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Dozulé Sulema Vassula
 

Dieu le Père, 3 février 1995

Véronique, en essuyant le sang et la sueur du visage de mon Fils, a témoigné d'un véritable amour de Dieu. Son geste de compassion et d'amour a montré que l'amour de l'homme n'était pas mort. Ce seul geste de consolation a profondément touché l'esprit de mon Fils et l'a fortifié en cette heure de détresse. Le nom de Véronique a résonné dans le temps et dans les cieux lorsqu'elle n'a pas craint d'aimer son Seigneur publiquement, au vu et au su de tous. Son acte a élevé Véronique à la gloire du ciel et il en sera ainsi pour tous ceux qui, sans peur, ne craindront pas d'aimer mon Fils Jésus au grand jour.


L'Esprit-Saint, 6 février 1995

Le feu de l'amour brûle en vous. Il est toujours là, même si parfois vous ne pouvez le sentir. Le feu de l'amour vous remplit quand vous en avez besoin. Il vous remplit des dons qui vous sont nécessaires pour faire le travail du Père et du doux Jésus. Le feu de l'amour est toujours avec vous. Sachez-le et soyez heureux.


Le Seigneur Jésus, 11 février 1995

Fils de Dieu, Fils de l'Homme.
Fils de l'amour, Fils de la pureté.
Fils de la lumière, Fils de l'Immaculée Conception.
Dans les temps où manquent l'amour, l'espérance et la miséricorde, tournez-vous vers moi et trouvez, en mon divin Cœur, votre amour, votre espérance et votre miséricorde.
Mettez en moi votre confiance comme l'ont fait tous ceux qui sont au ciel.
Placez-vous en moi comme l'ont fait tous les saints. Remettez-vous-en à moi comme l'ont fait tous les martyrs. Puis devenez un avec moi pour toujours.
Il y a bien longtemps, est venu un homme, un homme de foi. Il y a bien longtemps est venu Dieu. Il y a bien longtemps est venu l'Homme-Dieu et il reviendra bientôt.


Dieu le Père, 13 février 1995

Sur une colline se dressait la Croix de la Rédemption,
Sur une colline, se dressait la Croix du pardon,
Sur une colline se dressait la Croix de l'amour.
Il faut aujourd'hui que l'humanité se tienne à l'ombre de la Croix et trouve la vraie force de Dieu. Il faut aujourd'hui que l'humanité se tienne à l'ombre de la Croix et montre sa vraie force.
Il faut aujourd'hui que l'humanité se tienne à l'ombre de la Croix et témoigne de son véritable amour de Dieu. Car c'est le seul chemin pour aller à la Maison, au ciel.


Dieu le Père, 13 février 1995

J'aimerai les hommes jusqu'à la fin des temps. J'aurai le désir de les sauver jusqu'au début de la vie éternelle et je continuerai de dire pourquoi, jusqu'à ce qu'ils comprennent ce que cela veut dire.


Dieu le Père, 19 février 1995

La vue du monde au milieu d'une telle souffrance et d'une telle affliction me remplit de tristesse. Comme je voudrais que mes enfants changent pour qu'ils puissent être avec moi, mais ils me tournent le dos. Ils me traitent avec mépris. Pourquoi font-ils cela, alors que je n'ai que bonté à leur offrir ? C'est parce qu'ils ont été aveuglés par le mal qui prend les allures du bien. C'est parce qu'ils ont été séduits par le mal qui a bon goût mais qui n'est qu'amertume en réalité. Oh ! Comme mon Cœur se brise, comme il se désole ! Comme je m'afflige ! Combien de parents ressentent-ils cela en voyant la vie que mènent leurs enfants, puis les voient ensuite s'améliorer quand la sagesse leur vient ? Il en sera ainsi pour l'humanité, elle changera. Mais combien se perdront auparavant ?


Notre-Dame, 19 février 1995

Corruption de l'intelligence, corruption des esprits, corruption des âmes. Elle est partout dans les programmes de télévision que vous regardez. C'est normal maintenant de montrer les choses du Mauvais comme quelque chose d'amusant, sous l'allure d'un jeu d'enfant. C'est ainsi qu'est le mal. Il est partout, attaquant les jeunes et les faibles, les innocents. Il les change ensuite en serviteurs involontaires, qui deviennent ses complices sans le savoir et qui se donnent à Satan sans le vouloir.


Le Seigneur Jésus, 23 février 1995

Comme j'aspire, mes chers petits, à vous amener à moi, comme je suis impatient de vous presser sur mon Cœur et de vous remplir de chacune de mes grâces ! Il vous faut, pour venir à moi, pour vous remplir de moi, vous ouvrir dans la prière et dans les sacrements. Je peux au moyen d'eux vous envelopper complètement de mon amour. Soyez un avec moi par la pensée de mon amour pour vous quand vous priez et que vous recevez mon Corps et mon Sang.


Dieu le Père, 24 février 1995

L'humanité, avec le temps, s'est égarée au point de ne plus pouvoir retrouver le chemin de la Maison. J'ai envoyé mon Fils pour indiquer la route, mais combien ont écouté ? Je désire aujourd'hui montrer à nouveau la façon de rentrer à la Maison, chez moi, au ciel. Je désire montrer une fois de plus mon amour. L'humanité écoutera-t-elle, cette fois ?


L'Esprit-Saint, 26 février 1995


L'Unique et Sauveur de tous les hommes revient dans le monde. L'Unique qui vous aime tous revient ici-bas. L'Unique revient, qui vous unit tous au Père du ciel. Jésus est l'Unique et il revient bientôt.


Dieu le Père, 4 mars 1995

En scrutant les profondeurs de votre être, vous trouverez un profond recoin. En regardant à l'intérieur, vous trouverez votre vrai moi. Otez tout ce qui s'y est superposé, toutes les choses superficielles et vous trouverez ce que vous êtes en vérité. Quand vous verrez votre vrai moi, sachez que c'est comme cela que je vous ai faits et que c'est comme cela que vous devriez être, à l'intérieur comme à l'extérieur. En réalisant cela, vous m'apporterez le plus grand cadeau que vous puissiez me faire : vous-mêmes dans l'amour.


Notre-Dame, 9 mars 1995

Les clous, en pénétrant les mains et les pieds de mon Fils Jésus, ont percé mon cœur. La souffrance a rempli tout mon être quand, avec mon Fils, j'ai soulevé les péchés de l'homme en les présentant au Père pour obtenir son pardon. J'ai partagé la douleur intérieure de Jésus en regardant ses yeux, remplis de tristesse et de joie. Tristesse devant la sottise de l'homme et joie devant la défaite du Malin. Unie à la souffrance de Jésus, comme je regardais le sang couler sur les joues de mon doux Fils, les pleurs ont rougi sur mes joues. Quand, au milieu de douleurs atroces, il a relevé la tête pour supplier son Père de pardonner aux hommes, je pouvais voir la gloire qu'il rendait à Dieu, mais je pouvais aussi ressentir comment il luttait intérieurement pour persévérer jusqu'à la fin dans ce don qu'il faisait de lui-même. Mon cœur se brisait de ne pouvoir toucher mon Fils et le consoler dans ces moments de détresse. En tant que Mère, je ne désirais qu'une chose, que les souffrances de mon Fils prennent fin. En tant que servante du Père, je savais qu'il fallait cela, aussi me suis-je tue. Mais je priais Dieu d'apaiser les souffrances de Jésus et d'y mettre bientôt fin. En tant que Mère des hommes, je demande aujourd'hui la même chose au Père, de mettre fin à la douleur et à la souffrance dans le monde et de ramener chez lui ses enfants. A nouveau mon cœur se brise, mes yeux pleurent des larmes de sang et je prie le Père d'intervenir et de mettre terme à ces temps de souffrances. Le Père écoute et exaucera mes prières et l'humanité sera sauvée. D'abord pourtant, les hommes ont besoin qu'on leur montre ce qu'ils se sont fait à eux-mêmes, puis qu'on leur indique le chemin pour obtenir le pardon du Père. Il n'y a qu'un chemin et il leur a été montré sur la Croix. Ce chemin, c'est Jésus.


L'Esprit-Saint, 12 mars 1995

C'est une rude montée que de gravir l'escalier du ciel. Mais en atteignant la dernière marche vous trouverez que le mal que vous vous êtes donné en valait la peine. En regardant derrière vous, vous constaterez que c'est Dieu qui a guidé chacun de vos pas. Même quand vous avez trébuché, Dieu était là pour vous montrer la valeur que représentait chaque obstacle à surmonter. Chaque fois que vous vous releviez péniblement pour reprendre la montée, c'était Jésus qui, vous prenant par la main, vous aidait à vous relever. Rappelez-vous cela dans les périodes difficiles et aussi dans les bons moments.


Dieu le Père, 13 mars 1995

Après bien des années, l'humanité est entrée dans une époque où l'on admet quasi totalement le péché. Il y en a qui le prennent pour ce qu'il est, mais ils ne sont pas nombreux. Beaucoup de gens ne voient aucun mal à ce qui se passe sur le plan moral, éthique, spirituel. Beaucoup prêtent l'oreille à des arguments ingénieux en disant qu'ils leur paraissent valables et donc que tout va bien. Ces arguments ne font que masquer le mal du péché, brouiller la vérité, ils ne font que tromper et c'est tout. L'homme est si naïf qu'on l'abuse facilement. Il est si désorienté qu'on peut facilement lui indiquer la mauvaise route et il est si égocentrique qu'on flatte aisément chez lui un orgueil qui ne demande qu'à grandir. Les siècles ont passé et les hommes représentent aujourd'hui un fardeau pour mon Cœur, un poids qu'il faut enlever. Jésus aujourd'hui vous demande à tous de changer, il vous demande à tous d'être ce pour quoi vous avez été créés, de redevenir les enfants de Dieu. Ecoutez mon Fils et épargnez-vous la souffrance qui arrive, et qui est pour bientôt.


Dieu le Père, 17 mars 1995

Une génération égarée a besoin de guides, elle a besoin d'aide, besoin de salut. Jésus apporte tout cela, Jésus va venir au secours des hommes et les mènera à son Père du ciel.


Parfum de roses. Puis Notre-Dame me demande d'écrire, 19 mars 1995

Tant de péchés aujourd'hui sont admis au nom de la raison. Tant de mauvaises actions sont considérées comme bonnes. C'est ainsi que le Mauvais travaille : il donne au mal l'aspect du bien et au bien l'aspect du mal. Il fait de l'amour une abomination, il transforme la vertu en quelque chose de méprisable et change le mensonge en vérité. Comme il est rusé, si intelligent, si tentant, si attrayant ! Il attaque toujours les hommes au point faible, faiblesses de l'orgueil, de l'égoïsme, de la cupidité, de la paresse, de la vanité. Il y a tant de façons pour le Mauvais de tromper et d'éloigner les hommes de Dieu.
Si seulement les hommes voulaient bien ouvrir les yeux et voir le mal qui foisonne à travers le monde, voir la facilité avec laquelle il se répand. On enseigne aux hommes aujourd'hui, même dès l'âge le plus tendre, à admettre le mal et à le considérer comme quelque chose de passionnant, de séduisant, qui satisfait tous les besoins. Par le moyen du divertissement, les hommes montrent aux jeunes que le mal représente une option acceptable ; ce qui détourne le divertissement de ce qu'il devrait être et le transforme en instrument des ténèbres. En voyant les adultes se distraire soi-disant et s'impliquer ainsi dans le crime, la violence et les mauvais traitements sexuels, les enfants se mettent à y voir des comportements acceptables. Si les adultes en effet excusent ces façons, ont plaisir à les regarder à la télévision ou au cinéma et trouvent tout cela passionnant, c'est qu'il est bien de se conduire de cette façon. Les enfants suivent l'exemple de leurs aînés et s'ils voient leurs parents ou leurs amis plus âgés admettre de mauvaises choses comme si elles étaient bonnes, ils les acceptent comme telles. Quelle intelligence de la part du diable que d'éduquer les jeunes à sa guise en les formant au mal par l'entremise de ceux qui les aiment !
Ayant grandi avec ces valeurs qui leur sont enseignées de façon si astucieuse, les jeunes vivent en accord avec elles. Le meurtre, le vol, la drogue, le viol, l'adultère, le mensonge, la haine, la colère et la violence deviennent la façon de vivre d'un certain nombre d'entre eux. La plupart acceptent certaines de ces valeurs, d'autres les adoptent toutes. Regardez les crimes commis au nom de la sécurité nationale ou des droits ethniques. Tout est permis. Il y a ceux pourtant qui prennent le parti de la paix, de Dieu, de l'amour, de l'espérance, du bien, mais regardez ce qui leur arrive. Ces gens qui cherchent à vivre en accord avec ces vraies valeurs pour l'homme sont souvent tués, humiliés, méprisés, déclarés faibles et inutiles. N'est-ce pas ainsi que le diable réagit habituellement devant la bonté ? Il ne peut se dresser contre elle, aussi en éloigne-t-il autant de gens qu'il le peut en usant de son intelligence pour donner l'apparence du bien au mal et du mal au bien.
La façon dont réagit le Mauvais est si évidente. Elle est toujours la même depuis le début des temps, mais l'humanité ferme les yeux. L'action du Malin est si flagrante. Et pourtant les hommes continuent de ne pas comprendre ce qu'il est et la façon dont il dupe les hommes en les amenant à se détruire eux-mêmes.
II faut maintenant que les hommes s'arrêtent et regardent ce qui va arriver à eux-mêmes et à leurs enfants. Quel avenir attend l'humanité si elle suit le chemin du péché et du mal ? Celui-ci ne peut mener qu'à un seul destin : une éternité de souffrance, une éternité de ténèbres, une éternité loin de l'amour de Dieu.
Si les hommes sont capables d'ouvrir leur cœur, ils verront la beauté, la joie, le bonheur, l'amour qui pourraient être les leurs s'ils s'unissaient à Dieu au travers du cœur de son Fils, Jésus. Ils pourront mettre la main sur leur véritable identité, leur vrai moi, leur esprit véritable. Leur identité qui est l'amour, leur moi qui vit pour les autres, leur esprit qui est liberté — liberté dans l'amour de Dieu, liberté qui rend les hommes aptes à être revêtus du vêtement de la grâce et de la miséricorde divines.
Marchant main dans la main avec Jésus, les hommes verront comment trompe le Malin. Ils verront l'immense différence qui existe entre le bien et le mal, ils ôteront le masque de leurs yeux, la pierre qui pèse sur leur cœur. Et le mal qui est dans le monde deviendra si flagrant que les hommes en seront malades de voir ce qu'ils ont admis, de voir ce qu'ils ont nié. La croix, que portent les hommes aujourd'hui, leur sera enlevée et, en ce jour radieux, le doux Cœur de Jésus brillera des rayons de la miséricorde divine et du pardon de Dieu sur tous ceux qui le recherchent.


Dieu le Père, 31 mars 1995

La paix reviendra sur la terre quand l'homme regardera la vérité et l'acceptera au lieu d'accepter des mensonges. Les hommes, dans leur existence, semblent si disposés à admettre et à accueillir le mensonge et la tromperie, même quand tout le monde peut voir que ces menteries contredisent la vérité. Regardez toutes les fois où les hommes admettent le meurtre comme quelque chose d'admissible en le justifiant par un châtiment à exercer, par la guerre ou l'amour du pays. Le meurtre n'est jamais admissible, mais ils sont si nombreux, si nombreux, ceux qui le voient comme tel. Combien de gens regardent de leur hauteur ceux qui dans d'autres pays sont torturés ou mutilés, disant d'eux que ce sont de toute façon des inférieurs, que ce n'est donc pas vraiment important ! Tous les hommes sont égaux et sont importants, voilà la vérité. Mais on n'en tient aucun compte souvent. Combien de fois des peuples acceptent-ils que d'autres meurent de faim en disant que c'est de leur faute et en ne faisant rien pour leur venir en aide ! Ce sont ces mêmes peuples qui exploitent ceux qui souffrent de la faim en prenant leurs ressources naturelles, leur richesse, leur patrimoine et qui en font usage comme si c'était la propriété des seules nations riches. Les ressources naturelles dans le monde sont là pour tous et doivent être réparties également entre tous les hommes, membres d'une même famille humaine, voilà la vérité. Combien d'exemples n'y a-t-il pas de ces refus de la vérité ! Les moyens qu'emploient les hommes pour la couvrir et la dissimuler sont innombrables. La vérité est Dieu et la rejeter sous quelque forme que ce soit, c'est rejeter Dieu, et refuser Dieu, c'est accepter le Malin. Ouvrez les yeux maintenant et vivez conformément à la vérité, vivez pour aimer et vivez avec Dieu.


Dieu le Père, 2 avril 1995
La vérité

La vérité est aujourd'hui très difficile à trouver car il est fréquent que même la vérité la plus simple soit altérée ; elle n'est donc plus la vérité.
Il semble qu'on ait perdu la vérité dans le monde d'aujourd'hui. Les dirigeants des nations eux-mêmes mentent ouvertement en déclarant qu'ils disent vrai, jusqu'à ce qu'on découvre qu'il n'en est rien. Comment les hommes peuvent-ils mener des vies honnêtes si leurs chefs, leurs gouvernements et souvent la hiérarchie religieuse elle-même leur racontent des histoires ?
« Tu ne mentiras pas », voilà l'un des commandements que j'ai donnés par l'entremise de Moïse et que mon Fils Jésus a reformulés. Je n'ai pas dit : « Tu ne mentiras pas quand cela t'arrangera, mais tu peux le faire à d'autres moments.» J'ai dit : « Tu ne mentiras pas.» Le mensonge ne peut se justifier, même quand on estime que c'est dans le meilleur intérêt de ceux qui sont concernés. Comment un péché peut-il jamais servir au mieux l'intérêt de quelqu'un ? Il ne peut qu'aller à son encontre. Mentir pour dissimuler ce qui représente un péché ou une faute ne fait que grossir le problème et propager le péché. C'est en disant la vérité qu'on arrête net le péché. Cela l'empêche de couver et de se diffuser. C'est au moyen de la vérité que l'on vient à bout du Malin, car le diable ne peut l'affronter, il s'enfuit et il s'en cache. Il faut que les hommes aujourd'hui essayent de revenir à la vérité, car c'est cela qui retiendra le monde de glisser sur la pente qui mène à l'abîme des ténèbres. La vérité est une grâce que je vous ai donnée. Je vous l'ai offerte pour l'utiliser et non pour la rejeter. Utilisez-la comme elle est censée l'être, et avec amour.


Dieu le Père, 2 avril 1995
L'adultère

C'est enfreindre un autre des commandements que je vous ai donnés que de prendre l'époux ou l'épouse d'un autre, son associé dans l'amour. « Tu ne commettras pas l'adultère », voilà le commandement que je vous ai donné, car l'homme et la femme deviennent un à mes yeux quand ils font le serment du mariage. Cet engagement solennel est pris devant moi. C'est une promesse qui lie l'homme et la femme dans l'amour. Ce serment est sacré et il ne peut être rompu. Par cette promesse solennelle, vous déposez, dans mon cœur, vos deux âmes qui n'en font qu'une. Ce serment est un cadeau que me font les deux époux, c'est un don qui magnifie, dans l'amour, chaque jour qu'ils passent ensemble. C'est un don qui augmente jour après jour la joie qu'il me procure. C'est un don que je garde précieusement dans mon cœur, que je ne veux jamais perdre, que je veux garder toujours avec moi de façon à pouvoir le regarder et jouir de sa pureté et de son amour. Ce don est l'un des plus précieux que l'humanité puisse me faire.
C'est une offense pour moi que la ruine des mariages, car elle m'enlève le don que j'ai donné. Le Malin le sait ; aussi, pour me faire affront, essaie-t-il de détruire tous les mariages. En commettant l'adultère, on ne porte pas seulement atteinte au mariage, on nuit aussi à ceux qui prennent part de l'extérieur à ce péché. « Je me soucie peu de toi, disent-ils ainsi à leur Dieu. Je me moque de mes frères et de mes sœurs ; je ne m'intéresse qu'à moi.» Ceux qui participent activement à l'adultère ne sont pas les seuls à pécher ; pèchent aussi ceux qui regardent sans rien dire ou même l'encouragent.
La destruction d'un mariage par l'adultère est un péché si grave, il m'offense tellement, moi, votre Dieu, que je m'en détourne, attristé, car je n'en puis supporter la vue.
Ces enfants perdus, mes enfants, se remarient parfois et pensent alors qu'ils ne pèchent plus, puisqu'ils sont mari et femme aux yeux des hommes. Comme le Malin les trompe, car ils vivent ainsi dans le péché continuel, un état qui s'aggrave tous les jours. Ils ne reconnaissent pas ce péché, et souvent leurs familles et leurs amis non plus. Ceux-ci se contentent de l'accepter. A nouveau le péché grandit et se répand, agissant sur tous ceux qui viennent à son contact. Il faut que ceux qui vivent dans cet état recherchent le pardon de mon Fils Jésus. Et qu'ils n'y reviennent pas, quand ils l'auront reçu.
Il y a parfois d'autres raisons à la désagrégation des mariages : la violence, la colère, l'égoïsme, l'avidité, la méchanceté, il y a tant de motifs ; mais tous proviennent du Malin.
Si l'amour, dans le mariage, est nourri et entretenu, gardé présent à l'esprit et dans le cœur, rien de tout cela n'arrivera car l'amour surmonte tout. Dans leur faiblesse malheureusement, il arrive que mes enfants succombent au mal et ne laissent plus transparaître leur amour. Si cela arrive et que l'un des conjoints décide de s'en aller, l'autre doit rester fidèle à la promesse qu'il a faite en ma présence. Si tel n'est pas le cas, ce conjoint est lui aussi entraîné dans le péché. Celui-ci doit continuer à vivre comme si l'autre était toujours là. C'est ainsi qu'il ou elle manifeste un amour véritable à Dieu et à l'élu de son cœur. C'est un cadeau de sa part qui m'est tout particulièrement cher et je lui garde en retour une place toute particulière dans mon cœur.
Que les hommes n'oublient pas que c'est une grâce très particulière que de s'unir dans l'amour devant Dieu. Ne la rejetez pas et ne la détruisez pas, car vous porteriez gravement atteinte à votre âme, à votre esprit.


Dieu le Père, 2 avril 1995

La vie ou la mort

J'ai donné un autre commandement à mes enfants : « Tu ne tueras pas.» Pourquoi l'ai-je donné ? Pourquoi ai-je dit que c'est mal de tuer ? L'explication en est très simple. En tuant sciemment l'autre, vous détruisez ma création, une création de mon amour. Vous faites plus encore, vous tuez votre âme même et vous vous privez de la vie éternelle au ciel.
Il y a bien des manières de tuer et de nombreuses justifications sont apportées au meurtre. Mais quelle que soit la façon de le faire et le motif, c'est toujours mal et cela reste un péché. Si vous tuez par équité ou pour le bon motif, c'est un péché. Si vous tuez au nom de la vérité et de l'honneur, c'est un péché. Si vous tuez pour vous venger ou pour votre pays, c'est un péché. Toutes les formes de meurtre sont des péchés, à moins qu'il ne s'agisse d'un accident ou d'un acte involontaire.
Le fait d'ôter la vie à quelqu'un m'offense gravement, moi, votre Dieu, quel qu'en soit le motif. Et votre âme en porte la trace mortelle. Ceux qui approuvent le meurtre en y voyant un acte de miséricorde, un moyen de porter secours à quelqu'un qui souffre, en portent la marque sur leur âme. Ceux qui restent là à ne rien faire et qui regardent sans rien dire tandis que d'autres donnent la mort portent la cicatrice de leur inaction sur leur âme même. Ceux qui tuent dans le but d'empêcher d'autres meurtres deviennent semblables à ceux qu'ils combattent, pleins de péchés. C'est toujours mal de tuer. Toutes les formes de meurtre m'offensent, moi, votre Dieu, et vous éloignent de Moi.


Dieu le Père, 2 avril 1995
L'avidité et l'envie

C'est l'avidité et la jalousie du prochain qui amènent les hommes à pécher autant. Ils veulent plus, toujours plus. Peu importe ce qu'il ont déjà, ils s'évertuent à obtenir davantage. Ce qui peut être une grâce pour ceux qui recherchent plus d'amour, de bonté, de joie, de vérité, de bonheur et de foi. Mais c'est un péché si ce plus pour soi signifie que d'autres ont moins, si c'est pour gaspiller plus et partager moins, si l'on a en vue sa propre gloire et non celle de Dieu, si on dépasse ses propres besoins.
En regardant ce qu'ont les autres, les hommes se disent qu'ils veulent en avoir autant. Et ils le prennent, insensibles aux maux de leurs frères et de leurs sœurs, indifférents à la souffrance des animaux et aux dommages causés à la planète. Insensibles à tout.
On commet tant de péchés par avidité ou jalousie, on provoque tant de douleur et de souffrance, tellement de choses qui retirent l'homme à Dieu et l'emportent dans les ténèbres éternelles.
Il faut que l'envie et l'avidité se changent en joie de donner et en satisfaction d'avoir ce que l'on a. Les hommes pourront alors reprendre le chemin du ciel.

 
 
Sacré Coeur - Témoins de l'Amour et de l'Espérance
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