- Je suis Jésus que tu persécutes. Il t'est dur de regimber contre l'aiguillon, parce que, dans ton obstination, tu te ruines toi-même.
Et elle, tremblante et étonnée, dira :
- Seigneur, que voulez-vous que je fasse ?
Et Lui dira :
- Lève-toi, lave-toi des souillures qui t'ont défigurée, réveille dans ton sein les sentiments assoupis et le pacte de notre alliance et va, fille aînée de l'Eglise, nation prédestinée, vase d'élection, va porter, comme par le passé, Mon nom devant tous les peuples et devant les rois de la terre.
»

Saint Pie X


Saint Pie X ne doutait pas qu’un jour prochain la France reviendrait à ses traditions. Il dit encore, lors de la béatification de Jeanne d’Arc :

« Je n’ai pas seulement l’espérance, j’ai la certitude du plein triomphe ; je suis affermi dans cette certitude, par la protection des martyrs qui ont donné leur sang pour la foi, et par l’intercession de Jeanne d’Arc qui, comme elle vit dans le cœur des Français, répète aussi sans cesse au ciel la prière : " Grand Dieu, sauvez la France ! " »

 

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1936 - Prophétie de Marthe Robin au Père Finet, cofondateur
           des foyers de charité

« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu’elle se sera choisis. Elle aura le nez dans la poussière. Il n'y aura plus rien. Mais dans sa détresse, elle se souviendra de Dieu et criera vers lui, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de Fille Aînée de l'Eglise, elle sera le lieu de la plus grande effusion de l'Esprit Saint et elle enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »

         Marthe Robin

 

En parlant de l’œuvre des foyers de charité, elle dit au Père Finet : « Ils seront une réponse du Cœur de Jésus au monde, après la défaite matérielle des peuples et de leurs erreurs sataniques. Parmi les erreurs qui vont sombrer, il y aura notamment le communisme, le laïcisme et la franc-maçonnerie. Cela arrivera après une intervention de la Sainte Vierge. »
 
(MARTHE ROBIN L´OFFRANDE D´UNE VIE – Père Raymond PEYRET – Éditions SALVATOR - novembre 2007)

 

Avril 1973 - Entretien de Marthe Robin avec le Père Yannik BONNET

Voici ce qu’a dit Marthe ROBIN au sujet de la France au Père Yannik BONNET qui est allé la voir pour lui demander son avis sur la dégradation sociale et morale de la France :
 
« Mais ce n’est rien à côté de ce que ce sera. Vous n’imaginez pas jusqu’où on descendra. Mais, vous verrez, le renouveau sera extraordinaire ; ce sera comme une balle qui rebondit. Non, ça rebondira beaucoup plus vite, et beaucoup plus haut qu’une balle. Il y aura des conversions et des vocations innombrables. »

Et, à propos d’une proposition de loi sur l’avortement que le président Pompidou avait stoppée net, Marthe a dit au Père Bonnet :
« Ne vous réjouissez pas, cela va repartir très vite. »
De fait, le président Giscard d’Estaing et Simone Veil firent passer cette loi après la mort de Pompidou.

 

Prière de Marthe Robin pour la France

Ô PÈRE, ô mon Dieu,
délivrez et sauvez maintenant votre France.
Préparez les coeurs de ses enfants
à la mission qu'ils vont avoir à accomplir
pour toutes les nations et pour l'Eglise toute entière..
Ô PÈRE, ô mon Dieu, que les coeurs de vos élus
tressaillent à votre appel,
reconnaissant votre voix,
votre commandement, votre invitation à agir.
Conduisez-les chacun à leur place
et chacun à
sa mission.
Imposez-leur tout ce que vous voudrez
de chacun et de tous.
Que rien ne soit
l'effet de leur choix,
mais de votre unique désir
et de votre unique volonté d'amour.
Ô Maman immaculée,
ne les laissez pas se tromper, ni s'égarer.
Amen

 

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Années 1940 - Prière dictée par Jésus à Marcel VAN

« Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent :

Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l'étreindre dans ton Amour et lui en montrer toute la tendresse.
Fais que, remplie d'amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre.
Ô Amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de te rester à jamais fidèles et de travailler d'un cœur ardent à répandre ton Règne dans tout l'univers.
Amen.


Ô mon enfant, dis aux Français que cette prière est celle-là-même que je veux entendre de leur bouche. Elle est sortie de mon cœur brûlant d'amour et je veux que les Français soient les seuls à la réciter. Quant à toi, mon enfant, je veux que tu la récites aussi, mais tu la réciteras également en français.
(...) mon enfant, la France est toujours le pays que j'aime et chéris particulièrement... J'y rétablirai Mon Amour... En contemplant la fleur, ta sœur aînée, (Ste Thérèse de L'Enfant-Jésus), souviens-toi de prier pour que le pays que j'aime et chéris particulièrement ait le courage de se sacrifier pour le " Règne de mon Amour ". ... Mon enfant, la France est toujours le pays que J'aime et chéris particulièrement... J'y rétablirai Mon Amour.... Pour commencer à répandre sur elle Mon Amour, Je n'attends désormais qu'une chose : que l'on M'adresse assez de prières. Alors, mon enfant, de la France Mon Amour s'étendra dans le monde. Je Me servirai de la France pour étendre partout le règne de Mon Amour (J'avais manifesté déjà ces choses à une ou deux âmes, mais toi, mon petit enfant, tu les ignorais encore ; c'est pourquoi Je te les dis maintenant)... Mon enfant, J'aime beaucoup la France...»

Extrait du livre : Marcel Van Œuvres Complètes 2 Colloques
disponible à : St Joseph Editeur (voir en page LIENS)

 

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Pape Jean-Paul II - Homélie de la Messe au Bourget - Dimanche 1er juin 1980, lors de son 1er voyage en France

« Aujourd’hui, dans la capitale de l’histoire de votre nation, je voudrais répéter ces paroles qui constituent votre titre de fierté : Fille aînée de l’Église.

... Un très grand chapitre de cette histoire a été inscrit dans l’histoire de votre patrie, par les fils et les filles de votre nation. Il serait difficile de les nommer tous, mais j’évoquerai au moins ceux qui ont exercé la plus grande influence dans ma vie : Jeanne d’Arc, François de Sales, Vincent de Paul, Louis-Marie Grignion de Montfort, Jean-Marie Vianney, Bernadette de Lourdes, Thérèse de Lisieux, Sœur Élisabeth de la Trinité, le Père de Foucauld, et tous les autres. Ils sont tellement présents dans la vie de toute l’Église, tellement influents par la lumière et la puissance de l’Esprit Saint !

… Le Christ est venu au monde au nom de l’alliance de l’homme avec la sagesse éternelle. Au nom de cette alliance, il est né de la Vierge Marie et il a annoncé l’Évangile. Au nom de cette alliance, « crucifié... sous Ponce Pilate » il est allé sur la croix et il est ressuscité. Au nom de cette alliance, renouvelée dans sa mort et dans sa résurrection, il nous donne son Esprit...

...Comment se fait-il que, depuis un certain temps, l’homme ait découvert dans tout ce gigantesque progrès une source de menace pour lui-même ? De quelle façon et par quelles voies en est-on arrivé à ce que, au cœur même de la science et de la technique modernes, soit apparue la possibilité de la gigantesque autodestruction de l’homme ; à ce que la vie quotidienne offre tant de preuves de l’emploi, contre l’homme, de ce qui devait être pour l’homme et devait servir l’homme ?

Comment en est-on arrivé là ? L’homme en marche vers le progrès n’a-t-il pas pris un seul chemin, le plus facile, et n’a-t-il pas négligé l’alliance avec la sagesse éternelle ? N’a-t-il pas pris la voie « spacieuse », en négligeant la voie « étroite » ?

C’est à cela que l’homme est appelé dans l’alliance avec la sagesse éternelle.
... Il n’existe qu’un problème, celui de notre fidélité à l’alliance avec la sagesse éternelle, qui est source d’une vraie culture, c’est-à-dire de la croissance de l’homme, et celui de la fidélité aux promesses de notre baptême au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit !

Alors permettez-moi, pour conclure, de vous interroger :

France, Fille aînée de l’Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ?

Permettez-moi de vous demander :

France, Fille de l’Eglise et éducatrice des peuples, es-tu fidèle, pour le bien de l’homme, à l’alliance avec la sagesse éternelle ?

Pardonnez-moi cette question. Je l’ai posée comme le fait le ministre au moment du baptême. Je l’ai posée par sollicitude pour l’Église dont je suis le premier prêtre et le premier serviteur, et par amour pour l’homme dont la grandeur définitive est en Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit.

 

14 août 1983 - Prière de Jean-Paul II à Lourdes

« Ici, sur cette terre de France, je confie, ô Mère de Dieu, à ton amour maternel les fils et les filles de ce peuple. Ils n'ont pas cessé de t'honorer, dans leurs traditions, dans l'art de leurs cathédrales, dans leurs pèlerinages, dans la piété populaire comme dans la dévotion des auteurs spirituels, sûrs de demeurer proches du Christ en te contemplant, en t'écoutant, en te priant.

Beaucoup ont tenu à se consacrer à toi, y compris des rois, comme l'a fait Louis XIII au nom de son peuple.

Ô Marie, obtiens pour ces frères et sœurs de France les dons de l'Esprit Saint, afin de donner une nouvelle jeunesse, la jeunesse de la foi, à ces chrétiens et à leurs communautés, que je confie à ton Cœur Immaculé, à ton amour maternel. »

 

En 1986, samedi 4 octobre, il disait encore à Lyon dans son homélie à la Messe de Béatification du Père Chevrier :

« La France demeure un grand pays, à l’histoire prestigieuse et une grande tradition culturelle, avec à sa racine une tradition spirituelle, fruit de la foi de tout un peuple qui a bâti ses cathédrales, produit des œuvres mystiques, développé d’innombrables initiatives de charité, entrepris une épopée missionnaire.

Église qui es à Lyon, tu as été baptisée dans le sang de tes martyrs, souviens-toi de ta ferveur première avec l’évêque Pothin, le diacre Sanctus, l’esclave Blandine... Église de Lyon, souviens-toi aussi de l’évêque Irénée qui, pour toute l’Église, a défendu la véritable foi au Verbe Incarné, vrai Dieu et vrai homme, au regard des gnoses qui déjà tentaient de dissoudre cette foi.

Église de Lyon, souviens-toi de toutes les initiatives prises par tes fils et tes filles au cours des siècles pour sanctifier l’Église, servir son unité, pour l’entraîner au service de la société comme Marius Gonin et Joseph Folliet, développer l’œcuménisme comme le Père Couturier, aider l’éducation des jeunes comme la bienheureuse Claudine Thévenet, stimuler le rayonnement missionnaire de l’Église comme Pauline Jaricot, assurer une présence contemplative au milieu des non-chrétiens comme le Père Jules Monchanin. Ils sont légion, “foule immense de témoins”, et constituent pour nous des guides, une famille, des intercesseurs, selon l’expression de la préface des saints.

Et toi, Église de France, souviens-toi de ton baptême, de l’alliance que Dieu n’a jamais reniée, souviens-toi de Son Amour, souviens-toi de l’Esprit-Saint qui t’habite et qui peut toujours susciter en toi un nouveau printemps spirituel si tu le désires vraiment. Ne crains pas, ne te laisse pas décourager par les difficultés à vivre aujourd’hui la foi ; tes saints les ont connues et dépassées. »


Et au départ de Lyon, le 7 octobre 1986, fête de Notre-Dame-du-Rosaire :

« Il m’a semblé rejoindre l’âme profonde de la France dont les fils et les filles n’ont pas oublié leur histoire chrétienne, leur vocation de baptisés, même environnés par le brouillard de l’indifférence religieuse, du doute ou du respect humain, qui trop souvent tend à les replier sur eux-mêmes. Un nouvel élan spirituel et apostolique est possible pour l’Église en France. »

 

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5 décembre 1983 - Message à Lucie

C'est en France que j'ai déposé mon Divin Cœur,
comme on dépose une perle dans un écrin.
C'est à la France d'en susciter la dévotion
et de la maintenir à travers les âges.
« Le règne viendra par l'Alliance ».
A présent le temps est venu
où Je dois présenter à mon Père
mon peuple uni dans l'Alliance
et sous le signe de ma Croix.

Avance et regarde l'horizon...
Déjà l'aurore paraît, avec elle vient l'espérance...
Regarde les signes de L’ALLIANCE.
Travaille pour ton Dieu, ma toute-petite.
L'Amour a posé sur toi le doigt et te bénit.
C'est de la France, ma fille aînée,
que j'adresse ce message à mon Eglise.
Je n'ai fait que vous rappeler
la sainte doctrine de mon Evangile
que Je veux voir refleurir sur la terre.
Puisez aux richesses
qui font la tradition de ma Sainte Église.

 

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22 janvier 1990 - Message à Vassula
(Message pour la France, donné pour la réunion de prière du 11 février 1990 à Nice)

- La Paix soit avec vous. Je suis l'Esprit d'Amour, de Paix, de Réconciliation. Je suis Celui qui vous aime le plus. Je suis votre Créateur. Je vous dis solennellement que Je continuerai à répandre Mon Saint Esprit sur vos fils et filles comme il n'est jamais arrivé depuis de nombreuses générations, pour vous nourrir directement de Ma Propre Main et placer Ma Loi tout entière sur vos coeurs.

De vos jours, Je suis en train de révéler Ma Sainte Face à vous tous. Oui, Ma Sainte Face brillera sur vous, Mes bien-aimés. Je vous révélerai Ma Gloire et toi qui pourrais ne pas Me connaître encore, Je viendrai également à toi et Je prendrai ta main dans la Mienne et la placerai sur Mon Sacré Coeur. Je te ferai ressentir Mes Battements de Coeur et si alors tu Me le permets, Je séduirai ton petit coeur et le consumerai de Mon ardent Amour et le ferai entièrement Mien.

Si vous vous abandonnez à Moi, Je vous formerai à Ma Divine Image. Je vous redonnerai votre divinité et Je vous ferai saints comme Je suis Saint. Venez donc à Moi, votre Sauveur. Pourquoi regarder ailleurs ? Pourquoi rechercher ce que le monde offre et qui ne dure pas ? Recherchez ce qui est Saint et Eternel. Pourquoi se fier à ce que le monde offre alors que ce qu'il offre ne dure pas ? N'avez-vous pas déjà entendu que J'ai dit combien toute chair est herbe ? L'herbe se dessèche, la fleur se fane, mais Ma Parole reste à jamais. Tournez-vous vers Moi et faites confiance à Mon Amour.

Mes petits enfants, Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. N'écoutez pas le Tentateur qui cherche la ruine de votre âme - son empire est dans le monde - mais écoutez-Moi, votre Dieu, qui vous offre aujourd'hui Ma Main et qui Me courbe jusqu'à vous pour vous élever de la poussière et vous rendre saints dans Mon Coeur. Ecoutez-Moi et vous hériterez Mon Royaume. Venez à Moi et faites la paix avec Moi. Je vous lègue Ma Paix, une Paix que le monde ne peut pas vous donner.

Viens, toi qui ne M'as pas encore reconnu comme ton Rédempteur et détache-toi des choses élémentaires qui ne peuvent ni élever ni nourrir ton âme. Pourquoi acceptes-tu d'être leur esclave ? Reviens à Moi, même dans ta misère et ta culpabilité. Je t'accepte tel que tu es et Je te dis que Je t'ai déjà pardonné. Laisse-Moi te dire, Mon enfant, qu'aucun homme n'a un plus grand amour pour toi que le Mien. Lève tes yeux vers Moi et regarde Qui te supplie : c'est Moi Jésus, ton Sauveur, qui viens à toi aujourd'hui, parlant par les bouches mêmes des plus petits d'entre vous. Je viens pieds nus* et comme un mendiant te demander un retour d'amour. Je suis à la recherche de ton coeur, ne Me refuse pas... Jour et nuit, Je tends Mes Mains vers toi. Quand viendras-tu à Moi ? Quand entendrai-Je ta réponse ? Trouverai-Je une réponse dans ce désert, Mon enfant ? ou bien le Silence recouvrira-t-il Mon Ame ? Ecoute, écoute Ma plainte, c'est la consolation que tu peux M'offrir. N'aie pas peur, Je t'aiderai. Tu vois ? Je te renouvellerai entièrement si tu t'abandonnes à Moi. Je suis venu jusqu'à ta porte, et si vous êtes rassemblés ici aujourd'hui pour écouter ce que Mon Esprit vous dit, c'est parce que J'ai choisi qu'il en soit ainsi. Je suis venu te donner l'Espérance, Je suis venu te donner la Lumière. Je ne suis pas venu te condamner mais te réveiller, Mon enfant, et te montrer Mon Sacré Coeur, et Qui Se tient devant toi.

Vous êtes à Moi, bien que vous ne le soyez pas tous car certains placent l'honneur des hommes avant l'honneur qui vient de Dieu. Aussi Je vous dis solennellement :

Recevez Mon Saint Esprit aujourd'hui...
Recevez Mon Saint Esprit aujourd'hui...
Recevez Mon Saint Esprit aujourd'hui...

Reviens à Moi. J'entends te délivrer du mal et réveiller ton amour pour Moi. J'entends Me montrer à toi et te donner le signe de Ma Sainte Présence comme Je le donne à d'autres, te couvrant de Mon délicat parfum d'encens. Viens donc à Moi Me parler. Me parler c'est prier, prier avec ton coeur. Je suis venu dans le calme de la nuit te rappeler Mes préceptes. Ne sais-tu pas que depuis le commencement des temps, depuis que l'homme fut mis sur terre, une chambre au Ciel a été préparée pour toi ? Ta Demeure est au Ciel, avec Moi, à Mes côtés. Que cette chambre soit remplie de ta présence. Ne Me chagrine pas de voir ta chambre vide pour l'Eternité... Retourne à Moi, cesse d'errer sans but dans ce désert, cherche-Moi, Mon enfant. Cesse de faire le mal, apprends à pardonner, apprends à faire le bien. Sois confiant en Moi, ton Dieu, apprends à aimer tes ennemis, fais la paix avec Moi. Je te dis solennellement que si la terre est aujourd'hui recouverte de désastres, c'est le fruit de son apostasie.

Ah ! Mes amis, vous tous qui M'aimez et Me vouez votre vie entière, vous qui avez libéré le nécessiteux lorsqu'il appelait et avez donné votre chaleur à l'orphelin qui n'avait pas d'amour, vous qui êtes sensibles aux besoins des pauvres et qui consolez la veuve et qui ouvrez toutes grandes vos portes aux sans-père, et vous, qui cherchez à servir la cause de la Justice, sans jamais lever la main contre les innocents, réjouissez-vous ! car vous êtes vraiment Mes enfants. Aujourd'hui, Mes bien-aimés, Je vous demande de prier avec ferveur et de réparer pour ceux que Mon Coeur aime, mais qui se sont tournés contre Moi. Je vous demande de vous immoler pour tous ceux qui aggravent Mes Plaies, en les voyant tuer leur enfant avant même sa naissance. Priez pour le sein qui forme ces enfants mais les oublie et ne s'en rappelle plus le nom.

Invoquez-Moi dans vos difficultés et J'accourrai vers vous. Comptez vos grâces et louez-Moi. N'avez-vous pas entendu auparavant que Je secours tous ceux qui s'accrochent à Moi ? Vous n'êtes pas sans père, vous avez un Père au Ciel qui vous aime infiniment et Son Nom est comme une myrrhe s'épanchant de Lui pour vous oindre et vous bénir. Mes bien-aimés, Je vous fais don de Mon Amour. Prenez courage, vous tous qui vous immolez pour les autres. Je suis près de vous pour vous consoler. Prenez courage, Mes enfants, votre Dieu est très près de vous et beaucoup ont entendu Mes pas. L'Amour est en train de revenir à vous comme Amour et habitera parmi vous.

Je bénis chacun de vous, laissant Mon Soupir d'Amour sur vos fronts. Soyez un.

ICTUS

* Pieds nus : en simplicité, sans choisir des âmes particulièrement saintes pour Se manifester à travers elles.



25 novembre 1994 - Message donné en France à Vassula

- Mon Seigneur !

- Je Suis. Appuie-toi sur Moi... paix, Mon enfant. Ecoute et comprends : dépends de Ma puissance massive et de Mon Infinie Miséricorde. Prêche de la façon que Je t'ai prêché. Suis le coeur de la Loi*. Je te rappellerai tout ce qui t'a été dit.

(Puis le Christ m'a donné ce message pour la France :)

En ces jours, Je Me suis revêtu de toile de sac, pour manifester Mon chagrin. N'as-tu pas remarqué comme J'ai pris le désert à la recherche de Ma Fille Aînée* ?

Aujourd'hui, si J'ai pris le désert à ta recherche, c'est afin de mettre à l'épreuve l'authenticité de ton nom**, puisque tu as été choisie la première pour répandre Mon Amour. Je n'oublierai jamais combien tu étais Ma fierté et Mon orgueil et combien tu avais été obéissante.

Qu'est-il advenu du zèle ardent que tu avais auparavant ? Jadis, J'étais attrayant pour ton coeur. Comment as-tu pu oublier toutes les Grâces que tu as obtenues de Moi, hier encore ?

Fille-de-Mon-Eglise, tu es héritière de Mon Royaume ! Je suis venu à toi pour raviver ta dévotion à Mon Sacré Coeur, au travers d'une promesse.***

Don-de-Mon-Père, jadis gardienne de Mes Intérêts, ne M'oblige pas à dire : " Ma Propriété a été vendue**** et Elle s'est remplie d'administrateurs, au lieu de permettre à Mon Esprit d'y garder Son siège. Maintenant, Mon siège est gouverné par la chair ".

Reviens à Moi et corrige à nouveau ton coeur ; repens-toi et reconnais ton péché en présence de Mon Père, et Je répondrai à ton cri de repentir.

Chrisme

* C'est-à-dire l'amour : "Évangélise avec amour pour l'Amour".
** Allusion au titre de "Fille aînée de l'Eglise" par lequel, depuis le XIIème siècle, les Papes désignent la France (note du traducteur).
*** La France doit promettre fidélité au Sacré Coeur.
**** En anglais : given away (sold away) : dissipée, distribuée, donnée.

 

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3 juin 1996 - Message à Françoise

Jésus le Christ te dicte : sens Ma douleur, peuple choisi de France, et comprends combien tu offenses ton Dieu.

Que ce soit vers Moi que tu tournes ton regard, à présent, afin d’implorer Mon pardon pour tant de méfaits que tu as commis.

Mon peuple, Je t’ai donné une reine, Marie Ma sainte Mère, et toi, tu l’as écartée et t’es éloigné de Moi.

Mais Marie garde ses enfants de France ; elle les sauvera et Me les ramènera.

Ouvrez vos yeux, enfants, et voyez comment Marie sillonne déjà la France afin de venir vous chercher et vous ramener tendrement, vers la Lumière.

Dans peu de jours, Je serai à nouveau parmi vous : Je vous illuminerai de Ma radieuse Présence, et pénétrerai dans vos cœurs préparés par Ma Mère bien-aimée. D’ici peu, vous saurez alors qui Je Suis et combien vous M’avez fait mal, vous qui avez repoussé votre Maman céleste.

Le royaume de Jésus viendra par Marie : J’ai choisi votre pays pour rechristianiser le monde, en le sanctifiant, en vous sanctifiant.

Marie ne laisse jamais ses enfants ; c’est pourquoi elle vient parmi vous aujourd’hui - les vierges pèlerines -, déversant ses grâces sans nombre et attendrissant vos cœurs.

Mais J’ai besoin de votre regard d’amour, de l’éveil de votre cœur, et cela, afin de vous purifier, de vous montrer combien Je vous aime. J’ai besoin que vous compreniez combien vous M’offensez journellement, vous vautrant dans la boue du péché et sombrant à l’état de larves esclaves de Satan.

Vous ignorez tout de Satan, car vous croyez encore qu’il n’existe pas ; eh bien, Je vous dis, Moi, le Christ Jésus : Satan est caché auprès de vous, prêt à sauter sur votre faiblesse à chaque instant ; il est esprit et esprit de mal : il veut détruire vos cœurs et vos corps en vous amenant vers la souffrance éternelle.

Ouvrez donc vos yeux et comprenez que Dieu ne donne pas la souffrance et que c’est seulement votre inclination pour le mal, votre refus de Dieu, qui vous font recevoir tant de douleurs.

Revenez à Moi, Me demandant pardon de tant de méchanceté à Mon égard : Je vous pardonnerai, vous serrerai contre Mon Sacré Cœur, vous délivrerai du mal qui vous tient prisonniers.

Je veux que la France connaisse la tendresse de son Dieu ; pour cela, faites-vous tout-petits, pendant qu’il est encore temps…

Je vous aime et vous bénis, vous qui accueillez Mon Message.

Je sauverai la France, après l’avoir purifiée ; elle Me servira et M’adorera.

Jésus le Christ


5 juin 1996 - Message à Françoise

Jésus le Christ te dicte : cela est Mon message pour la France, à nouveau ; écris pour ton pays, enfant.

Voici à nouveau que Je viens en votre pays, par la bouche de Mon instrument fidèle, vous donner la vie en abondance.

C’est maintenant que Je descends en vos cœurs, pour les illuminer de Ma Présence constante, de Ma tendresse profonde pour chacun d’entre vous.

D’ici peu, le tonnerre va gronder au-dessus de votre pays, car le mal que vous avez fait appelle le mal à tomber sur vous. Ce n’est pas Dieu qui vous envoie les souffrances, c’est le démon qui vous les inflige parce que vous l’acceptez en vos âmes. Le péché appelle la souffrance…

Revenez à Moi, âmes de ce temps, car votre souffrance de l’âme ou du cœur, du corps aussi, prendra son apaisement dans la douceur de Mon Cœur divin.

Mais pour cela, il faut que vous daigniez Me regarder, Me croire lorsque Je vous dis que Je vous aime, Me faire confiance lorsque Je vous dis que Je pardonne inlassablement, à qui M’offre ses péchés en s’en repentant.

Je vous éclairerai si vous le désirez, vous apprenant à Me connaître, à ne pas M’offenser.

Pourquoi M’offensez-vous si fort, vous moquant de Mes commandements d’Amour ? Pourquoi ne désirez-vous pas la vie et le bonheur de l’amour en vous ?

Pourquoi croyez-vous que les misères qui vous arrivent sont irrévocables ? Ne comprenez-vous pas que Je vous ai créés pour la joie, et ce, quelles que soient les difficultés de la vie ? Croyez-vous donc que Je ne souffre pas en regardant tant de maladies physiques et morales tomber sur vous ?

Je peux retirer le mal de la terre, si vous croyez que Je - le Christ Jésus - veux votre bonheur ; Je peux le défaire du pouvoir que vous lui avez donné si vous revenez à Moi humblement, Me demandant pardon pour tant de peine faite à Mon Cœur.

Si vous acceptez de changer vos vies, en Me laissant faire le bien en vous, Je purifierai vos âmes et sauverai vos cœurs qui n’existent plus guère.

Il faudra que Je vous donne l’épreuve du feu pour que vous Me regardiez en abaissant votre orgueil… Mais, quoique Mon Cœur ne désire pas vos souffrances, Je serai obligé de les laisser vous atteindre si vous ne reconnaissez pas votre Dieu.

Comprenez-vous combien Je vous aime, enfin ?

Ne désirez-vous donc pas l’infini Amour que J’ai pour vous ? Est-ce que votre vie d’esseulés vous satisfait vraiment, ou voulez-vous enfin rendre Gloire à votre Créateur pour la beauté de votre âme qu’Il veut vous rendre ?

Ouvrez donc vos yeux, et si vous n’y arrivez pas demandez-le-Moi, et Je vous promets que Je M’élancerai vers vous, vous donnant de Me connaître et de M’adorer, afin que vous soyez enfin heureux.

Je vous bénis, vous qui accueillez Mon message.

Jésus le Christ

 
 
Sacré Coeur - Témoins de l'Amour et de l'Espérance
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