« Venez vivre avec moi les Merveilles de Dieu. »
« J’ouvre tous les coeurs à Mon Ecoute… » (JNSR 2008)
« Je veux que vous soyez TEMOINS de Mon Amour infini et
miséricordieux… Quand vous ME connaîtrez, vous serez désaltérés,
rafraîchis. Vos maux seront guéris, vos craintes seront évanouies,
votre joie sera grande et votre amour trouvera un repos qu’il
n’avait jamais goûté jusqu’ici… »
(Le Père Eternel à Mère Eugenia
12/08/1932)
Avant cette session de CHINON, nous avions écrit à l’Archevêque de Tours
pour l’inviter. Nous avons encore gravé en notre mémoire l’arrivée de
Monseigneur Fort, à Orléans en mai 2008, pour sa participation à la
conférence de Maria Livia d’Argentine et sa prière de bénédiction et d’envoi
en Mission, qui furent pour chacun d’entre nous des minutes intenses
d’émotion et de grâce. Monseigneur Bernard Nicolas Aubertin de Tours
répond à notre invitation : « Je suis désolé de n’avoir pu vous rejoindre ces
derniers jours mais mon emploi du temps était beaucoup trop chargé et je
n’ai pu rajouter quoi que ce soit. Je vous assure de ma prière et de mes
sentiments fraternels. »
Témoignage du Père Pagès (Paris)
« Je suis arrivé à CHINON le vendredi 1er mai, en fin de matinée. J’ai
passé tout mon temps à confesser. Il m’est apparu indéniable que les gens
rassemblés là étaient des personnes très pieuses et ferventes ; à preuve leur
souci de profiter sans discontinuer de la présence des quelques prêtres
présents pour se confesser… J’ai remarqué également un climat de
convivialité, de simplicité, un esprit de famille qui unissait tous les
participants…
En conclusion, merci d’avoir organisé cet évènement au service
certainement de la vie de foi des participants. Et merci aussi de m’y avoir
invité ! Je vous bénis au nom de « JESUS qui nous délivre de la colère qui
vient » (1Th. 1,10) ainsi que tout le bien que vous faites pour Son Amour.
Qu’il vous donne toujours le discernement, pour « n’éteindre pas l’Esprit, ne
jamais déprécier les dons de la prophétie, mais savoir tout vérifier, et
retenir ce qui est bon, vous gardant de toute espèce de mal ! » (1Th. 5,19-
21) Sa Paix soit avec vous ! »
Témoignage du Père Patrick de Laubier (Suisse)
« La réunion de CHINON donna lieu à une sorte de retraite collective
animée par une dizaine d’auteurs d’écrits spirituels inspirés. La célébration
des messes et la fréquente réception du sacrement de réconciliation furent
suivies d’un chemin de croix le vendredi. Comme confesseur, je puis
témoigner de la qualité spirituelle de ces journées. Les 6 prêtres n’étaient
pas là pour se prononcer sur l’orthodoxie des intervenants mais, dans le
contexte actuel, on ne pouvait s’empêcher de penser que ce style de
témoignages inspirés avait quelques analogies avec ce que vivaient les
premiers chrétiens dans un monde païen ; mais cette fois l’environnement
n’est pas le paganisme, mais un post-christianisme : on croit savoir ce qu’est
le christianisme que l’on rejette comme une tradition contraignante,
maintenant dépassée par la modernité. Souvent les hésitations du clergé,
parfois même une franche hostilité, n’arrangent pas les choses. On
comprend qu’il faut être prudent car il n’y a pas seulement les témoins
authentiques et des faux prophètes mais il arrive que les vrais deviennent
faux. Raison de plus pour que le clergé soit présent. On peut rappeler que
près d’un tiers des 33 docteurs de l’Eglise nous ont laissé des écrits
proprement mystiques et que de Gertrude d’Helfta au XIIIème à sa soeur
Faustine au XXème en passant par Marguerite-Marie au XVIIème, la dévotion
au Sacré Coeur a connu dans l’église catholique un développement
extraordinaire et universel à la suite de révélations privées. La tradition
orthodoxe, qui ne donne pas en fait la parole aux femmes, ignore, du moins
formellement, cette dévotion. Avec Jeanne d’Arc, patronne de l’Association
organisatrice, la révélation privée a pris un visage qui intéresse tous les
aspects de la vie individuelle et collective, y compris le fait national et le
séjour à Chinon était comme habité par cette extraordinaire aventure
médiévale. On songe à Thérèse de Lisieux montrant comment s’identifier
spirituellement, sans armure ni épée, à celle qu’elle chérissait.
La culture théologique forme l’esprit ; une culture mystique ne devrait-elle
pas évangéliser l’affectivité dans un monde qui est malade de son
déséquilibre affectif ? »
Témoignage d'Agnès (41)
« Joie débordante en pensant à Chinon, quelle abondance de
conférences toutes plus passionnantes les unes que les autres, nous n’en
aurions pas manqué une miette : « comme un cerf altéré cherche l’eau vive,
mon âme a soif de Dieu vivant ! » C’était si riche qu’il a fallu écourter le
temps de parole des conférenciers. Nous attendons déjà la session de l’année
prochaine pour connaître la suite. Merci pour les merveilleuses rencontres.
Nous avons prévu avec le Père Pagès une conférence sur l’Islam, sachant
que notre talent d’organisation a encore des progrès à faire. Je suis partie
sans vous dire au revoir, voilà c’est fait. Mille mercis pour votre charisme,
Gloire à Dieu ! »
Témoignage de Françoise et Maurice (94)
« Je suis venue, avec mon mari, prier pour la France avec les témoins
de l’amour et de l’espérance du 30 avril au 3 mai 2009 à Chinon. Nous
avions un gros souci. Notre petit fils Baptiste avait une plaie à la jambe
gauche, longue, large et profonde. Il avait été opéré 8 jours auparavant.
L’analyse des tissus avait révélé un staphylocoque doré. Tous les jours, le
chirurgien grattait la plaie pour enlever les chairs pourries, et elle s’ouvrait
davantage. J’étais dans une grande angoisse. Lors de la prière de guérison,
Alan Ames nous a demandé de fermer les yeux, de présenter au Seigneur les
malades. J’ai beaucoup pensé à Baptiste. Il a dit ensuite, voici Jésus qui
vient vers vous, vous tend les bras ; l’Esprit Saint sous forme d’une colombe
se pose sur votre tête, et une lumière blanche traverse votre corps. J’ai vécu
tout cela comme il nous l’avait dit avec autorité, simplicité, humilité,
sobriété. Puis il a annoncé plusieurs guérisons dont celle d’une personne
ayant une plaie à la jambe gauche. Cette plaie a-t-il dit, va guérir dans les
prochains jours. Maurice et moi avons tout de suite pensé à Baptiste et j’ai
téléphoné à ma fille pour lui dire : « Je suis sûre que Baptiste va guérir, voilà
ce qu’a dit Alan Ames. »
Le lendemain, Baptiste ressentait des démangeaisons dans la plaie. Le
chirurgien a déclaré : « c’est bon signe ». Il est en voie de guérison, il
marche, il a pu retourner en classe et les chairs repoussent. Je rends grâce à
Dieu pour tous ses bienfaits. Je le remercie de nous avoir envoyé Alan
Ames. Je prie tous les jours pour Alan et pour les prophètes de notre temps.
Que l’Esprit Saint les éclaire et que St Michel les protège !
Merci à l’association organisatrice pour ces moments de grâce vécus à
Chinon.
J’ai fait une autre expérience très forte durant cette session. Lors de la messe
du samedi, pendant que nous nous approchions pour recevoir la Sainte
Hostie et le sang du Christ, agenouillés sur les marches menant à l’autel ;
j’ai vu de chaque côté de l’allée centrale des fleurs blanches qui filaient en deux
rangs vers la Croix de Jésus. Je ne sais si ce sont des âmes qui partaient vers
le Seigneur ? C’est bien la première fois qu’il m’arrive ce genre de chose.
Le Seigneur est vivant, Il fait des merveilles. Soyons dans l’allégresse en
ce temps liturgique de l’Ascension. Il attire à Lui les âmes. Merci, Merci
Seigneur. »
Témoignage de Bernadette (49)
Compte rendu d’un vécu au rassemblement à Chinon du 30 avril au 3 mai 2009
en l’honneur de Sainte Jeanne d’Arc.
Jeudi 30 – après-midi : Dans le courant de l’après-midi, nous étions
rassemblés dans l’église St Maurice quand vint subitement un très fort
parfum pénétrant. C’était comme si le ciel s’ouvrait et laissait tomber sur
l’assistance une onction céleste. Je crois me souvenir que l’on parlait de
Sainte Jeanne d’Arc à ce moment là.
Vendredi 1er mai : Mes amies et moi arrivons les premières sur la place de
l’église à 7 h 45 du matin. Les portes sont fermées. Arrive, peu de minutes
après nous, le Père de Laubier. Nous allons le saluer. Il nous donne une
poignée de main et nous fait un signe de croix dans le creux de la main.
Aussitôt, jaillit du signe de la croix, dans nos mains, un éclatement de
parfum délicieux caractéristique : celui du Saint Chrême. Mes amies
reçoivent la même faveur et tout l’air est embaumé de ce parfum. Je cours
vers le Père de Laubier pour lui dire notre joie et notre étonnement et lui,
d’un ton naturel déclare : « Voilà ce que fait la main du prêtre qui a touché
le corps du Christ. »
Quelle belle leçon d’évangile ! Cela confirme que le prêtre qui célèbre la
Sainte Messe est bien l’Autre Christ, c'est-à-dire le Christ lui-même qui se
transpose dans le prêtre quand il se laisse habiter. Nous avons eu, ce matin
là, le sentiment que c’est Jésus Lui-même qui est venu à nous pour nous
accueillir et nous souhaiter la bienvenue à ce rassemblement ou Il voulait éduquer notre foi à travers ses témoins.
Au chemin de Croix avec le Père Pagès, le parfum nous accompagnait, mais
il était différent et parfois très ténu. J’ai entendu plusieurs personnes dire
qu’elles percevaient des effluves et je crois bien à l’endroit où une plaque
rapporte la fusillade de martyrs vendéens.
Samedi 2 mai : Dans l’après-midi, nous nous rendons à l’Ile Bouchard.
Après un moment passé à l’église, nous allons à la salle Notre Dame à côté
de l’église où nous prions le chapelet et les litanies de Sainte Jeanne d’Arc.
Et voilà que là aussi, la salle est embaumée de parfum tout le temps de la
prière. Jeanne d’Arc nous accompagnait et nous suivait. Quelle délicatesse !
A la veillée, j’ai surtout apprécié la prestation de Soeur Brigitte, prestation
de haute volée sur l’Eucharistie et la Croix.
Dimanche 3 mai : Le ciel s’efface. KTO est là. Ce parfum a disparu. Mes
amies en font aussi la constatation à la fin de la matinée. Ce jour là, après la
messe, le Père Patrick ermite, bénit tous les objets de piété que les assistants
ont achetés. Il bénit et exorcise l’huile et l’eau. Evidement, je n’avais pas
prévu cela et je n’avais ni bouteille, ni eau. La providence me fait trouver
dans une poubelle de rue, une grande bouteille que j’essaye en vain de
remplir au lavabo public. Passant devant une maison à l’enseigne de la
franc-maçonnerie, je demande au monsieur à la fenêtre s’il veut bien me
remplir ma bouteille d’eau du robinet. Il revient et m’offre une
grande bouteille d’1 litre ½ non décapsulée en plus de ma bouteille.
Candidement, je lui dis même « que je lui en rapporterai, mais bénie !!! »
Poliment le franc-maçon répond qu’il respecte mes convictions mais que
cela va bien ainsi.
Mes amies qui avaient vu la scène me font le reproche de m’être adressée à
un franc-maçon et d’avoir accepté son eau. Mais le Seigneur m’envoie sur le
champ les répliques suivantes : « Jésus ne s’est pas désintéressé des
prostituées et des pécheurs, et parmi ceux là, il en est qui nous précèderont
dans le Royaume des Cieux. Et puis aussi, Celui qui donnera un verre d’eau à l’un de ces petits qui le lui demande, sa récompense sera grande dans les
Cieux. ». Cet homme ne m’a pas donné un verre d’eau, mais une bouteille
toute pleine, toute neuve, alors j’ai au coeur, et j’en suis sûre, qu’à l’heure de
sa mort, Jésus lui montrera sa bouteille d’eau et qu’Il lui dira : « par ce
simple geste de partage je t’offre Mon Royaume, puisque ton coeur a su Me
rencontrer dans celle qui te demandait de l’eau ». (N’avais-je donc pas reçu
l’onction par ce parfum du Saint Chrême quand le Père de Laubier nous fit
le signe de croix dans la main ?)
Le Seigneur savait ce qu’Il faisait car Il a de la suite dans les idées ! Et il se
sert de qui Il veut, quand Il veut.
Comme à la Samaritaine, Jésus veut donner à cet homme de Son Eau Vive,
de Son Eau de la vie éternelle et, si dur et coriace que soit ce franc-maçon,
Jésus peut en un instant illuminer son âme et l’arracher à ses ténèbres. C’est
pourquoi, une messe sera célébrée pour cet homme le jour de l’Ascension
du Seigneur jeudi 21 mai, pour demander sa conversion quand bien même
serait-ce à la dernière seconde de sa vie.
Voilà quelques-unes des merveilles que fit le Seigneur lors de ce
rassemblement pour fêter Sainte Jeanne d’Arc. Sainte Jeanne d’Arc, vous
avez bien bouté les Anglais, vous bouterez bien aussi les ténèbres de la
Franc-maçonnerie ! Bénis es-tu Seigneur, pour ton parfum, pour ton
onction, pour la présence de ton Esprit Saint, pour Sainte Jeanne. Gloire à
Toi Seigneur Jésus !
Témoignage de François (22)
« Parmi les présents à la réunion de Chinon, début mai, un bon nombre
connaissait le Mouvement Sacerdotal Marial et participait même aux
cénacles de prières. Il est bon de rappeler à tous le message que Don Gobbi
avait reçu de la Vierge Marie lors d’un cénacle national du M.S.M. à
Mexico, au sanctuaire de Notre Dame de Guadalupe, le 5 décembre 1994 : « … d’ici partira ma grande victoire contre toutes les forces maçonniques
et sataniques pour le plus grand triomphe de Mon Fils Jésus. Je te confirme
que pour le grand jubilé de l’an 2000, arrivera le triomphe de Mon Coeur
Immaculé que Je vous ai prédit à Fatima… » (message n° 532).
C’était donc 6 ans avant le grand Jubilé ! Or beaucoup n’ont rien relevé de
sensationnel en l’an 2000. De ce fait, dans le M.S.M. il y a eu des défections
que Don Gobbi, dans une circulaire postérieure, a déplorées. Or, la Vierge
Marie ne nous a pas leurrés par une fausse prophétie : Son triomphe a bien
commencé ; n’ayez pas peur de le faire savoir. Au Mexique, depuis 70 ans,
la persécution anticatholique avait sévi sous un gouvernement officiellement
et ouvertement maçonnique. Des milliers de « Cristeros » ont été torturés,
fusillés, pendus… Le nom du Père Bro, jésuite, exécuté avant la guerre de
39-45, est sans doute connu des plus anciens d’entre-nous.
En l’an 2000, ce régime a dû abandonner le pouvoir. Loué soit le coeur de
Jésus et Marie ! Et prions pour qu’il en advienne de même en France et en
Europe, par l’intercession de Sainte Jeanne d’Arc. »
Témoignage de Bruno (Paris)
« De l’observation à l’effusion : trois petits tours et puis s’en vont de
Chinon…
Partir pour Chinon… c’était à vrai dire un peu pour partager un temps
conjugal avec mon épouse alors que la semaine nous sépare entre mon lieu
de travail et notre domicile ; il s’agissait aussi pour ma part de satisfaire à
une certaine curiosité et de découvrir l’environnement spirituel dans lequel
mon épouse se retrouve si bien depuis quelques mois.
Partir pour Chinon venait opportunément pour y déposer nos souffrances,
notre renaissance, nos dépouillements et nos projets après une période de
profondes turbulences.
Et puis, après trois jours, repartir de Chinon… ce fut la joie de l’Esprit, la
joie de rencontres originales et différentes, la joie d’y découvrir une Foi
brûlante !
Repartir de Chinon… enrichi de ces témoignages qui nous placent devant
notre responsabilité de baptisé et de l’écoute de ces magnifiques paroles sur
la Vierge Marie prononcées d’une voix douce et frêle par ce saint prêtre…
Repartir de Chinon, en enfant de Dieu ragaillardi par la force des
engagements au milieu de cette tiédeur du siècle ! Oui, il y a de la place
pour tous dans la maison du Père ! Partir de Chinon, ce sera y revenir là ou
ailleurs pour se nourrir de l’Amour que Jésus Christ donne à ses enfants qui
veulent un tant soit peu lui tendre les bras ! Alléluia ! »
Témoignage de Gaétane (33)
« Ce que je vous livre, je le fais avec l’autorisation de mon père
spirituel. Nous avions pris la décision avec mon mari de nous retrouver à
Chinon, lui étant obligé de travailler à Paris et moi venant du sud-ouest.
La première fois, la première rencontre avec l’association fut à Domrémy où
le Seigneur pendant la Sainte Messe est venu bouleverser profondément ma
vie. Depuis, il me demande un engagement personnel, un « oui » profond et
je profite et j’attends chaque rassemblement du « petit troupeau » pour unir
nos prières et me nourrir de l’enseignement de Ses Prêtres. Il était important
pour moi que mon époux puisse partager cette joie du coeur, celle que l’on
reçoit dans ces jours de retraite. Les autres fois, j’y étais venue seule ou
avec des amies partageant une amitié spirituelle.
Le premier jour (le jeudi, je crois) nous arrivons de suite dans l’église où
Jeanne avait prié bien avant nous… (quelque part, pour le salut de la
France).
La messe commence, la statue du Sacré Coeur est devant nous et Jésus sur
Sa Croix domine la nef. Je suis à ce moment inquiète de la réaction de mon
mari qui va arriver dans quelques heures. En regardant autour de moi,
j’examine un peu l’assemblée et fais la réflexion à Jésus : « Seigneur, je t’en
prie aide-moi, il va partir en courant… on peut passer un peu pour des
illuminés… et puis il n’y a presque que des cheveux blancs… ! » Et là,
j’entends distinctement la belle voix de Jésus. Jésus semble acquiescer puis :
« Oui… et Moi, j’y vois des coeurs d’enfants ! »
Bénis sois-tu Seigneur mon Dieu ! Tu as tout dit. Merci pour tant de grâces
reçues et merci aux petits instruments du Seigneur pour leur disponibilité
pour nous les "petits". »
Témoignage de Vincent (86)
A la suite du message concernant les messes à offrir pour le repentir
mondial
« Pansons les blessures ouvertes de la France.
La France saigne de ses blessures, et ses blessures ne sont pas cicatrisées. La
France saigne du sang versé par les victimes de la révolution française. La
France n’a pas pris conscience du mal qu’elle a fait envers ces hommes et
ces femmes assassinés. La France au lieu de pleurer a voulu se réjouir, et
même porter ces crimes comme salutaires. Et nous en sommes tous
responsables, nous ne pouvons ignorer, quel que soit notre rang social, que
nous avons des aïeux d’un côté comme de l’autre, certains ont été les
victimes et d’autres les assassins. La seule chose que nous pouvons faire
aujourd’hui, c’est demander humblement pardon. Demandons à chaque
français, qui en prend conscience, de faire célébrer une messe le 14 juillet
pour les victimes de la révolution. Que cette messe soit une messe
d’expiation et de réparation, alors le 14 juillet sera fête de victoire vers le
ciel. Une des plaies de la France sera refermée, car au nom de tous nous
aurons demandé pardon. »
Témoignage de Marie-Joseph (Angers)
« Grâce à votre bulletin, je dis depuis plus d'un mois le chapelet pour la conversion des Musulmans tous les jours avec quelques personnes de mon entourage. »
Chapelet pour la conversion des musulmans (reçu par Monique-Marie)
Sur les gros grains, une fois :
Par les plaies de Jésus et les larmes de sa Sainte Mère.
Sur les petits grains, dix fois :
Doux Père, faites leur connaître votre fils.
Jésus : Récitez ce chapelet, chaque jour, et même plusieurs fois par jour. Répandez-le autour de vous ! Qu'il se dise en France, en Europe et dans tout le monde catholique, afin que les Musulmans osent enfin enfreindre les interdictions qui les empêchent de pénétrer dans mes églises. Priez, intercédez par ces mots si simples. Vos cœurs s'empliront de compassion pour eux qui ne connaissent ni Mes Consolations, ni celles de Ma Sainte Mère, ni celles de Mon Père plus Aimant qu'aimant, plus Miséricordieux que la miséricorde elle-même, plus Doux que toute douceur, plus Beau que toute beauté, plus Souffrant de leur éloignement que toute l'humanité souffrante !
Oh, que cette compassion soit plus grande que vos peurs ou vos jugements !
Récitez, récitez ce saint chapelet. Commencez tout de suite.
JESUS
En ce qui concerne le fondamentalisme musulman, « ce sera la présence de la Vierge Marie (vénérée dans presque toutes les religions) qui fera de nous tous des frères et c'est vers elle qu'il faut regarder pour trouver l'UNITE. » (Message donné à Rosa au lendemain de CHINON)
Que notre prière soit fervente pour la France et la défense de la chrétienté !
« Ce temps est à la repentance, personne ne peut dire qu’il n’a pas été
averti. J’attends votre repentance, votre regret sincère de M’avoir
offensé… Mes prêtres sont là pour vous aider… Profitez au maximum de mes
sacrements, jaillis de la CROIX pour vous sauver… Si vous saviez ce qu’il
se passe dans l’invisible au cours de la célébration de la sainte Messe, vous
en pleureriez de joie et camperiez devant Mes Eglises pour ne par perdre
une seule miette de ces divines et majestueuses célébrations de l’Eucharistie
où JE suis réellement vivant et présent, sur tous les autels qui
m’accueillent… Par mon Eucharistie, vous recevez ce qu’il y a de meilleur :
L’AMOUR dans toute sa puissance… Mon Eglise vit par Mon Eucharistie,
le plus beau cadeau que Mon Père vous ait donné… JE SUIS Eucharistie,
pain de vie éternelle, porte de l’éternité bienheureuse. »
(Fille du Soleil)