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Marie-Elisabeth
(Belgique
: Bruxelles)
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Le Seigneur a rappelé à Lui <<<
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Marie-Elisabeth <<<
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dimanche 7 mai 2006 <<< |
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Extraits du livre de
Marie-Elisabeth : « Toi aussi, annonce ma venue » |
Message du lundi 24 juin 1990
Comprenez-vous la grandeur et la gloire de la Croix ?
Jésus : « Ô Croix
glorieuse ! Croix glorieuse que tu as rejetée, mon enfant. Croix
qui t’a racheté. Croix qui t’a sauvé. Mes enfants, ma Croix est
la vôtre et la vôtre est la Mienne. Portons notre croix ensemble.
Pourquoi voulez-vous la porter seuls ? Plus vous la rejetez, plus
votre croix sera lourde. Venez, mes enfants, regardez la Croix.
La Croix est le signe de l’espérance. La Croix est le signe de
l’Amour. En regardant ma Croix, vous y découvrirez le livre de
Vie, la réponse à toutes vos questions car la Croix, ma Croix,
est victorieuse. Ma Croix est triomphante. Ma Croix est glorieuse.
Ma Croix vous délivre. Respectez ma Croix. Regardez-la souvent
: c’est Elle qui vous sauve, c’est Elle qui vous pardonne. Je
ne suis pas seul sur la Croix. Lorsque J’étais sur la Croix, J’y
portais toute l’humanité. Et ma Mère et votre Mère, Elle aussi,
portait ma Croix.
Très souvent, vous croyez que vous portez seuls votre croix. En
ce moment, Je vous regarde et Je vous invite à la porter avec
Moi. Car Ma Croix est celle qui vous unira à mon Cœur. C’est par
ma Croix que vous obtiendrez le pardon. N’ai-Je pas suffisamment
souffert pour vous ? Je vous ai tout donné. Sur la Croix, Je n’avais
plus rien, même plus ma Mère, même plus mon Sang car il était
versé pour vous. Je représentais l’orphelin, l’abandonné, le délaissé.
Mon Cœur fut même transpercé. Je n’avais plus rien à vous donner.
Tous mes amis étaient en fuite. Tous ceux qui M’avaient promis
d’être avec Moi étaient partis. J’étais l’orphelin de la terre,
le Fils abandonné du Père. Tout cela pour vous sauver de votre
péché. Comprenez-vous maintenant la grandeur de la Croix ? Comprenez-vous
la gloire de la Croix ?
Vous aussi, votre croix vous sauve. Ceux qui sont avec Moi sur
la Croix sont les sauveurs du monde. Si vous pouviez comprendre
la grandeur et l’importance de vos croix, vous Me diriez tous
les jours : « Seigneur, donnez-moi votre Croix. »
Vos croix se transformeront en perles précieuses dans le Royaume.
Elles aussi seront glorieuses avec la Mienne. Je présenterai vos
croix à mon Père. Et votre croix brillera pour toute l’éternité.
Car votre croix est unie à la Mienne. Elle est glorieuse avec
la Mienne. Remerciez-Moi lorsque vous avez une petite croix à
supporter sur vos épaules. Très souvent, Je la prends et la mets
sur les Miennes afin d’alléger le poids de votre souffrance. Tel
est mon Amour. Je ne puis voir votre souffrance et, pourtant,
elle est nécessaire.
Pourquoi avez-vous enlevé mon Corps de la Croix ? Certes, mon
Corps a été remis entre les bras de ma Mère. En Me recevant dans
ses bras, Elle y reçut tous ses enfants. En Me regardant, Elle
regardait chacun et chacune d’entre vous. Elle vous enfantait
dans son Cœur, certes dans la douleur, mais avec quelle espérance.
Elle portait en Elle la victoire de mon Amour.
Notre-Dame des Douleurs, Notre-Dame de la Victoire. Dans la douleur,
elle portait dans son Cœur Immaculé le triomphe et la résurrection
de chacun d’entre vous. Elle remit mon Corps à ceux qui devaient
M’ensevelir. Ainsi remet-Elle à chacun, à chacune, le Corps, mon
Corps, dans la Sainte Eucharistie. Son Cœur remet mon Corps.
Prêtres, c’est par les mains de ma Mère que vous buvez mon Sang.
Comment pourrait-Elle ne pas être présente lorsque vous offrez
son Fils, Elle, présente au pied de la Croix ?
Comment pourrait-Elle ne pas être présente lorsque vous M’offrez
à mon Père en victime pour les péchés du monde ? Vous tenez mon
Corps entre vos mains comme Marie Me tenait dans ses bras.
Mon Corps et mon Sang, Elle les offrait à mon Père. Sa douleur
fut grande : voilà la rançon de la Croix. Voici la grandeur de
ma Croix. Comment avez-vous pu mettre une croix sans mon Corps
? Mon Corps est le prix de l’Amour. La Croix sans mon Corps est
une croix païenne. Comment instruisez-vous vos enfants en l’absence
de mon Corps ? Comment peuvent-ils Me reconnaître ? Comment peuvent-ils
reconnaître le prix de la souffrance ?
Comment parler de la souffrance si mon Corps n’est pas déposé
sur la croix ?
Vous avez enlevé mon Corps de la croix ; regardez le monde aujourd’hui…
il lève les yeux vers une croix vide. Ce n’est pas le bois qui
vous a sauvés, c’est mon Corps offert en victime pour l’humanité.
Avez-vous si peur de Me regarder sur la Croix ? Si vous avez peur
de Me regarder sur la Croix, quelle sera votre peur lorsque vous
regarderez vos enfants sur la Croix !
Comment apprendrez-vous le sens de la souffrance ?
Comment expliquerez-vous le pardon, la Rédemption, l’Amour infini
de mon Cœur ? Quelle sera votre explication si vos enfants trouvent
le bois vide ? Auriez-vous honte de mon Corps ? Il est vrai que
Moi aussi J’ai honte de certains de mes enfants, de leur corps
souillé par le péché, ce corps de chair dont ils n’ont plus aucun
respect. Ils ne connaissent plus la valeur de ma Création. Je
leur ai donné un corps pour M’aimer et, pour certains, leur corps
sert à se damner. Pourtant, mon Amour pour vous est infini. A
chaque instant, Je vous attends. A chaque instant, J’attends la
purification de votre âme, de votre corps, Je vous fais signe,
Je vous appelle. Ma voix résonne dans votre cœur. Elle vous dit
:
« Viens, viens, mon enfant, J’oublierai ta misère, Je te couvrirai
de mon Pardon, Je te consolerai dans ta peine, Je te donnerai
le baiser de ma Tendresse, car Je t’attends depuis si longtemps.
Comment pourrais-Je ne pas t’aimer puisque mon Cœur a été transpercé
pour toi ? Ô enfant, grand est ton nom. Ô enfant, tu es le prix
de mon Sang ! Ô enfant, ressuscité avec Moi, car, au bout du chemin,
Je te montrerai mon Royaume ! Viens, ne tarde plus, car il se
fait tard. Viens, J’ai besoin de toi. Mon Cœur languit. J’ai besoin
de ton amour afin que mon Sang ne soit pas inutile. Ma Mère t’aidera,
Elle te donnera la main, sa main, celle que J’ai tenue dans la
Mienne. A ce moment, elle sera la tienne. Implore ma Mère, demande-Lui
sa main, demande-Lui sa présence, car toi, tu ne connais pas le
chemin, tu es dans les ténèbres. Appelle ma Mère, mets tes deux
mains dans les Siennes et, pas à pas, tu apprendras à marcher
avec Elle. Car Elle connaît le prix, le prix de mon Amour pour
toi.
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Elle
te conduira vers la Lumière. Elle te conduira vers le pardon.
Tu monteras avec Elle l’échelon de ma Miséricorde. Elle-même te
présentera; n’aie pas peur. J’ai créé ma Mère, la créature la
plus pure de tout l’univers.
Je
l’ai créée avec une compréhension sublime afin qu’Elle comprenne
les enfants que J’ai mis au monde sur ma Croix. Alors, viens…
tu y trouveras ce que tu cherches; tu y trouveras ce que tu as
perdu. N’hésite plus, viens. N’attends plus qu’il soit trop tard.
Tu ne connais ni le jour ni l’heure. Quand Je frapperai à ta porte,
seras-tu prêt à Me suivre ? Que d’Amour Je veux te témoigner…
et que d’amour on Me refuse. » |
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Message du lundi 29 mars 1999
Jésus : « Moi, Jésus, J’ai aussi ma façon de récompenser mes enfants.
Tout comme Je te vois, par ma Puissance divine, Je regarde chacun
de mes enfants, Je mendie leur amour.
Par le fait que mon divin Cœur déborde d’Amour, Je transformerai
l’humanité dans sa purification.
Ce sera comme un fleuve d’amour dont la source sera telle que
vous pourrez vous y désaltérer en buvant continuellement de son
eau. Vous n’aurez plus jamais soif.
Mon Cœur débordant d’Amour pour vous ne se tarira jamais.
Préparez-vous à boire de cette Eau vive.
Je l’ai créée pour vous. »
Message du Lundi de Pâques, le 5 avril 1999
Jésus : « Le monde est dans les ténèbres, mais Je suis la Lumière.
Le monde a choisi un autre chemin, celui de la perdition, mais
Je viens le libérer.
Les guerres s’accentuent, mais Je suis le Roi victorieux.
Je regarde les cendres éparpillées sur vos terres, des corps calcinés
par le produit de la haine.
Mais ces corps, Je les ressusciterai parce qu’ils ont été brûlés
à cause du péché de l’homme.
Mais, Moi votre Dieu, Je rassemblerai leurs os et les ferai vivre.
Je leur donnerai, par ma Puissance et mon Amour, la vigueur et
les forces nécessaires pour témoigner que Je suis le Dieu des
Armées et que rien ne peut M’empêcher de rassembler leur chair
calcinée provoquée par la vengeance.
Oui, Je ferai revivre ces cendres, car tout M’appartient. Je suis
ressuscité d’entre les morts pour leur transmettre la vie, la
vie éternelle. Tu ne peux t’imaginer la peine de mon divin Cœur
en voyant ce désastre provoqué par mon ennemi. L’homme se laisse
manipuler par lui.
Dis-Moi, n’ai-Je pas tout fait pour sauver l’humanité ?
Réponds-Moi ?...
Vous devez apprendre à partager les conséquences de l’action de
ces démons sur la terre : les guerres, l’égoïsme, l’orgueil, qui
dépassent la mesure.
Elle peut mener très loin, la situation actuelle, en se préparant
elle-même le chaos qui n’est pas ma Volonté. Car ma Volonté est
un plan de reconversion dans un esprit d’amour et d’unité.
Priez, l’heure de mon Retour ne tardera plus.
J’abrège les jours de cette purification.
Mon Cœur est au bord de ce qu’un Dieu ne peut supporter.
L’heure vient, elle est déjà là, cette heure où l’humanité verra
Celui qu’elle a rejeté.
Retenez les loups, formez un barrage, unissez-vous, soyez prêts
à poser des actes qui dépassent votre égocentrisme.
Que cela ne reste pas au niveau de la pensée, mais au niveau du
cœur.
Ouvrez le coffre-fort de l’Amour et répandez tous ensemble ce
dont le monde a besoin : la réconciliation, le pardon. Sans pardon
entre les nations, il n’y aura pas de paix ni de justice.
Qu’en mon Nom, vous chassiez les démons de la terre.
Je vous le demande, apôtres des derniers temps, des derniers jours.
Accomplissez cette charité envers vos frères ; ils souffrent pour
la purification de la terre, aidez-les.
C’est par mon Nom et ma Puissance d’Amour que vous collaborerez
à la grande victoire du Ressuscité. (Par ma Croix glorieuse)
Méditez ce que Je vous dis. Avec Marie, mettez en pratique ces
paroles : « Faites tout ce qu’il vous dira. »
Message du mercredi 17 novembre 1999
Pendant la prière sur la Haute-Butte à Dozulé
Jésus : « Ma fille, te voici à Dozulé en ma sainte Présence.
C’est par pur amour pour toi que Je voulais que tu viennes afin
de te purifier davantage.
Tu partiras réconfortée, encouragée, pour continuer la mission
que Je veux que tu réalises pour le bien des âmes.
Le rayonnement de Dozulé te suivra partout parce que cette grâce
te sera donnée pour ma plus grande Gloire et le rayonnement de
mon Amour pour tous ceux que Je mettrai sur ta route.
Tu sais par expérience que Je te parle toujours sur la montagne,
que la montagne est l’endroit préféré pour parler aux hommes.
Durant ma vie, Je leur enseignais les Béatitudes.
C’est pourquoi ceux qui viendront sur cette montagne dans le repentir
et la pureté de leur cœur,
Je les appelle bienheureux.
Cela doit te rappeler les Béatitudes.
Médite les Béatitudes et tu comprendras pourquoi J’ai voulu que
tu viennes par ma Volonté.
Remercie-Moi pour cette grâce. C’est la grâce que Je donne en
la fête de sainte Elisabeth.
Avec Marie, la protectrice de la mission « Toi aussi, annonce
ma Venue », c’est aussi sur la montagne de Jérusalem que mon Sang
précieux fut versé pour le rachat de toute l’humanité.
Aujourd’hui encore, c’est sur la montagne que Je Me manifeste
pour sauver ce qui peut encore être sauvé.
Bénis le Seigneur, car Je viendrai avec la rapidité de l’éclair,
montrant la Lumière venue d’en-haut.
Sois dans la joie et dans l’attente du Fils de l’homme…»
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