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N’hésitez
pas à nous adresser vos témoignages sur les grâces
reçues ou les moments forts que vous avez pu vivre avec
le Seigneur, au cours de rencontres, de lectures de messages,
etc.
(En français ou anglais, si possible..!)
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CŒUR DE MARIE : REFUGE INVINCIBLE
CŒUR DE MARIE : REFUGE PERMANENT
Le CŒUR DE MARIE est une cachette. On y entre et la porte se referme.
On y est en totale sécurité.
PUISSANCE DE LA PRIÈRE
Notre Dame de Mariamakk délivre un prisonnier
Voilà des années que Janos languit dans un camp au fond de la Sibérie. Sans le souvenir de sa chère Ilona, il aurait désespéré depuis longtemps. Grâce à elle, il garde une lueur d’espoir ; il se remet à réciter les prières de son enfance. Cela lui donne du courage.
Sa foi en Dieu, sa confiance en « la Grande Dame des Magyars » sont récompensées par une foi toujours plus grande et une espérance invincible.
Une nuit d’été de l’année 1958, Janos se sent poussé au bras et une Voix lui dit : « Lève-toi, mets tes habits ».
- Que dites-vous ?
– « Lève-toi » répète la Voix, « habille-toi. Chausse tes souliers de soldat ».
Janos s’exécute et il se sent entraîné par le bras. La porte s’ouvre en grinçant… une sentinelle est là à dix pas, mitraillette à l’épaule. Elle ne voit rien, n’entend rien…
Janos et son guide mystérieux courent vers le portail du camp. Des projecteurs éclairent le camp, Janos est en pleine lumière ; instinctivement, il s’arrête. Mais son guide lui dit d’un ton tranquille : « Viens, n’aie pas peur ».
C’est alors que Janos, pour la première fois, aperçoit dans la lumière des projecteurs, le guide qui le fait sortir du camp.
C’est une grande Dame, portant un manteau bleu foncé, au visage d’une belle et singulière blancheur.
Soudain, la lumière des projecteurs s’éteint et les deux sentinelles qui gardent l’entrée du camp ne voient rien.
La Dame ouvre la grande porte avec beaucoup de facilité. Janos pense mourir de peur.
« Viens vite », lui dit la Dame. Elle ferme la porte sans se presser, comme on ferait en plein jour. Ils traversent rapidement la place pour se rendre à la station la plus proche. Par deux fois, ils croisent une patrouille qui n’aperçoit rien d’anormal.
Arrivés à la station, la Dame dit : « Dans deux minutes, arrivera en gare un train de marchandises avec au milieu des voitures, un compartiment pour voyageurs ; tu y monteras, tu n’as pas besoin d’un coupon, ni de carte d’identité ». La Dame lui remet alors un paquet en disant : « Il te servira pendant le voyage ». Puis elle ajoute : « A Budapest tout ira bien aussi ».
Le train arrive. Tandis que Janos regarde dans sa direction, la Dame disparaît au grand regret de Janos qui aurait tant voulu la remercier et prendre congé d’elle.
Le train stoppe, Janos monte en voiture. Il y a peu de voyageurs ; ils dorment.
Un contrôleur vient, il s’arrête devant Janos, mais ne lui demande rien. Janos se demande s’il rêve, tout lui semble mystérieux.
Chaque fois qu’un contrôleur entre dans le compartiment, Janos croit mourir de peur, mais chaque fois, il semble ne pas le voir.
Tout doucement, Janos commence à se tranquilliser. Il ouvre le paquet reçu de la Dame : du pain, du fromage, de la viande. De l’eau, il y en a dans le compartiment.
Le voyage dure quatre jours et quatre nuits. Enfin, la frontière hongroise ; il faut changer de train. Nul ennui, ni dans le train, ni dans la station, ni dans les rues de Budapest. Personne ne semble faire attention à lui, car son accoutrement de bagnard et ses gros souliers ferrés devraient le signaler à l’attention des gens.
Le soir tombe lorsque Janos arrive devant sa maison. Ilona, sa femme, y sera-t-elle encore ? Il sonne. Une inconnue vient ouvrir : « Madame Ilona Balogh habite-t-elle toujours ici ? »
- « Oui, mais au grenier ; elle ne rentrera que dans une demi-heure ».
Voyant le singulier accoutrement de l’individu, elle s’enhardit à demander : « Auriez-vous des nouvelles de M. Janos Balogh ? Savez-vous qu’il a disparu depuis plus de douze ans ? Mais sa femme, Ilona, espère toujours qu’il reviendra. Presque chaque jour, elle va prier à Mariamakk pour son retour ; bien sûr qu’elle y est allée encore aujourd’hui ».
Janos ne répond pas et il ne se fait pas connaître. Il reste dehors dans la rue. Au bout d’une demi-heure, Ilona revient ; il la reconnaît tout de suite. Elle, recueillie, modeste, se dispose à rentrer. « Ilona » crie-t-il.
– « Janos, ô, Janos, je savais que tu reviendrais ! »
Le lendemain, ils se rendent à Mariamakk pour remercier la Vierge, Secours des prisonniers. Janos n’y est encore jamais allé.
Quand il voit la statue de la Madone, il s’écrie : « Mais c’est elle, oui, je la reconnais, c’est elle qui m’a ramené de Sibérie ! »
Pour être complet, et montrer jusqu’où est allée la sollicitude de Marie pour son prisonnier, ajoutons encore ceci :
Janos, pour se mettre en règle, se rend un des jours suivants au bureau de police : « Vos papiers ? » - « Je n’en ai pas, je viens de Russie ». Le policier croit qu’il s’agit d’un agent russe venant contrôler la marche des affaires en Hongrie. Il lui rédige ses papiers et même ce que Janos n’a pas demandé, il lui signale un entrepreneur qui pourra lui procurer du travail. De plus, jamais personne ne lui a demandé comment il était revenu de Sibérie.
Oui, vraiment, la Dame le lui a dit : « Tout ira bien aussi à Budapest ».
La foi transporte les montagnes…
PROTECTION SPIRITUELLE DE NOTRE PAYS
La prière d’un peuple est puissante comme l’a dit si souvent le Seigneur dans l’Évangile (Matthieu 18, 19-20) « Je vous le dis encore que, si deux d’entre vous s’accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux. Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, JE SUIS au MILIEU de VOUS », nous dit Jésus.
Ce n’est donc pas le moment de baisser notre garde et nous devons rester en alerte rouge : le plan Vigipirate, c’est bien, mais le plan Vigiprière, c’est mieux ! Car des dangers terribles demeurent et il est plus qu’urgent de se blottir sur le Cœur de notre Mère : tenir le chapelet en priant dans la rue, le métro et les lieux publics… C’est serrer la main de Marie et faire advenir autour de moi un espace spirituel de sécurité et de paix pour moi et pour les autres : telle est la prière mariale solitaire, qui fait reculer le mal ! Et si nous sommes plusieurs à prier le Rosaire dans un même endroit, c’est encore plus puissant… et si nous prions en plusieurs endroits, nous formons une chaîne invisible et invincible d’amour et de sécurité ! Croyons-nous à la puissance rayonnante du saint Rosaire ? Pas assez, sans doute, et il est temps de nous y mettre… même si ce n’est qu’une dizaine par jour, il faut y être fidèle et se laisser appeler à plus par l’Esprit qui œuvre toujours avec Marie.
Le 30 juillet 2015, à Madrid, un immense incendie ravageait une base militaire sur un large espace. Après la maîtrise du feu par les pompiers, on a retrouvé au milieu du sinistre une statue intacte de Notre Dame de Lourdes avec ses fleurs pour l’honorer, aussi fraîches qu’avant… et autour de la statue, une bande de gazon tout vert alors que tout le reste était cramoisi sur des hectares. Et je me disais que notre Maman du Ciel si proche et si attentive nous donnait là un signe lumineux pour notre combat spirituel dans ce monde en feu : si nous la prions avec confiance, Elle nous protégera de tout danger…
(Blog du Père Carme Marie-Michel : http://marie-michel-blog.cmvm.net)
« Comme pour tirer l’eau d’un puits, on se sert d’une chaîne ou d’une corde très solide pour descendre et remonter le seau, ainsi pour faire connaître mon Amour aux âmes, il est nécessaire qu’il y ait une « chaîne », c’est-à-dire un groupe d’âmes unies entre elles, qui, embrasées de ce même Amour, le communiquent au monde entier » (Jésus à Josefa – 6 octobre 1923) |
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COMPTE-RENDU DE LA SESSION à VERMENTON EN MAI 2018
Témoins, prophètes invités, prêtres, venus de loin parfois, se sont succédé, pour nous aider à grandir dans notre foi. Appels à la conversion. Jésus désire de nous un cœur qui brûle d’amour.
« Quand le cœur reste ouvert à la grâce, JE viens, MOI, le Christ, et J’y fais Ma demeure... », dit-IL. 4 jours pour se laisser aimer de Dieu et s’abandonner au souffle de Son Esprit…
Samedi 28 avril : rosaire aux frontières :
Dans l’église de Vermenton, en union avec tous les groupes de prières de France, nous avons offert notre prière du chapelet pour notre pays, comptant sur la puissante intercession de la très Sainte Vierge et des Saints, Jeanne d’Arc, St Michel Archange, etc. La victoire militaire chrétienne, la plus glorieuse et la plus connue est sans aucun doute celle de Lépante. Nous sommes tous invités au combat. Jeanne d’Arc nous entraîne. « Bataillons et Dieu donnera la Victoire », disait-elle. Gagner une des victoires les plus décisives pour la France aujourd’hui, celle de convertir par le rosaire, tel était l’objectif de ce chapelet national, récité par tous les pèlerins venus à Vermenton.
Marie-Ange Bertrand de Lyon est venue pour la 1re fois. Elle écrit : « Grand merci de cette belle session de conférences et de témoignages à Vermenton. Grâce à Antoine Rollin qui avait déposé le programme de la session à l’Église saint Claude de Tassin-la-Demi-Lune (69), où il y a l’adoration 24 heures/24, 7 jours/7 depuis 13 ans et demi. J’ai eu la joie de m’inscrire et de rencontrer ceux qui aiment la France avec l’ardeur de leur foi… Avec mes remerciements bien amicaux à partager. »
Colette (44450), « Je viens vous remercier de m’avoir permis de vivre de si beaux moments de prière, de communion, de fraternité, d’écoute des enseignements et témoignages qui dynamisent notre foi. Que Dieu vous bénisse et vous inspire ! »
Anne Marie (69) « Un grand merci pour cette rencontre de 4 jours. Vous avez choisi des intervenants de qualité, d’une grande profondeur spirituelle. Le logis, à côté de l’église « extra ». Tout était très bien et j’imagine le travail fourni pour organiser cette session. Les temps forts sont un grand ressourcement, cela fait du bien car, même nous les retraités, nous avons une vie « agitée ». Avec mon amitié. »
Pierre (69) « Un grand merci pour ces 4 jours à Vermenton où vous avez fait tout votre possible pour satisfaire la centaine de participants. Nous prions pour votre apostolat et vous souhaitons courage et persévérance dans vos actions. Très cordialement. »
Claudette (24) « Des amis m’ont invitée au rassemblement de Vermenton, lieu béni. Je suis restée émerveillée de cette retraite de 4 jours, par tous ces témoignages de chrétiens si différents. C’était la première fois que j’assistais au rassemblement des « Témoins de l’Amour et de l’Espérance ». J’ai été bouleversée au cours de la messe célébrée par le Père Jean-Yves, lundi 30 avril, dans l’Église de Vermenton. Ensuite, lorsque je suis arrivée dans la salle de restaurant, à nouveau une grande émotion lorsque j’ai vu le groupe de pèlerins, 1 verre d’eau à la main et 1 morceau de pain dans l’autre main, en silence ; tout le monde jeûnait ! Incroyable ! Quelle émotion pour moi, et je me suis dit « Comme Jésus doit être content. » « Bravo, bravo », c’est le cri de mon cœur qui a jailli, c’est comme si c’était Jésus qui disait : « Bravo » à toutes les personnes réunies en silence. »
Claude (75) « Vermenton : 4 jours célestes si bien organisés. Merci à toute l’équipe valeureuse et sympathique ! Les témoignages nombreux et variés nous ont fait découvrir à quel point le Seigneur partage nos vies, même dans les moments les plus difficiles. J’ai beaucoup aimé les temps de prières et les messes célébrées par de Saints Prêtres. »
Enseignement reçu par Sylvie de la Croix en juillet 2004 : « Mes bien-aimés que Je cherche inlassablement en votre monde, venez à Moi, Votre Dieu, sans hésiter et en toute confiance. Oui, répondez-Moi, Mes enfants ; Je vous appelle si fort pour que vous veniez à Moi. Le bruit du monde vous entraîne malheureusement dans un tourbillon, dans lequel vous entrez et n’en voyez plus la fin. Je ne l’ignore pas, votre monde est infernal, cela ne Me réjouit pas. Tout l’été, vous le passez à ne rien faire qui vous rapprocherait de Moi ou des vôtres. Vous pensez à vous trop orgueilleusement. Pourtant si vous alliez, ne serait-ce qu’à la Messe chaque jour, selon vos possibilités, vous sauriez ce que J’attends de chacun de vous. Mes Évangiles vous parlent sans cesse du Partage, de l’attention à votre prochain. C’est ce que Je vous demande, mais pas n’importe comment. Si Je vous nourris à Ma Sainte Eucharistie, c’est pour que Me receviez en tant que Force, Lumière, Joie et Paix. Je viens vivre en vous avec l’Esprit Saint et Mon Père, inséparables de Moi. Lorsque Nous sommes en vous, automatiquement, par votre Don également, vous seriez en Nous. Il vous faut cette condition : votre « FIAT ». Si vous ne Nous accordez pas ce Renoncement à vous-mêmes, Nous ne pouvons pas agir librement en vous, pour vous et pour vos frères... »
« Je ne vous appelle pas pour rien, mais parce que J’ai besoin de votre participation. Souvent, Je désire être plus consolé qu’à d’autres moments, parce que le monde Me blesse par son grand refus de l’Amour divin. Mon Âme est triste à en mourir à nouveau, et vous M’êtes chers pour Me faire part de vos personnes entièrement, toutes données pour M’aimer en retour. Mes bien-aimés que Je serre contre Mon Cœur... » |
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Emprisonné à tort, libéré par l'intercession de
saint Jean-Paul II, il rencontre le pape François
Accusé à tort du viol et du meurtre d’une jeune fille, Tomasz Komenda avait prié
saint Jean-Paul II pour sa libération. Pour le remercier de sa sortie de prison, il est
venu à Rome pour prier sur sa tombe et s'est finalement retrouvé dans les bras du
pape François.
C'est l'histoire d’un miraculé. En 2000, Tomasz Komenda, Polonais de 23 ans, est accusé du viol et
du meurtre d'une jeune fille de 15 ans. Malgré ses dénégations, il est reconnu coupable à cause
d'une « preuve » scientifique : deux experts affirment que les traces de dents sur le corps de la
victime correspondent à celles de Tomasz.
Une fois en prison, le jeune homme va vivre un enfer. En effet, les violeurs sont harcelés, humiliés
et parfois même torturés par leurs codétenus. Et Tomasz ne peut compter sur les gardiens pour
faire respecter un semblant d'ordre : ceux-ci « détournaient le regard », expliquera-t-il lors d'un
entretien à la télévision polonaise.
Sa prière à Jean-Paul II
Puisqu'il ne peut convaincre de son innocence, le jeune homme va chercher de l'aide. Bien que
non-croyant, il se met à prier saint Jean-Paul II. Du haut de son lit, le visage du Pape polonais le
regarde, souriant depuis une photographie offerte par sa mère. « Si vous êtes saint, prie Tomasz,
vous êtes là-haut avec cette fille. Si vous devez m'emmener là-haut, emmenez-moi maintenant. Si je
dois être libre, laissez-moi libre. »
Six mois après ce cri du cœur, un policier frappe à la porte de la cellule. Il ne croit pas à la
culpabilité du jeune homme et va l'aider à le prouver. Après un an de démêlés juridiques, Tomasz
est blanchi. « Le saint Pape m'a entendu », exulte-t-il. Et quand il est libéré à la mi-mai, il promet
aussitôt de se rendre à Rome pour remercier Jean-Paul II, sur sa tombe.
« Seuls sont respectés ceux qui tiennent parole », affirme un proverbe polonais. Et Tomasz mérite
de l'être : moins d'un mois après sa sortie de prison, il est déjà dans la basilique Saint-Pierre.
Entouré de son père et de sa mère, il se recueille devant l'autel où se trouve le sobre tombeau de
Jean-Paul II.
François ému par son histoire
Ce que Tomasz ne sait pas, c'est que son histoire est parvenue jusqu'au Vatican. L'aumônier du
Pape, lui aussi polonais, Mgr Konrad Krajewski, en a eu vent. Le prélat — cardinal dans quelques
jours — rejoint la famille et leur propose d'aller avec lui sur la place Saint-Pierre, où le pape
François tient l'audience générale du mercredi.
La Providence fait bien les choses : la petite famille parvient à se faufiler jusqu'au successeur de
Pierre et à lui glisser quelques mots. Ému par ce qu'il entend, François prend spontanément
Tomasz dans ses bras pour une longue embrassade. Puis il demande à son photographe de réaliser
des photos de lui avec le jeune homme.
L'histoire ne s'arrête pas là : la famille Komenda est invitée à déjeuner par Mgr Krajewski. Le repas
est préparé par Enzo, qui a lui aussi passé de longues années derrière les barreaux. « Je vais lui
préparer un festin comme jamais il n'a pu en avoir avant ! », s'exclame le cuisinier. |
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