|
|
|
|
|
|
|
|
N’hésitez
pas à nous adresser vos témoignages sur les grâces
reçues ou les moments forts que vous avez pu vivre avec
le Seigneur, au cours de rencontres, de lectures de messages,
etc. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Jésus, votre Sauveur 28 août 2012 |
|
135 - Je viens vous dire à quoi ressemblera
l'illumination des consciences. |
|
Signe-toi et écris, ma fille, couverte de mon Précieux Sang,
pour la Gloire de Dieu mon Père.
Paix à vous, mes enfants. Ce soir, Je viens vous dire à quoi
ressemblera l'illumination des consciences que l'on appelle aussi
l'avertissement. Elle est une intervention directe de Dieu, elle est
une purification, premier signe pour tous que votre époque tire à
sa fin, c'est-à-dire la fin de la vie telle qu'elle est présentement. Cet événement est un moment unique dans l'histoire de l'humanité.
Un bruit assourdissant se fera entendre, et la Croix lumineuse
brillera dans le ciel; elle s'étendra de l'orient à l'occident pour annoncer la proximité de l'illumination des consciences. Dès que vous
verrez le ciel s'assombrir, mettez-vous à genoux, chapelet à la main,
et priez, priez, priez, car tout se passera très vite. Le jour deviendra nuit ; comme à Fatima, le soleil tournera37 et il s'éteindra pendant trois heures ; la lune s'obscurcira et on assistera à de grands
phénomènes sur toute la terre !
Le monde entier sera bouleversé, les gens croiront que la fin
du monde est arrivée. La crainte sera tributaire des péchés commis par chacun, la plus grande destruction se manifestera dans les
cœurs. Chacun vivra une expérience mystique par laquelle il pourra
voir son état d'âme à la lumière de la Justice divine, semblable à la
grâce accordée à Saul de Tarse38 qui fut pénétré par cette lumière.
Paul obéit à l'avertissement que Je lui ai donné, il s'est repenti et
devint le disciple fidèle, l'apôtre des païens.
Lorsqu'elle se produira, tout s'arrêtera, mes enfants. Ce sera
comme un feu, mais il ne brûlera pas votre chair ; toutefois, vous le
ressentirez intérieurement et extérieurement. L'Esprit Saint viendra comme une rosée céleste de grâce et de feu qui renouvèlera le monde
entier ; à ce moment-là, vos péchés vous seront dévoilés, le bien que
vous avez négligé de faire et le mal que vous avez fait. Il mettra
en lumière ce qui est caché dans les ténèbres et Il fera paraître les
intentions secrètes, car rien ne sera plus caché, non pour vous faire
souffrir, mais plutôt par Amour et par Miséricorde ; vous souffrirez à
cause de vos péchés non confessés.
Comprenez-vous mon insistance à vous démontrer pourquoi
il faut aller au sacrement du Pardon pour être prêts ? Autrement,
vous allez connaître la douleur du purgatoire ou de l'enfer. Vous le
verrez tous, que vous le vouliez ou non. Ce sera le plus grand geste
de ma Miséricorde, J'accorderai à tous une dernière chance.
Et, à ce moment, chacun pourra se libérer de tous ses péchés
en allant au sacrement du Pardon avec un grand repentir et le désir
de ne plus offenser Dieu, en redressant sa conduite, en changeant ses
habitudes ; ou bien, traîner ses péchés avec lui vers la damnation en
refusant de Me rencontrer dans la personne du prêtre. Je pardonnerai
tout, mais vous devrez vous repentir ; J'accepterai votre retour à mon
Sacré-Cœur, mais vous devrez revenir à Moi de vous-même.
L'effusion du Saint-Esprit sera aussi forte, aussi puissante,
après l'avertissement, qu'elle le fut au moment de la première Pentecôte. Ce qui se manifestera sera si Grand qu'il n'y a jamais rien eu
de pareil depuis le commencement du monde ! Cet événement aura
pour effet d'augmenter votre foi, il vous aidera à vous rapprocher de
Moi, il préparera l'humanité à recevoir les messages de l'Évangile.
Pourquoi cet événement ? Parce que sans la connaissance de
vos péchés, vous ne pourrez pas comprendre à quel point vous avez
besoin de Moi et de mon pardon. Ne craignez pas, mes enfants, ceux
qui croient en Dieu et en ma très Sainte Mère, ceux qui reconnaîtront
que cela vient de Dieu, seront protégés. Souvenez-vous-en, ceux qui
demeureront dans ma grâce n'auront rien à craindre, rien mes enfants.
Récitez le chapelet, c'est très important, récitez le chapelet de
la Miséricorde, car J'y attache de grandes grâces.
Si Je suis venu ce soir vous décrire à quoi ressemblera
l'illumination des consciences, connue aussi comme l'avertissement, ce n'est pas pour vous effrayer et vous faire perdre la paix, non mes enfants, non. C'est pour vous permettre de vous préparer
par la prière, l'adoration et les sacrements, à demeurer en état de
grâce, dans ce cœur à cœur avec Moi, votre Dieu, à rester à l'abri de
tout danger dans mon Sacré-Cœur et le Cœur Immaculé de ma très
Sainte Mère, l'Immaculée Conception.
Préparez-vous, mes enfants, parce que vos yeux vont voir des événements qu'aucun œil n'a jamais vus auparavant. Le temps est très
court. N'ayez pas peur, soyez dans l'allégresse, avant que Je vienne comme Juge, Je viendrai comme Roi de Miséricorde, pour vous, mes enfants de
lumière, mon petit reste fidèle que J'aime tant. Je suis proche, Je n'abandonnerai jamais les miens, vous, mes amours. Soyez vigilants, ne
vous laissez pas distraire, « tenez vos lampes allumées » (Lc 12, 35).
Quand la Croix apparaîtra dans le Ciel, ce sera le signe de
mon retour dans la Gloire, parce que Je viendrai avec Elle pour instaurer mon Règne Glorieux dans le monde. Elle sera la porte qui
ouvre le tombeau dans lequel gît l'humanité, pour la conduire dans
le Royaume de la Divine Volonté.
En même temps, il y aura une grande angoisse, une grande
douleur de ne pas avoir accueilli à temps mes messages et ceux de
ma Mère. Alors il sera trop tard pour ceux qui ne seront pas en état
de grâce pour se repentir, se convertir et faire pénitence.
Peuples de la terre, adorez le Seigneur car II vient ! Prenez
courage, ne craignez pas, voici venir votre Dieu ! Lorsque vous vous
y attendrez le moins, l'avertissement viendra, n'en doutez pas. Et vous verrez ma Croix dans le Ciel. Ce que Je dis, Je le fais.
Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du
Saint-Esprit. Amen, alléluia. |
|
|
37. Le « miracle du soleil » eut lieu à Fatima au Portugal, le 13 octobre 1917, devant une foule
d'environ 50 000 personnes.
38. La conversion de celui qui devint saint Paul (Ac 9).
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
pour
agrandir ; pour
réduire ; Retour zoom 100 %. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Marco témoigne : " Ce soir-là, je fis un rêve…"
« Je suis né dans une famille musulmane où j’ai vécu des choses horribles et je voulais mourir. En grandissant, je pensais à la mort chaque seconde… Mais à 19 ans, un protestant bien charitable m’a offert l’évangile et, grâce aux Paroles de Jésus, j’ai découvert tellement, tellement d’amour et d’espérance et je me disais en moi-même : Est-ce que je deviens fou d'aimer le christianisme ? Pourtant tellement de gens m'en avaient dit du mal depuis toujours... Et d'un autre côté, c'était tellement beau ce qui naissait dans mon cœur, car pour la première fois j'aimais la vie. Le dilemme était de devenir protestant ou catholique ?
Une seule de ces deux voies devait être la vérité parfaite. Je ne connaissais pas la « communion des Saints.» Ce soir-là, je fis ce rêve : Je voyais une dame magnifique ; je ne connaissais rien de Jeanne d'Arc à l'époque et j'ai su tout de suite que c'était elle. Elle revenait d'une bataille, encore victorieuse. Elle était dans la Gloire. Il y avait une foule immense de gens autour d'elle qui l'admirait. Tout le monde rayonnait de lumière. Deux femmes entouraient Jeanne et la tenaient tendrement par le bras de chaque côté. Je voyais tellement d'amitié entre elles... Et j'ai vu la vérité sur chacune des autres personnes présentes. Cette foule immense était composée de personnes ayant subi des choses horribles sur Terre, certains avaient été martyrs, mais tous avaient tenu bon. Tous avaient gardé courage et avaient fait le bon choix de faire la volonté de Dieu grâce à Jeanne d'Arc, son exemple et son intercession. Et ils la remerciaient tous. Et tous étaient dans la Gloire avec les anges, libérés de tout mal dans la Lumière si belle... J'ai désiré tellement faire partie de ces gens... Une porte nous séparait. J'étais tellement intimidé, mais je l'ai franchi puis la foule est partie peu à peu dans la lumière et il ne restait que ces trois femmes.
Jeanne s'est tournée vers moi et était enchantée de me voir. Comme si elle me connaissait depuis toujours, elle m'a dit les paroles que j'attendais depuis toujours au fond de mon cœur. J'en rougissais de bonheur. Cette noble Dame m'avait parlé et soulagé en même temps d'un poids immense. Ce n'était pas un rêve comme les autres, car il était en couleur et j'ai plané de joie ensuite pendant des jours. Et je m'en souviens comme l'un des plus beaux moments de ma vie. Pourtant je dormais, comment est-ce possible ?
J'ai donc pris ma décision, c'était l'Église catholique. Enfin, la première fois que je suis entré dans une église dans Paris, la première statue à droite en entrant était celle de Jeanne d'Arc. Comme tombé amoureux de cette statue, je venais chaque jour l'admirer et méditer longtemps devant la Croix. Même si je devais faire plus d'une heure de trajet chaque jour, c'était automatique en moi, je devais venir. Je me disais bien qu'il y avait sûrement d'autres statues de Jeanne dans d'autres églises, mais en cherchant ailleurs je risquais aussi de rester une journée sans la voir et c'était inadmissible pour moi.
Ça a duré des semaines avant que j'ose en parler à un prêtre.» |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Éric témoigne :
Le 2 août 2020, sur un coup de tête et après un différend familial, je décidais de partir sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle depuis chez moi en Loire atlantique, la première étape consistait à rejoindre le chemin qui passe à Clisson. J’avais pour objectif de retrouver mon cœur et chercher l’humilité.
Je partais finalement le 4 août le temps d’obtenir une crédencial.
Le 19 août lors de mon étape à BORDEAUX vers 10h30 je pénétrais dans la basilique St Michel, au niveau de l’autel, il y avait notre Seigneur sur la croix sur un pilier. Je m’adressais à lui sans me rappeler de la teneur de mon discours. Soudain, bien que non croyant, je me suis rendu compte que je lui parlais comme au premier venu, mais sur un ton non déférent.
Je me suis interpellé en me disant « mais comment tu parles au Christ, le sauveur de l’humanité pour un très grand nombre ».
J’ai eu honte, mais une honte comme jamais, et je me suis mis à pleurer. La Grâce du Seigneur m’a alors touché, mon esprit a été transporté dans mon cœur où j’ai vu une lumière très intense, non aveuglante. Ce fut très intense et très fugace.
Je me suis dit à moi-même « mon pauvre Éric, jusqu’à aujourd’hui tu n’avais rien compris, tu étais vraiment à côté de la plaque. »
J’étais venu retrouver mon cœur et chercher l’humilité et là je m’étais enfin montré humble par ma honte et le Seigneur me montrait où se trouvait mon cœur.
Je me trouvais sous le choc, je pleurais de béatitude, de remerciement. J’ai passé le reste de ma journée dans cet état.
Le 22 août à 7h15, alors que je venais de quitter le camping où j’avais passé la nuit à MOUSTEY dans les Landes, je vois une statue de la Vierge Marie sur mon chemin.
Je m’adresse à Elle en ces termes « Excusez-moi madame, je n’ai jamais su m’adresser à vous ! »
J’en étais là de ma requête, qu’à nouveau mon esprit a été transporté dans mon cœur ; même lumière, mais en plus, j’ai été enveloppé d’Amour de la tête au pied. Vous avez bien lu, enveloppé d’Amour.
Immédiatement, la foi m’a gagné. À nouveau les larmes ont coulé sur mes joues.
C’était tellement beau, tellement fort. Je me suis dit que la vie était magnifique que je savais exactement comment j’allais la mener. Les jours suivants, plus rien ne m’affectait. J’ai compris qu’il fallait être dans l’acceptation de ce qui nous arrive, chaque jour. Je ne parle pas d’être fataliste, mais agir seulement après l’acceptation, sans sentiment en réponse, pas de colère, pas d’agacement, pas de joie excessive.
Le 28 août, entre ARANCOU et OSTABAT, au Pays basque, alors que j’avais prévu de ne pas manger ce jour-là afin de respecter mon budget, j’allais peut-être devoir débourser 50€ d’hébergement le soir.
La Providence se manifeste à nouveau (pour ne pas dire une intervention divine). Là devant moi en plein milieu de la petite route goudronnée, au milieu de nulle part, une grosse poire. Je la ramasse, l’observe, elle est fraîche, mûre à souhait, non talée, aucun choc, comment est-ce possible,
Je suis à cet instant dans les dispositions de St Thomas, je crois ce que je vois.
J’ai fini de marcher quelques jours plus tard (le 1er septembre) en raison d’impératifs familiaux.
Avec le recul nécessaire, un an s’étant écoulé, je peux affirmer que Dieu nous aime tous autant que nous sommes, même un pécheur comme moi, j’ai abandonné l’Église à l’âge de mes 15 ans et je la retrouve 45 ans après. Je me suis montré très égoïste, quelques fois calculateur, manipulateur, j’ai consommé beaucoup d’alcool, j’ai connu plusieurs partenaires sexuelles, j’ai fumé des cigarettes et du cannabis, enfin j’étais très, très loin du bon Chrétien.
Et malgré toutes mes tares, mes reniements, notre Seigneur s’est montré miséricordieux, il m’a fait mesurer physiquement l’intensité de son Amour, qui est si intense, dépassant l’entendement.
Je n’ai plus qu’une envie, un but, c’est de me rapprocher le plus possible de ce qu’Abba, le père, attend de nous.
Plusieurs personnes m’ont convaincu que mon devoir était de témoigner afin que ceux qui sont fervents soient rassérénés, que ceux qui sont dans le doute, celui-ci se dissipe et que ceux qui pensent avoir ont commis trop de fautes et qu’il est vain d’espérer, et bien ils se trompent.
Louanges à notre Seigneur, Hosanna au plus haut des cieux.
Éric de Loire Atlantique
Ma prochaine étape, ma confirmation au mois de mai 2022, que j’espère de tout cœur.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Pris au piège des incendies en Australie,
David prie et raconte que « Dieu a éteint les flammes,
comme en appuyant sur un interrupteur »
9 janvier 2020
« C’était vraiment impossible, mais d’une manière ou d’une autre, Dieu a éteint les flammes, comme en appuyant sur un interrupteur. […] Il est temps que les gens se lèvent et prient. Il est temps de prendre Dieu au sérieux et de recommencer à lire sa parole. »
Les incendies font rage depuis de trop nombreuses semaines en Australie. Déjà, 80 000 km² sont partis en fumée et 2000 maisons ont été détruites. L’île-continent pleure la perte de 26 personnes et de plus d’un milliard d’animaux. Mais au cœur de cette fournaise, la voix de David Jeffery s’élève pour témoigner du miracle de Dieu à Mallacoota.
David Jeffery faisait partie des personnes bloquées par les incendies à Mallacoota. Il a même été interviewé par de nombreux médias, comme dans ce reportage de la BBC. Les médias australiens parlent même de lui en tant que « l’athée qui s’est tourné vers la prière ». Il a voulu préciser auprès d’Eternity ce qui s’est réellement passé là-bas, le 1er janvier.
« Oubliez le malheur et la tristesse, il y a trop de belles histoires ! »
David décrit le feu comme « un millier de trains de marchandises venant vers nous ». Il parle de « rugissement ». David, comme de nombreuses personnes présentes, pense qu’il va mourir. Jusqu’à ce qu’il entende la voix de Dieu.
« Puis j’ai entendu Dieu me dire : ‘prie’. J’ai commencé par une petite prière pathétique… Puis en moi, cette foi s’est élevée et a dit ‘qui es-tu en train de prier ?’ Et j’ai pensé: ‘Oui ! Tu es le Dieu de la Bible. Rien ne t’est impossible ! Tu as des anges Seigneur, mets-les aux coins de la propriété. »
David continue de prier, avec d’autres personnes, pour la protection de sa maison et de celles de ses voisins.
« J’ai prié : ‘Seigneur, si tu ne repousses pas ce [feu] maintenant, nous avons besoin de [vent] de l’Est.’ Dès que j’ai dit cela, il a commencé à souffler un peu de l’Est. Puis je priais plus fort et [le vent] est devenu plus fort. Puis à nouveau plus fort et c’est devenu plus fort encore. J’ai remarqué que plus j’étais audacieux, plus le vent était fort. Je criais : ‘Au nom de Jésus, merci Seigneur d’avoir sauvé ces âmes. Repousse-le Seigneur, sauve-nous’. »
David avoue qu’à ce moment-là, il était en plein désespoir.
« C’était le désespoir personnifié. Peu m’importe qui m’a entendu. Je savais alors que Dieu faisait ce que je demandais. Parce que s’il n’avait pas répondu alors, nous serions morts. […] Ce que Dieu a fait, c’est repousser [le feu] de l’Est, ce qui était impossible, mais il l’a fait. Il l’a fait pendant cinq minutes, ce qui a brisé [le front de feu] suffisamment pour l’empêcher de se rendre là où nous étions. […] C’était vraiment impossible, mais d’une manière ou d’une autre, Dieu a éteint les flammes, comme en appuyant sur un interrupteur. […] Il est temps que les gens se lèvent et prient. Il est temps de prendre Dieu au sérieux et de recommencer à lire sa parole. »
Ses voisins n’étaient pas chrétiens, mais désormais ils affirment : « Dieu nous a sauvés. »
David précise qu’ils ont vu « des miracles », « les flammes repoussées », « les braises frapper l’herbe sans la brûler ».
C’est dans sa maison aujourd’hui que la police et les services d’urgence se nourrissent et sont hébergés.
David décrit ce « miracle » comme « un acte de miséricorde parce que, honnêtement, je sais quelle est l’éternité alternative dont Jésus a parlé et il ne veut pas que quiconque y aille. » Il espère que cette situation pourra servir de « signal d’alarme » pour « réveiller les gens et les aider à réaliser qu’il y a un Dieu et qu’Il les aime, que le seul endroit sûr est derrière la Croix. »
David ouvre désormais sa propriété pour nourrir et héberger la police et d’autres membres des services d’urgence. « Non seulement ce bâtiment n’a pas brûlé, mais il est maintenant utilisé dans des circonstances incroyables », dit-il.
« Ce bâtiment fournit à présent une opportunité qui permet à l’amour de couler – c’est ainsi que je le vois. » |
|
|
|
|
|
|
|
|
|