PLAN DE L’ÉTUDE

•  I   – Introduction par des messages de Jésus appelant à la conversion.   
  
  
• II  – Vidéos sur les évènements de Garabandal.   
  
  
• III – Les apparitions de Lourdes, Fatima, Garabandal et L’Escorial.   
  
  
• IV – Étude sur la position géographique des quatre lieux d’apparitions.   
  
  
• V  – Signes numériques et Étoile de Marie.   
  
  
• VI – Un cercle de soutiens à Garabandal.   
  
  
• VII – Des témoignages sur les évènements passés et à venir.   
  
  
• VIII – Quand ?   

VI – Un cercle de soutiens à Garabandal

1 – Padre Pio (1887 - 1968)

      Saint Padre Pio, moine-capucin, prêtre et grand mystique du XXe siècle, a été canonisé le 16 juin 2002 par le pape Jean Paul II. Il est le premier prêtre qui, ayant reçu les stigmates du Christ, les porta pendant cinquante ans.

      Outre les stigmates, Padre Pio a reçu des dons particuliers de Dieu ; il avait le don des larmes, des parfums de rose ou de violette, le don d’ubiquité, la capacité de discerner les âmes et de lire dans les consciences, celle d’effectuer des guérisons miraculeuses. 

Padre Pio était un homme de l'Eucharistie et, comme Saint Jean-Marie Vianney, un infatigable confesseur. Dès la fin de la Deuxième Guerre mondiale jusqu’à sa mort en 1968, il ne cessa de célébrer et de confesser.

Padre Pio célébrait la messe avec une telle intensité que l’Eucharistie devenait un moment mystique… le moment où Dieu et l’homme se rencontrent ! Pour Padre Pio, marqué dans son corps par les stigmates et en son existence par les souffrances, l’Eucharistie était un temps d’extase, où il était ravi en Dieu. Dans cette relation, il sentait et expérimentait tout l’amour que Dieu porte aux hommes. Cet amour, le Seigneur l’a versé en abondance en Padre Pio, et cela a été la source de l’amour de Padre Pio pour les autres. Pour nous aussi, l’Eucharistie est la source de communion entre les hommes.

En ce qui concerne la confession, Padre Pio passait entre quinze et dix-neuf heures dans les confessionnaux des églises de San Giovanni Rotondo. La foule s’y pressait pour un fulgurant face-à-face (entre trois et cinq minutes). On a estimé à 5 millions le nombre de fidèles qui sont passés devant le « tribunal de la confession » – un tribunal de justice et de miséricorde dont beaucoup ressortaient bouleversés, convertis...

Durant toute sa vie, il écrivit des milliers de lettres aux personnes qu’il connaissait ou guidait spirituellement. Il soutint avec fermeté l'authenticité des apparitions de San Sébastian de Garabandal et demeure indiscutablement un de ses ardents défenseurs. En voici quelques exemples :

• Joey Lomangino naît le 27 juin 1931, du côté de Brooklyn, de parents italo-américains. En 1947, il surveille le gonflage d'un pneu qui lui éclate au visage. Ayant reçu la jante en pleine face, Joey sombre dans le coma, les os du front sont écrasés, les nerfs optiques et olfactifs sont atteints. Il reste trois semaines dans le coma et se réveille le jour de la fête de Notre-Dame du Carmel, le 16 juillet 1947.
  
  Il se rend en Italie en 1961 et rencontre pour la première fois le Padre Pio, au monastère de San Giovanni Rotondo. Sans jamais l'avoir vu, le célèbre capucin accueille l'américain par ces mots : « Ah, Joey, comme je suis content de te voir ! » Joey retourne en février 1963 voir le Padre Pio qui le confesse et lui rend miraculeusement l'usage de son sens olfactif, le nerf restant pourtant toujours sectionné. Joey retrouve sa foi chrétienne et le Padre Pio l'encourage alors à se rendre à San Sébastian de Garabandal après lui avoir certifié : « Oui, c'est vrai, la Vierge apparaît à Garabandal ! »
  
  
• Début 1962, Padre Pio répondit à un groupe de pèlerins espagnols qui l'interrogeait sur l'authenticité des apparitions : « Combien d'apparitions vous faut-il donc, alors qu'elles ont lieu depuis déjà huit mois ? »
  
  
• Le samedi 3 mars 1962, Conchita reçoit une lettre à l'attention des quatre voyantes ; elle vient du Padre Pio, comme le lui apprendra la Sainte Vierge dans une apparition du même jour.
  
  

Voici la lettre :

Voici le brouillon donné par Padre Pio au frère qui a tapé la lettre :

Et en voici la traduction :

« Chères enfants,

Ce matin à neuf heures, la Sainte Vierge m'a parlé de vous, chères filles, de vos visions et demandé de vous dire :

« Ô petites filles bénies de Saint Sébastien de Garabandal, Je vous promets que je serai avec vous jusqu'à la fin des siècles, et vous serez avec moi jusqu'à la fin du monde. Et vous serez réunies avec moi dans la gloire du Paradis. »

Joint à la présente, je vous remets une copie du chapelet de Fatima que la Vierge m'a demandé de vous envoyer. Ce chapelet a été dicté par la Sainte Vierge, et Elle veut qu’il soit propagé pour le salut des pécheurs et la préservation de l'humanité des pires châtiments dont le Bon Dieu menace.

Il n’y a qu’une seule recommandation : Priez et faites prier, car le monde est sur le chemin de la perdition.

On ne vous croit pas et on ne croit pas à vos conversations avec la Dame Blanche… Mais ils croiront quand il sera trop tard. »

Texte intégral de la copie du Saint Rosaire, que Notre-Dame a dit à Padre Pio d'envoyer aux quatre filles voyantes de Garabandal :

1- Dans le premier mystère, nous contemplons comment Notre-Dame a choisi Fatima comme endroit préféré pour diffuser ses messages.

2- Dans le second mystère, nous contemplons comment Notre-Dame a choisi la Cova da Iria pour ses apparitions.

3- Dans le troisième mystère, nous contemplons comment Notre-Dame a choisi les trois petits bergers pour leurs conversations célestes et leur a confié le grand secret.

4- Dans le quatrième mystère, nous contemplons comment le secret est le plus grand de tout ce qu'elle a dit.

5- Dans le cinquième mystère, nous contemplons comment les visions de Notre-Dame se produisent encore dans toutes les parties du monde.

Notre-Dame a promis des grâces particulières à tous ceux qui récitent ce chapelet.

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Le 28 octobre 1964, le Supérieur du Padre Pio adresse à Conchita une lettre en espagnol de la part du capucin :

« Paix et salutations,

Padre Pio prie avec son cœur pour vos intentions et vous demande de prier, et de placer votre confiance en la Miséricorde Divine, afin d'acquérir la patience pour surmonter toutes les difficultés et les adversités de la vie, et aussi les bénédictions spirituelles et les grâces pour la sanctification de votre âme.

Padre Pio vous assure qu'il se souviendra constamment de vous dans ses prières et vous envoie sa bénédiction paternelle.

P. Supérieur »

Cette dépêche du Padre Pio adressé aux voyantes les encourage à la sainteté. Par cette lettre, le Padre Pio apporte encore une confirmation de l'authenticité surnaturelle de Garabandal.

Du 12 au 20 janvier 1966, Conchita se rend à Rome sur l'ordre du Cardinal Alfredo Ottaviani. Elle est entendue par le Cardinal, mais aussi bénie par le Pape Paul VI. Profitant d'un délai de 24 heures avant son rendez-vous avec le Cardinal Ottaviani, Conchita et ses compagnons de voyage se rendent à San Giovanni Rotondo pour y rencontrer le Padre Pio.

Ce jour-là, le Père Pio est souffrant et repousse les demandes d'entretien. Mais, apprenant la présence de Conchita, il dit : « Conchita de San Sebastian de Garabandal est là ! » et l'accueille chaleureusement, en ne cessant de la bénir tout au long de l'entretien et en l'assurant de ses prières. Conchita lui demande de bénir le crucifix que Notre-Dame a embrassé à Garabandal, ce que fait le capucin en le posant sur le stigmate de sa main gauche et en recouvrant le crucifix de la main de Conchita.

Visite de Padre Pio à Garabandal en bilocation le 10 octobre 1967.

Conchita avait écrit à Padre Pio pour lui demander son avis sur divers sujets qui la concernaient et, avant que la lettre n'ait eu le temps de rejoindre San Giovanni Rotondo, un groupe d'enfants spirituels de Padre Pio, composé de cinq Italiens, un Français, un Canadien, une Philippine et un prêtre belge, lui rendent visite à Garabandal et lui annoncent la venue de Padre Pio pour répondre directement à ses questions.

En effet, le 10 octobre 1967, par bilocation (capacité d'une personne à être présente à deux endroits en même temps), Padre Pio a rendu visite à Conchita chez elle, où il a passé environ une heure. Elle put voir sa silhouette sans doute possible, entendre sa voix, lui embrasser les mains et remarquer le parfum pénétrant et caractéristique qui émane de ses blessures.

Au cours de sa visite, Padre Pio a déclaré qu'il s'était rendu à Garabandal à quatre reprises et, comme preuve de l'authenticité de sa présence, il a écrit de sa main et de son écriture sur un imprimé, en araméen, l'expression « en union de prières », et a signé P. Pio.

Remarque : Il convient de noter que Padre Pio n'a jamais quitté son couvent à San Giovanni Rotondo, en Italie, pendant toute sa vie religieuse. Sa visite à Garabandal était uniquement due au processus de bilocation qui n'arrive qu'à certains saints.

Tiré du livre "Garabandal 67, chronique spirituelle d'un an".

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Le Padre Pio meurt le 23 septembre 1968. Conchita reste fort perplexe sur la prophétie de la Sainte Vierge qui lui avait dit que le Père verrait le miracle. Or voici que le 16 octobre 1968, elle reçoit un télégramme de Lourdes, envoyé par une dame de ses relations qui la presse de venir pour lui remettre une lettre de la part du Padre Pio. Ce billet, daté du 22 août 1968, jour de la fête du Cœur Immaculé de Marie, est signé du Père Supérieur du monastère de San Giovanni Rotondo et s'adresse cette fois à Conchita seule :

« Couvent des Capucins, 22 août 1968. Pour Conchita, Père Pio a dit : Je prie la Sainte Vierge Marie de vous réconforter et de vous guider vers la sainteté. Je vous bénis de tout mon cœur. »

Parmi les émissaires du célèbre capucin, pour porter ce message se trouvait le Père franciscain Bernardino Cennamo. Il fut présent le 18 juin 1965 à Garabandal et a été témoin de l'extase de Conchita, mais ne cacha pas à Conchita qu'il avait d'abord douté de son origine divine, jusqu'à ce que le Padre Pio lui demande d'offrir à Conchita le petit voile de tulle dont on recouvrirait son visage au moment de sa mort. Le voile et la lettre ont été remis à Conchita, qui a demandé au père Cennamo : « Pourquoi la Vierge m'a-t-elle dit que le Padre Pio allait voir le miracle et qu'il est mort ? » Le père a répondu : « Il avait déjà vu le miracle avant de mourir ! Il me l'a dit lui-même. »

C'est donc d'une très exceptionnelle relique qu'hérita Conchita à Lourdes. À son retour à la maison, Conchita a décidé d'écrire à un ami à Madrid au sujet de l'incident. Voici ce que Conchita a dit dans son interview de 1975 :

« ... J'avais le voile sous les yeux comme j'écrivais quand, tout à coup, toute la pièce fut remplie d'un parfum. J'avais entendu parler des parfums de Padre Pio, mais je ne leur avais jamais accordé plus d'importance. Toute la pièce sentait un parfum si fort que j'ai commencé à pleurer. C'était la première fois que je vivais cela. Cela s'est produit après sa mort. »

2 – Vénérable Marthe Robin (1902-1981), mystique française, stigmatisée, âme victime et fondatrice des Foyers de Charité.

MARTHE ROBIN

https://www.martherobin.com/

          Marthe Robin est née le 13 mars 1902, à Châteauneuf de Galaure (Drôme) France.

          Peu à peu, elle comprend qu’elle est appelée en tant que laïque à vivre l’offrande de toute sa vie en union avec Jésus crucifié pour l’Église et le monde.

            Le 10 février 1936,  Marthe  rencontre l’abbé Finet avec qui elle se met au service du Seigneur dans "la grande Œuvre de son Amour" que sont les Foyers de Charité, de Lumière et d’Amour.

   

          Jusqu’à sa mort, le 6 février 1981, Marthe vivra dans sa petite chambre, dans la ferme, à La Plaine, à Châteauneuf de Galaure. Elle y accueillera plus de 103 000 personnes !
   
          Et aujourd'hui,  des dizaines de milliers de témoignages disent combien la prière de Marthe Robin au Ciel les rejoint, les encourage, les console...

Biographie

   

Jeudi 13 mars 1902 : Naissance de Marthe Robin à Châteauneuf de Galaure, quartier des Moïlles.
   
5 avril 1902 : Baptême de Marthe en l’église paroissiale de Saint Bonnet de Galaure.
   
3 mai 1911 : Confirmation.


15 août 1912 : Première communion.

1918 : Progressivement, la maladie l’immobilise.

15 octobre 1925 : Don total au Seigneur dans son "Acte d’abandon."

Octobre 1934 : À la demande de Marthe, l’abbé Faure, curé de Châteauneuf, ouvre une école chrétienne.

10 février 1936 : Marthe rencontre l’abbé Georges Finet.

6 février 1981 : Décès de Marthe Robin.

23 mai 1991 : Ouverture de l’enquête diocésaine en vue de la béatification de Marthe Robin par Monseigneur Marchand, Évêque de Valence.

6 mai 2010 : à Rome, la "Positio" est signée. *

7 novembre 2014 : Marthe Robin est déclarée "vénérable" par le pape François.

Source :  https://www.foyer-chateauneuf.com/biographie-marthe-robin.html

* Positio : (en latin : positio super virtutibus : position sur les vertus) est un document ou un ensemble de documents utilisés dans le processus de canonisation, par lequel une personne est déclarée vénérable, la seconde des quatre étapes sur le chemin de la sainteté catholique.

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Marthe Robin croyait en Garabandal et encourageait la diffusion des Messages

De nombreux livres sur Marthe Robin ont été écrits depuis son décès, le 6 février 1981. Le premier de ces ouvrages, écrit en relation étroite avec le père Finet, est l'excellent livre du Père Raymond Peyret : "Marthe Robin - La croix et la joie", 1981, Éditions Peuple Libre.

Voici quelques extraits de cet ouvrage :

Marthe, Servante de Dieu, sixième enfant d'une famille d'agriculteurs simples de la Drôme (France), avait vingt-trois ans lorsqu'elle écrivit, de sa propre main, sa consécration complète en tant que « Victime de l'Amour ». ...  Aujourd'hui, son nom, comme ceux de Saint Padre Pio et de la vénérable Mère Maravillas de Jésus, brille au firmament de l'Église de Dieu.

Paralysée depuis l'âge de vingt-sept ans, et également stigmatisée, Marthe Robin passera une cinquantaine d'années de sa vie sans sommeil ni nourriture, se nourrissant uniquement du Pain Eucharistique. Elle a ainsi porté dans la prière et la souffrance le sacerdoce de nombreux prêtres.

Quand le Père Laffineur, O.P., décédé en novembre 1970, laissa derrière lui son projet de diffusion du Message de Garabandal dans une situation difficile, son proche collaborateur, le Père Alfred Combe, décida de demander conseil à Marthe, qu'il connaissait bien. La célèbre mystique l'accueillit dans les premiers mois de 1971, dans sa maison de La Plaine ... Voici le récit de sa rencontre, rapporté par le Père Combe lui-même :

Père Combe : « Chère Sœur Marthe, comme vous le savez, je m’occupe de Garabandal. … »

Marthe : « Oui, Père. … »

Père Combe : « J’aidais le Père Laffineur … Il est mort en novembre dernier. Et tout ce qui a suivi ... »

Marthe : « Oui, les critiques … »

Père Combe : « Je vois que vous savez. Je viens donc vous demander votre avis. J'ai déjà assez de travail dans ce ministère, ma paroisse de Chazay d'Azergues. »

Marthe  (d'une voix ferme et presque tranchante) : « C'est ça, Père ... Vous voulez tout laisser aller ... »

Père Combe : (j'ai reçu le coup en plein cœur et j'attendais le reste ...)

Marthe : « Aïe ! Que devons-nous faire, Père, quand nous avons reçu des grâces ? »

Père Combe : « Je comprends, Sœur Marthe … Je dois donc reprendre la diffusion du Message de Garabandal ! Mais, ce faisant, je vais recevoir des coups de tous côtés, des critiques des prêtres, des vicaires généraux, et même des coups de crosse de l’évêque ... »

Marthe : « Et bien ! Vous les offrirez à Dieu. Là ! Père, donnez-moi des nouvelles des enfants de Garabandal ... »

C'est ce que j'ai fait. Marthe écoutait, demandant parfois des détails ... Enfin, Marthe me dit : « Dites aux quatre filles que je prie pour elles tous les jours ! »

Le temps limité qui m'était alloué pour notre entrevue touchait à sa fin. Marthe m'a alors demandé :

- « Voulez-vous que nous disions ensemble un Notre Père et un Je Vous salue Marie ? »

- « Oui, Marthe. Pour les filles de Garabandal et leur évêque, pour vous et pour les Maisons de Charité et aussi pour les coups de bâton qui nous sont portés ! »

Après notre prière, j'ai dit :

- « Marthe, accepteriez-vous que mon Ange Gardien invite chaque jour le vôtre à participer à ma messe ? »

- « Oh ! Oui, Père, ils prieront ensemble. »

          Et notre conversation s'est terminée comme d'habitude avec ma bénédiction donnée avec une profonde émotion.

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Un autre témoignage de Marthe Robin sur Garabandal est celui qu'elle a donné à Mgr. J. Bretault (fondateur et premier évêque du diocèse de Koudougou  - Burkina Faso - de 1954 à 1965).

Un jour, je l'ai emmené (Mgr. Bretault) à Châteauneuf-de-Galaure, qu'il aimait beaucoup. Avant de le déposer, je lui ai demandé de me rappeler au souvenir de Marthe et de lui demander un petit mot pour moi.

Le petit mot fut un long rapport qu'il écrivit immédiatement avec des larmes de joie devant le Saint-Sacrement ...  Mgr. J. Bretault avait été submergé par toutes les informations que Marthe connaissait sur les difficultés à diffuser les nouvelles de Garabandal en France après la mort du P. Laffineur. Elle lui a demandé de me transmettre quelques détails et quelques conseils ...  qui m'ont été très utiles et efficaces.

À d’autres occasions de rencontres avec Marthe Robin, elle ne manquait jamais de me parler de Garabandal. Elle voulait savoir si le Message était toujours diffusé, avoir des nouvelles des petites filles, de leur famille et de la position de l’évêque de Santander.

Prière de Marthe Robin pour la France du 15 octobre 1943

" Ô Père, ô mon Dieu, délivrez et sauvez maintenant Votre France. Préparez les cœurs de ses enfants à la mission qu’ils vont avoir à accomplir pour elle, pour toutes les autres nations et pour l’Église tout entière.

Ô Père, ô mon Dieu, que les cœurs de tous Vos élus tressaillent maintenant à Votre appel, reconnaissant Votre voix et Votre commandement, Votre invitation à agir. Conduisez-les, ô mon Dieu, chacun à sa place et chacun à sa mission et imposez-leur Vous-même tout ce que Vous voulez de chacun et de tous.

Que rien ne soit l’effet de leur choix, ô, mon Dieu, mais de Votre unique désir, de Votre unique volonté d’amour.

Ô, Maman chérie, ne les laissez ni s’égarer, ni se tromper."

Voici trois prophéties de la vénérable Marthe Robin concernant la France :
    
Source :

http://chere-gospa.eklablog.com/trois-propheties-de-marthe-robin-concernant-la-france-mise-a-jour-3e-p-a92225121

Le bulletin des EDM ou revue des EDM :  https://www.enfantsdemedjugorje.fr

3 – Mère Teresa (1910 - 1997)

Petite Biographie de Mère Teresa
   
          Mère Teresa est née Agnès (Anjezë) Gonxha Bojaxhiu, le 26 août 1910 à Skopje, l'actuelle capitale de la République de Macédoine. Issue d'une famille albanaise, Agnès reçoit par sa naissance la nationalité ottomane puis, en 1948, la nationalité indienne. Celle qui incarne l'altruisme et la bonté est décédée à Calcutta, le 5 septembre 1997.

Le pape  Jean-Paul II béatifie Mère Teresa le 19 octobre 2003. Elle est canonisée par le Pape François en 2016.

En 1929, elle accomplit sa formation religieuse en Inde. Le 25 mai 1931, elle prend le nom de Mary-Teresa. Sœur Mary-Teresa quitte les sœurs de Notre-Dame de Lorette, le 16 août 1948, afin d'être au plus près des miséreux. Elle n'a alors pour seul bien que son sari blanc à liserés bleus.

Rapidement suivie par d'autres femmes, Mère Teresa fonde, deux ans plus tard, la congrégation religieuse catholique " Les missionnaires de la Charité ". Les sœurs y consacrent leur vie aux déshérités, effectuant soins médicaux, enseignements et prise en charge des mourants. Les services hospitaliers refusant les mourants dépourvus de famille, Mère Teresa fonde le mouroir de Kaligat. " Les missionnaires de la Charité " font vœu de pauvreté et étendent leur action aux soins des lépreux.

Durant plus de 40 ans, elle consacra sa vie aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants, d'abord en Inde tout en guidant le développement des Missionnaires de la Charité, puis à travers son œuvre dans d'autres pays.

L'œuvre des Missionnaires de la Charité continue à s'étendre rapidement, et au moment de la mort de Mère Teresa, cette œuvre représentait déjà 610 missions dans 123 pays, incluant des hospices et des maisons d'accueil pour les hommes et les femmes atteints de la lèpre, du sida, de la tuberculose, incluant aussi des soupes populaires, des centres d'aide familiale, des orphelinats et des écoles.

Figure planétaire, le 17 octobre 1979, Mère Teresa reçoit le prix Nobel de la paix. Celle qui incarne le dévouement et le don de soi meurt d'une tumeur à l'estomac, le 5 septembre 1997. Mère Teresa reçoit des obsèques nationales célébrées dans le stade de Calcutta.

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Sainte Teresa de Calcutta, Mère Teresa, est sans aucun doute l'une des saintes les plus aimées du XXe siècle. Cette femme qui a consacré sa vie à assouvir la soif de Jésus et à le servir dans les pauvres a également joué un rôle important dans l'histoire de Garabandal. Sainte Teresa a montré un grand intérêt pour les apparitions de Garabandal, se distinguant particulièrement durant les moments les plus difficiles, dans une relation étroite avec les voyantes, notamment une longue amitié avec Conchita.

On peut dire que la relation de Mère Teresa avec Garabandal fut aussi engagée que celle de saint Pio de Pietrelcina.

C’est ainsi que Mère Teresa a suivi les évènements de Garabandal et a personnellement rencontré trois des voyantes, entretenant une relation particulièrement étroite et prolongée avec Conchita. Souvent, lorsque la sainte se rendait à New York, où vivait Conchita, elle l’appelait, et elles se rencontraient.

À une certaine époque, Conchita et son mari, Patrick Keena, furent même bénévoles à la soupe populaire dirigée par les Missionnaires de la Charité à New York. Mère Teresa était aussi la marraine de baptême de la fille aînée de Conchita. Elle a toujours recommandé l'obéissance totale de Conchita à l'évêque de Santander, pour parler publiquement des apparitions de Garabandal.

Dans une lettre à l’évêque de Santander, Juan Antonio del Val Gallo, en date du 10 novembre 1987, Mère Teresa a écrit :

« C’est en 1970, il y a dix-huit ans, que j’ai entendu parler pour la première fois des apparitions de San Sebastian de Garabandal en Espagne. Parfois, il semble qu’il y a bien longtemps, d’autres fois, c’est comme si c’était hier. Dès le début, j’ai senti que ces évènements étaient authentiques. » (Extrait de « Los Pinos de Garabandal iluminaran al mundo : Les Pins de Garabandal illumineront le monde » par Maria Josefa Villa de Gallego)

Mère Teresa rencontra donc Conchita dans les années 1970, devint son amie et la conseilla à plusieurs reprises dans son engagement envers Garabandal. Elle exigea que Conchita obéisse aveuglément à la hiérarchie, lui rappelant qu'obéir à l'Évêque en toutes choses était le meilleur moyen d'aider le processus canonique des apparitions. Conchita se conduisit toujours de cette manière, suivant fidèlement les conseils de la religieuse.

En 1980, lors du tournage du film de la chaîne de télévision britannique BBC sur Garabandal, qui devait comporter une interview que la BBC avait demandée à Conchita, Mère Teresa s’est trouvée indirectement impliquée dans les coulisses.

Après avoir cherché un endroit qui semble possible pour l’interview du film, le réalisateur Bill Nicholson, Conchita et ses amis ont fait un détour par le couvent des Missionnaires de la Charité, situé dans le Bronx de New York. Gladys Dominguez eut l’idée de demander aux sœurs de prier pour le succès du film. Peu de sœurs étaient au courant, mais Mère Teresa était là. Lorsque Conchita pénétra dans le vestibule du couvent, elle fut chaleureusement accueillie par les sœurs qui la connaissaient toutes, et la nouvelle fut annoncée dans le couvent à Mère Teresa, qui sortit alors la saluer personnellement.

Quand la religieuse lui demanda la raison de sa visite, Conchita lui parla du film. Mère Teresa lui demanda immédiatement si l’évêque de Santander lui avait donné sa permission. Conchita avait appelé Mgr del Val à ce sujet et il lui avait répondu : « Humilité et obéissance, et ne pas trop parler des précédents évêques. » Conchita comprit ces paroles comme un consentement ; cependant, quand elle fit connaître son avis à Mère Teresa, celle-ci n’en fut pas satisfaite et lui déclara : « Tu dois de nouveau demander à l’évêque. »

Lorsque Conchita demanda ce qu’elle devait dire, la religieuse écrivit au dos d’une enveloppe vierge : « Demande-lui si tu peux faire cela pour l’honneur et la gloire de Dieu et pour aucune autre raison. »

Dès que Conchita fut rentrée chez elle, elle appela l’évêque, mais il était absent ; elle rappela le lendemain après-midi et put lui parler.

Elle lut à l’évêque – qui avait une grande admiration pour Mère Teresa – les paroles écrites par la future sainte. L’évêque lui répondit avec enthousiasme : « Bien sûr, vous pouvez le faire pour cette raison. » Puis il demanda à Conchita de lui faire parvenir l’enveloppe sur laquelle Mère Teresa avait noté le message, pour la garder en souvenir et comme preuve de la fidélité et de l'obéissance de Conchita envers l'autorité légitime de l'Église, et de l'implication et l'intérêt de la sainte pour Garabandal. Conchita respecta son souhait et cette note est conservée depuis lors dans les archives de l'évêché de Santander.

Avant de quitter New York, Mère Teresa appela Conchita et lui dit qu’elle avait prié pour le film qui, soit dit en passant, fut un énorme succès lors de sa diffusion à la télévision du Royaume-Uni.

La dernière rencontre de Mère Teresa avec Conchita eut lieu à New York quelques semaines avant sa mort.

Voici le PDF détaillant la préparation et la réalisation du film de la BBC avec l’intervention de Mère Teresa.

Cliquer sur l’image :         

http://temoins-amour-esperance.fr/Francais/Garabandal/Mere%20Teresa%20et%20Garabandal152.pdf

Le film de la BBC « Mère Teresa de Calcutta et les apparitions de Garabandal », dont il est question dans le PDF ci-dessus, vous est proposé ci-dessous.

Procédez comme précédemment en cliquant à droite sur l'icône. La vidéo dure 35 minutes.

    
Sources YouTube, documentaire de la BBC en espagnol, 35:26 s et en anglais 36:01s :

Espagnol : https://www.youtube.com/watch?v=h14xQyJPmek
Anglais : https://www.youtube.com/watch?v=G26eQ-4SSGA

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En janvier 1992, Mère Teresa invita Jacinta à venir la voir. Elle se remettait juste d’une maladie grave dans son noviciat à Tijuana, au Mexique, situé seulement à quelques heures de la maison de la voyante à Oxnard, en Californie. Jacinta fit le voyage le 19 janvier 1992.

Mère Teresa la présenta à sa communauté : « Voici Jacinta de Garabandal. Garabandal est vrai ! » a-t-elle ajouté.

***

Journal de GARABANDAL, March-April 2004.
Photos de Mère Teresa avec Conchita (76, 97), Mari-Loli (87) et Jacinta (92).

Pour approfondir le sujet de l’implication de sainte Teresa dans la réalité des apparitions de Garabandal, il est possible de consulter le livre intitulé « Garabandal, Message of Hope, thèse de doctorat du Père José Luis Saavedra », dans laquelle sont présentés certains faits traitant de la relation entre Mère Teresa de Calcutta et les phénomènes Garabandal.

Le Père José Luis Saavedra est le théologien dont nous avons présenté l’interview en vidéo, en fin du §III, sur les apparitions de Garabandal.

4 – Sulema

          Cinquante-cinq années se sont écoulées… depuis l’annonce de l'avertissement lors de l’extase de Conchita aux Pins le 1er janvier 1965.

          À son tour, Sulema du Canada vient nous parler de « l'avertissement qui approche à grands pas », comme l'en a avertie Marie.

« Comme une bonne maman, je veux vous préparer à vivre ce grand évènement de l’illumination des consciences dans la paix, dans l'abandon à la Divine Volonté. Ce sera un mouvement d'amour et de miséricorde où tous les enfants de la terre doivent entrer pour vivre ce moment par la puissance du Saint-Esprit…

Mon Divin Fils vient, en cette occasion, vous avertir chacun en particulier, des choses que vous devez faire, des choses que vous ne devrez pas accepter et aussi des choses que vous devrez vous abstenir de regarder…

Ce sera un avertissement, comme le jugement particulier au moment de la mort physique… »

(Marie à Sulema le 23 mai 2011)

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Volume 2     Je viens vous préparer à cet évènement : 

                       L’illumination des consciences

Extrait du site :   https://illuminationdelaconscience.wordpress.com

28 Août 2012
Jésus, votre Sauveur

135 - Je viens vous dire à quoi ressemblera l’illumination des consciences

Signe-toi et écris, ma fille, couverte de mon Précieux Sang, pour la Gloire de Dieu mon Père.

Paix à vous, mes enfants. Ce soir, Je viens vous dire à quoi ressemblera l’illumination des consciences que l’on appelle aussi l’avertissement. Elle est une intervention directe de Dieu, elle est une purification, premier signe pour tous que votre époque tire à sa fin, c’est-à-dire la fin de la vie telle qu’elle est présentement. Cet évènement est un moment unique dans l’histoire de l’humanité.

Un bruit  assourdissant  se fera  entendre,  et la Croix lumineuse  brillera dans le ciel ; elle s’étendra de l’orient à l’occident pour annoncer la proximité de l’illumination des consciences. Dès que vous verrez le ciel s’assombrir, mettez vous à genoux, chapelet à la main, et priez, priez, priez, car tout se passera très vite. Le jour deviendra nuit ; comme à Fatima, le soleil tournera et il s’éteindra pendant trois heures ; la lune s’obscurcira et on assistera à de grands phénomènes sur toute la terre !

Le monde entier sera bouleversé, les gens croiront que la fin du monde est arrivée. La crainte sera tributaire des péchés commis par chacun, la plus grande destruction se manifestera dans les cœurs. Chacun vivra une expérience mystique par laquelle il pourra voir son état d’âme à la lumière de la justice divine, semblable à la grâce accordée à Saul de Tarse qui fut pénétré par cette lumière. Paul obéit à l’avertissement que Je lui ai donné, il s’est repenti et devint le disciple fidèle, l’apôtre des païens.

Lorsqu’elle se produira, tout s’arrêtera, mes enfants. Ce sera comme le feu, mais il ne brûlera pas votre chair ; toutefois, vous le ressentirez intérieurement et extérieurement. L’Esprit Saint viendra comme une rosée céleste de grâce et de feu qui renouvèlera le monde entier, à ce moment-là, vos péchés vous seront dévoilés, le bien que vous avez négligé de faire et le mal que vous avez fait. Il mettra en lumière ce qui est caché dans les ténèbres et Il fera paraître les intentions secrètes, car rien ne sera plus caché, non pour vous faire souffrir, mais plutôt par Amour et par Miséricorde, vous souffrirez à cause de vos péchés non confessés.

Comprenez-vous mon insistance à vous démontrer pourquoi il faut aller au sacrement du Pardon pour être prêts ? Autrement vous allez reconnaître la douleur du purgatoire ou de l’enfer ! Vous le verrez tous, que vous le vouliez ou non. Ce sera le plus grand geste de ma Miséricorde, J’accorderai à tous une dernière chance.

Et, à ce moment, chacun pourra se libérer de tous ses péchés en allant au sacrement du Pardon avec un grand repentir et le désir de ne plus offenser Dieu, en redressant sa conduite, en changeant ses habitudes ; ou bien, traîner ses péchés avec lui vers la damnation en refusant de Me rencontrer dans la personne du prêtre. Je pardonnerai tout, mais vous devrez vous repentir, J’accepterai votre retour à mon Sacré-Cœur, mais vous devez revenir à Moi de vous-même.

L’effusion du Saint-Esprit sera aussi forte, aussi puissante, après l’avertissement, qu’elle le fut au moment de la première Pentecôte. Ce qui se manifestera sera si Grand qu’il n’y a jamais rien eu de pareil depuis le commencement du monde ! Cet évènement aura pour effet d’augmenter votre foi, il vous aidera à vous rapprocher de Moi, il préparera l’humanité à recevoir les messages de l’Évangile.

Pourquoi cet évènement ? Parce que sans la connaissance de vos péchés, vous ne pourrez pas comprendre à quel point vous avez besoin de Moi et de mon pardon. Ne craignez pas, Mes enfants, ceux qui croient en Dieu et en ma très Sainte Mère, ceux qui reconnaîtront que cela vient de Dieu, seront protégés. Souvenez-vous en, ceux qui demeureront dans ma grâce n’auront rien à craindre, rien mes enfants.

Récitez le chapelet, c’est très important, récitez le chapelet de la Miséricorde, car J’y attache de grandes grâces.

Si je suis venu ce soir vous décrire à quoi ressemblera l’illumination des consciences, connue aussi comme l’avertissement, ce n’est pas pour vous effrayer et vous faire perdre la paix, non mes enfants, non. C’est pour vous permettre de vous préparer par la prière, l’adoration et les sacrements, à demeurer en état de grâce, dans ce cœur à cœur avec Moi, votre Dieu, à rester à l’abri de tout danger dans mon Sacré-Cœur et le Cœur Immaculé de ma très Sainte Mère, l’Immaculée Conception.

Préparez-vous, mes enfants, parce que vos yeux vont voir des évènements qu’aucun œil n’a jamais vus auparavant. Le temps est très court. N’ayez pas peur, soyez dans l’allégresse, avant que je vienne comme Juge, Je viendrai comme Roi de Miséricorde, pour vous, mes enfants de lumière, mon petit reste fidèle que J’aime tant. Je suis proche, Je n’abandonnerai jamais les miens, vous, mes amours. Soyez vigilants, ne vous laissez pas distraire, « tenez vos lampes allumées. » (Lc 12, 35)

Quand la Croix apparaîtra dans le Ciel, ce sera le signe de mon retour dans la Gloire, parce que Je viendrai avec Elle pour instaurer mon Règne Glorieux dans le monde. Elle sera la porte qui ouvre le tombeau dans lequel gît l’humanité, pour la conduire dans le Royaume de la Divine volonté.

En même temps, il y aura une grande angoisse, une grande douleur de ne pas avoir accueilli à temps mes messages et ceux de ma Mère. Alors il sera trop tard pour ceux qui ne seront pas en état de grâce pour se repentir, se convertir et faire pénitence.

Peuples de la terre, adorez le Seigneur, car Il vient ! Prenez courage, ne craignez pas, voici venir votre Dieu ! Lorsque vous vous y attendrez le moins, l’avertissement viendra, n’en doutez pas, et vous verrez ma Croix dans le Ciel. Ce que Je dis, Je le fais.

Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.

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Par trois fois, en 2014, 2016 et 2018, Sulema et son mari Sabino ont participé, avec notre association des Témoins de l’Amour et de l’Espérance, à un pèlerinage à Garabandal :

5 – Vassula

Vassula et Garabandal : extrait du site
http://www.defending-vassula.org/alter-reasons?lang=fr

       Notre Sainte Mère me demandait d’aller à Garabandal et de bénir les sites où Elle est apparue, et d’y prier. Encore une fois, ceci a déjà été accompli d’une façon très simple. Jésus m’avait demandé alors de rencontrer les « enfants » de Garabandal. Il m’avait demandé de les bénir. Cependant, je ne suis pas allée à leur recherche ni ne me suis inquiétée du fait que je ne savais pas où les trouver, parce que Dieu m’avait déjà enseigné comment Il œuvre.

Il demande des choses parfaitement impossibles à réaliser par quiconque. Il attend de vous que vous ayez confiance en Lui et que vous vous appuyiez entièrement sur Lui. Alors, Il ouvre Lui même le chemin pour vous permettre d’accomplir en paix ce qu’Il a demandé, et tant que votre esprit est uni à Son Esprit, chaque détail de ce qu’Il demande se trouve accompli.

Et c’est ainsi que j’ai rencontré Conchita, la principale voyante de Garabandal, et que j’ai pu converser par téléphone avec les autres voyantes. Alors que je me trouvais aux États-Unis, quelqu’un a arrangé cela pour moi, car Conchita lui a dit qu’elle souhaitait me rencontrer. Cela également s’est accompli sans initiative de ma part : j’ai été invitée à y aller.

Messages :

5 septembre 1987

https://ww3.tlig.org/fr/messages/garabandal-2/
http://www.tlig.org/fr/messages/145/

- Vassula, n'aie pas peur. Écris le mot "Garabandal". Garabandal est la suite d'autres signes. Les apparitions de Garabandal sont authentiques. Croyez, vous tous qui n'avez pas vu, croyez, croyez.

Ma fille, Je t'ai utilisée pour pouvoir Me manifester à travers toi. Ma Mère est apparue à Mes âmes choisies. De leur bouche, la Vérité a été dite, mais beaucoup de Mes âmes sacerdotales ont déclaré douteuses ces apparitions et certaines les ont reniées complètement. Je Me suis manifesté à travers toi pour lever ce doute sur Garabandal. Les apparitions de Garabandal sont authentiques et Mes enfants ont vraiment vu Ma Mère et entendu Ses messages. Vassula, il t'arrivera une plus grande épreuve qui alourdira Ma Croix sur tes épaules et augmentera Ma Coupe de Justice. J'ai prévenu le monde.

- Mon Dieu, il n'y en a probablement que très peu qui connaissent cet évènement.

-  C'est vrai, beaucoup ne savent pas, à cause des doutes et des peurs qu'éprouvent Mes âmes sacerdotales. En doutant, elles renient Mes Œuvres célestes. Elles ont oublié que Je suis Tout-Puissant. Le cœur endurci, elles ont perdu leur spiritualité ; aveuglées, elles cherchent sans lumière et sans Sagesse. Toutes Mes Œuvres ont toujours été données à de simples enfants et jamais aux savants. Mes Œuvres apparaissent hétérodoxes à leurs yeux, mais c'est parce qu'elles se comparent à Moi. Depuis le commencement des temps, Je ne vous ai jamais abandonnés.

(Jésus m'a fait comprendre que les signes nous sont donnés pour nous rappeler Sa Présence parmi nous, pour nous encourager.)

- Vassula, te souviens-tu des pharisiens ?

- Oui, Seigneur.

- À un moment donné, ils M'ont accusé de prêcher contre la Loi de Moïse. Quelle différence y a-t-il aujourd'hui ? J'ai été accusé de promiscuité et d'aller contre leur loi. Les accusations et les doutes concernant Garabandal n'en sont pas loin. Laisse-Moi te dire que ceux qui se dressent contre les apparitions et les messages de Garabandal sont ceux qui Me blessent. Ils sont les épines de Mon Corps. Je t'ai dit il y a quelque temps que Je te conduirai par une Force Divine au plus profond de Mon Corps Saignant. J'ai dit que Je te désignerai de Mon Doigt ceux qui Me blessent. Je suis Jésus-Christ, Fils Bien-Aimé de Dieu. Vassula, n'aie pas peur, car Je suis devant toi.

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10 septembre 1987

https://ww3.tlig.org/fr/messages/denormes-reparations-vous-sont-maintenant-demandees/

http://www.tlig.org/fr/messages/149/

- Je t'aime. Vassula, crois en Moi aveuglément, jusqu'à ce que Je vienne te délivrer.

- Jésus, je sais qu'il y a des moments où Tu dois être vraiment mécontent de moi, quand je tombe dans le doute. À ces moments, je suis le résultat d'une multiplication. Si Tu multipliais par dix le scepticisme de Saint Thomas, le résultat, ce serait moi.

- Fleur, tu es fragile, et c'est par ta fragilité que Je suis attiré. Ne sais-Je pas tout cela, bien-aimée ? Je suis ta Force.

(Jésus a chuchoté quelque chose à mon oreille. Je dois le garder secret.)

- Vassula, Garabandal est la suite des Miracles. Entre ces Miracles, J'ai donné beaucoup d'autres signes.

- Peux-Tu écrire quels miracles ?

- Écris : "Lourdes", ensuite "Fatima". Je veux que tu écrives maintenant " Garabandal de San Sebastian ". Glorifie-Moi ! Rappelle-toi que Je suis la Lumière de ce monde.

(Soudain, Jésus m'a rappelé le songe que j'ai fait la nuit passée et auquel je ne pensais plus. C'était la vision que j'ai eue dernièrement, le 1er septembre, mais dans mon songe c'était pire. Je me rappelle quand j'ai vu cette chose rouge qui tombait du Ciel sur nous comme une vague géante. J'ai essayé de courir et de me cacher tout en sachant que c'était impossible.)

- Écoute, Je t'ai fait voir cette vision dans ton sommeil, pour te faire sentir l'évènement. Non, il n'y a pas moyen d'y échapper !

- Mais pourquoi faire cela si Tu nous aimes ? Pourquoi ?

- Je suis connu comme un Dieu d'Amour aussi bien que comme un Dieu de Justice.

- Que pouvons-nous faire pour arrêter cela ?

- D'énormes réparations vous sont maintenant demandées à tous. Unissez-vous et soyez un, aimez-vous les uns les autres, croyez en Moi, croyez en Mes Œuvres célestes, car Je suis toujours parmi vous.

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20 septembre 1987

https://ww3.tlig.org/fr/messages/je-desire-que-ce-desert-soit-irrigue/

http://www.tlig.org/fr/messages/154/

- Vassula,  les apparitions de Moi-même  et de Ma Mère  à Garabandal  devraient être authentifiées. Écoute-Moi, Vassula. Chaque fois que Ma Mère est apparue à Mes âmes choisies, les illuminant de Sa Grâce, Je Me tenais près d'Elle, mais nul œil ne pouvait Me voir. Parfois, Je suis apparu Enfant, pour bénir ceux qui Me glorifiaient. Ma fille, Je désire que ces lieux d'apparitions soient plus honorés. Je désire que le Saint-Siège M'honore en bénissant ces lieux Sacrés. Vassula, Je n'entends pas seulement Lourdes et Fatima, J'entends aussi Garabandal. Je viens glorifier les apparitions de Garabandal. Je désire voir Mon Saint-Siège venir bénir ce lieu, rectifiant tout ce qui a été déformé et incorrectement proclamé par Mes âmes sacerdotales qui Me blessent. Qu'ils lèvent les doutes et effacent les abus commis par ceux qui se sont dressés contre les apparitions. Mon Saint-Siège fera-t-il cela pour Moi ?

- Seigneur, mon Dieu, comment sauront-ils tout cela ?

- Laisse-Moi  ce travail,  Vassula.  Je trouverai bien  un moyen  pour qu'ils le sachent. Ma fille, Je désire que chaque fois que Je leur donne un signe de Ma Présence, si petit soit-il, Mon Saint-Siège glorifie Mon signe en le bénissant. Je veux que le monde ait connaissance de Ma Présence, de Mes Richesses, de Ma Miséricorde et de Mes Œuvres célestes. Je désire que Mon Saint-Siège propage à grande échelle les signes que Je donne, nourrissant le monde. Je veux Ma terre fertile. Ne laissez pas arracher les quelques fleurs qui restent. Ce désert, Je le veux irrigué. Qui arrosera Mon Jardin ? Pourquoi négligent-ils Mes fleurs ?

- Bien-Aimé Jésus, si je ne me trompe pas, il leur a fallu sept ans pour confirmer le miracle de Fatima. Mon Dieu, je prévois des refus, des blâmes et des difficultés avant qu'ils n'acceptent.

- Fleur, ne t'afflige pas, laisse-Moi t'aider. Vassula, J'atteins toujours Mes buts.

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26 janvier 1988

https://ww3.tlig.org/fr/messages/apocalypse-12-explications/

- Vassula, veux-tu travailler avec ta Sainte Mère ? Nous sommes inséparables.

- Oui, Jésus.

- Je t'aime. Je suis toujours près d'Elle. Ta Sainte Mère va maintenant t'enseigner.

(Jésus était avec Sainte Marie ; Il m'a fait comprendre que même si je ne La vois pas tout le temps, cela ne signifie pas qu'Elle n'est pas avec Lui ; Ils sont toujours ensemble.)

- Ma fille, J'ai toujours été avec toi, Je te protège et Je t'aide.

(Là, j'ai compris que Sainte Marie m'aide à comprendre certaines choses ; Elle m'aide sur cette route que Dieu a choisie pour moi.)

- Je t'aiderai jusqu'à la fin.

(Par une locution intérieure, Sainte Marie m'a fait comprendre que nous devrions lire le chapitre 12 de l'Apocalypse.)

- Viens, Je vais t'expliquer. Quand Satan a perdu, il a juré de poursuivre le reste de Mes enfants et de leur faire la guerre. Dans sa rage, sa furie, il a juré de les dévorer, parce qu'il sait que ses jours sont comptés et, à cause de cela, il veut entraîner avec lui autant d'âmes qu'il peut. Oui, il est le dragon et, de sa queue, il essaie de balayer et de mener la Création de Dieu à la destruction. Vassula, Mon enfant, comme il est la Vanité même, il accuse les Œuvres du Tout-Puissant, voulant prouver à Dieu qu'Il a raté Sa Création et que Nos enfants sont faits pour suivre ses voies mauvaises. Vassula, Je vais te dire quelque chose, quelque chose qui réjouira tous ceux qui M'aiment : cette année sera pour Ma Gloire. Non, tu ne comprends pas tout à fait. Mon Cœur Immaculé prévaudra ; J'attirerai beaucoup d'âmes à Jésus.

(Sainte Marie a attiré mon attention sur Ses apparitions.)

- De même que Je suis apparue à Lourdes et à Fatima, Je suis pareillement apparue à Garabandal, donnant un Message semblable. Garabandal est la suite du Message de Fatima. Mais, une fois de plus, Satan a jeté de la poussière dans les yeux des autorités ecclésiastiques pour les embrouiller. Il a semé ses semences dans leur cœur afin qu'ils nient Mes apparitions et empêchent Mon Message de devenir universel.

Vassula, Nos Cœurs saignent, blessés par les épines qui ont été enfoncées en Eux. Comme Je pleure sur vous, enfants ! Je t'aime, Vassula. Mon Cœur blessé Se lacère de vous voir balayés par la queue du dragon ! Vassula, Je vais te dire quelque chose à l'oreille. Écoute, oui.

(Sainte Marie a murmuré un secret à mon oreille ; parfois, je crois que je rêve et que je vais me réveiller.)

- Vassula, c'est parce que Jésus a placé un voile sur tes yeux. Il lèvera ce voile au bon moment. Je veux, Ma fille, que tu Lui fasses confiance. Permets-Lui de te guider dans cette voie. Ne t'afflige pas, fleur, Je suis toujours avec toi. Te souviens-tu comme Je suis apparue devant Mon Église à Turin ?

- Oui !

(Sainte Marie était apparue à ma cousine sous l'aspect d'une très grande statue, pour nous indiquer où se trouvait Son église.)

- Oui, Je suis apparue pour vous appeler. Je voulais que tu viennes dans Mon église, enfant bien-aimée. Pour appeler Mes enfants, J'apparais à différents endroits et à beaucoup. Si vous saviez seulement combien Je vous aime tous ! Je veux vous embrasser tous et vous attirer tous près de Mon Cœur.

(Une pensée triste m'a traversé l'esprit. À cause de son volume-même, cette révélation pourrait amener les autorités ecclésiastiques à douter. Cela est à nouveau au-delà de leur sagesse, comme Jésus l'a déjà dit deux fois. Les doutes, toujours les doutes ; le scepticisme, toujours le scepticisme...)

- Enfant, pourquoi oublies-tu comment Jésus a vécu lorsqu'Il était en chair sur la terre ? Il fut persécuté, ridiculisé par les pharisiens, qui ne L'ont pas cru. Aujourd'hui, Ma fille, ils ne croient pas à un grand nombre d'Œuvres divines. Ma fille, ton ère est tombée aussi bas que l'était Sodome. Jésus t'a avertie que tes oppresseurs seront nombreux, mais Je te protège contre le pire qui pourrait advenir. Viens, Vassula, n'oublie pas l'évènement de la plus Sainte Demeure de Dieu. Je te dis cela pour te rappeler que Dieu t'a placée dans Son Sacré Cœur. Il t'a permis de pénétrer dans Sa Lumière - oui, le " Soleil " - ; tu as vu la plus Sainte Demeure de Dieu.

- Sainte Marie, je n'avais pas réalisé alors que cette énorme "Boule de Lumière" était la même que celle de Fatima !

- Tu ne le savais pas alors ; l'Amour t'a élevée et t'a placée dans Son Cœur ; cela, Il le fera au reste de Nos enfants. Nous sommes en train d'appeler Nos enfants. Dieu pardonnera leurs péchés, Il leur enseignera à se repentir et à réparer. Il leur enseignera Ses Voies. Il les nourrira d'Intégrité et ils seront convertis. Viens. Honore-Moi, Vassula, traite-Moi comme ta Sainte Mère ; tu es Mon enfant.

- Oui, Sainte Mère, j'ai maintenant une Sainte Famille ; je Vous aime.

(Je me faisais soudain du souci pour le lendemain.)

- Ne t'inquiète pas, Je murmurerai Mes Paroles à ton oreille. Moi, Vassula, Je suis la Mère de chacun. Viens.

(J'ai senti Son Cœur ; notre Sainte Mère est blessée autant que Jésus.)

- Oui, Ma Vassula,  Je suis blessée par l'erreur répétée que commettent les autorités ecclésiastiques en rejetant Mon message de Garabandal. Garabandal est l'amplification du message de Fatima. Vassula, repose-toi maintenant. Je t'appellerai demain.

- Oui, Sainte Marie, je Te bénis.

- Ma fille, viens à Moi quand tu le veux.

 

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Jeudi Saint 23 mars 1989

http://www.vassula.org/CAHI_032.html#032890324

Sur le chemin de Garabandal de San Sebastian, Espagne.

(Nous avons quitté Biarritz pour Garabandal. Notre-Dame nous a trouvé un guide bénévole sachant l'espagnol et connaissant bien la région. Le trajet me sembla interminable. Il pleuvait, et par moments, nous nous trouvions dans le brouillard. Après de longues heures de route de montagne, je commençais à me demander si notre guide savait vraiment où il nous conduisait. La nuit allait tomber et il faisait de plus en plus sombre. Je me demandais pourquoi je me rendais là-bas ; je n'en avais aucune idée ; peut-être était-ce, comme me l'avait demandé le Seigneur il y a plus d'une année, pour sanctifier Garabandal. Le Seigneur m'avait alors précisé que tout cela, Il le ferait Lui-Même, ma mission étant seulement de L'aimer, de Le consoler et de Lui permettre d'écrire. Alors, je m'interrogeais et j'étais perplexe.

Soudain, le ciel s'est dégagé ;  il était splendide, avec des nuages orangés,  et j'ai senti la Présence de Dieu nous entourer. Non, Il n'allait pas maintenant nous abandonner. Je devais seulement m'abandonner complètement à Lui et Lui faire pleinement confiance. J'ai à nouveau ressenti cette intimité qu'Il m'a enseignée et qu'Il partage avec moi ; je L'ai appelé Abba. Oui, Abba prend soin de moi avec Grand Amour.

Enfin, nous sommes arrivés à Garabandal et sommes entrés dans l'église où la messe était en cours. Face à moi, il y avait une statue du Sacré Cœur de Jésus et, à Sa droite, Sainte Marie les bras ouverts. J'ai entendu Marie me dire : " Merci d'être venue à Moi ". Ravie, j'ai répondu : " Merci de m'avoir amenée ici, chez Toi ".

Après la messe, notre guide a demandé au prêtre s'il savait où nous pourrions loger. Il nous a accueillis très gentiment et nous a invités à le suivre. Il nous a menés à une auberge et a appelé la tenancière. Malgré sa charge — elle devait servir le dîner aux clients de l'auberge —, elle nous a amenés chez elle, où elle disposait d'une chambre et d'un salon avec deux lits de camp. Béatrice et moi avons partagé la chambre.

Avant de quitter Biarritz,  j'avais hésité  à emporter  avec moi  ma statue de  Notre-Dame de Fatima qui, en général, m'accompagne toujours. J'avais peur qu'elle se casse en voyage, et j'ai décidé de la laisser à Biarritz, où je la reprendrais à mon retour. Mais que voyons-nous sur une étagère dans le vestibule de la chambre ? Une statue de Notre-Dame de Fatima absolument identique à la mienne, de la même dimension ! C'est comme si Elle ne m'avait jamais quittée... De Fatima, la voilà à Garabandal. Toutefois, elle n'avait pas de chapelet dans les mains. J'avais dans mon sac un deuxième chapelet ; c'était un chapelet de Medjugorje. C'est ainsi qu'à Garabandal, j'ai déposé dans les mains de Notre-Dame de Fatima un chapelet de Medjugorje, reliant ainsi ces trois lieux d'apparitions de Notre-Dame.

Nous n'avions pas emporté de réveil. Comme il y avait dans la chambre une très belle statue de Sainte Thérèse de Lisieux, j'ai demandé à Sainte Thérèse de nous réveiller à une heure raisonnable, pas trop tôt... Le matin, Béatrice et moi avons été réveillées par trois coups frappés à la porte ; j'ai allumé la lampe pour voir l'heure : il était huit heures précises ; j'ai répondu "oui", et j'ai ouvert la porte : il n'y avait personne... Ainsi Sainte Thérèse ne nous a pas oubliées. Après le petit déjeuner, j'ai rencontré le frère d'une des voyantes de Garabandal. Ensuite, je me suis rendue à chaque endroit où Notre-Dame est apparue, en rendant grâce.)

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Garabandal, 24 mars 1989

http://www.vassula.org/CAHI_032.html#032890324

- Vassula, c'est Moi en effet qui t'ai amenée ici. Je suis le Seigneur. Aie Ma Paix. Que Mes Paroles et celles de Ma Mère soient connues en dépit des épines dont nos ennemis ont recouvert Nos Cœurs. À la fin, Nos Cœurs prévaudront.

(La Sainte Vierge :)

- Jésus et Moi sommes avec toi, Mon enfant. Nous vous bénissons tous. Viens.

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26 mars 1989

http://www.tlig.org/fr/messages/393/

(De retour en Suisse.)

- Ma rose, vois comme Je te guide. N'as-tu pas remarqué comme J'ai aplani ton chemin ? Je t'ai portée jusqu'à Garabandal pour accomplir Mon désir. Je t'avais demandé de sanctifier Garabandal ; Je t'ai élevée jusque là-bas et maintenant tu l'as fait. Rappelle-toi : Mes Voies ne sont pas vos voies. Je t'ai appris à t'abandonner complètement à Moi et à laisser de l'espace pour que Mon Esprit puisse respirer en toi. Tu vois ? Je ne t'abandonnerai jamais. J'entends t'utiliser jusqu'à la fin, accomplissant ta mission. Permets à Mon Doigt de se reposer sur toi, laissant ainsi les désirs de ton Dieu se graver sur toi. Ma rose, Je t'aime. En venant à Moi de cette façon, tu gardes Mes préceptes, tu M'offres ta volonté. Place-Moi en premier, ne comptant jamais le temps que tu passes avec Moi. Désire toujours être en lien constant avec Moi. Je suis ta Vie. Être attachée à Moi te favorise. Je t'attirerai plus profondément dans Mon Sacré Cœur et Je conduirai ton âme à la perfection. Alors, fais-Moi ainsi plaisir en t'abandonnant dans Mes Mains. Sois confiante. Viens, fais Mes délices et loue-Moi. Ma Mère - qui est également ta Mère - te protège, te guide et t'aide. Bénis-La, Ma fille. Ne cesse jamais de prier.

- Je T'adore, mon Dieu.

- Adore-Moi toujours.

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New York, 18 juillet 1991
   
http://www.tlig.org/fr/messages/637/

(Fête de Notre - Dame - du - Mont - Carmel. Rencontre avec Conchita, voyante de Garabandal.)

- Mon Seigneur, je Te remercie pour tout ce que Tu m'as donné ; je ne pourrai jamais assez louer Ton Saint Nom !

- L'Amour est près de toi. L'Amour Se repose sur toi. L'Amour accomplira une chose après l'autre en son temps. N'aie pas peur. Ton Sauveur est comme un veilleur, te gardant sans cesse. Le Plus-Haut ne t'abandonne pas. Ecoute-Moi ; depuis longtemps, J'ai préparé cela. Avant même que tu sois née, Je l'avais projeté et maintenant Je le réalise. Tu vois ? Je t'envoie à Mes enfants afin que tu leur donnes tes nouvelles et pour les encourager à fond. Aie foi en Moi. Compte sur Moi. Je connais tes épreuves et ta misère, mais bientôt, très bientôt maintenant, Je viendrai renverser le rebelle et régner dans tes cœurs, génération. Le Royaume de Dieu est bientôt avec vous.

Je bénis Mes chers enfants de Garabandal.

Apprenez que Je Suis est à votre côté.

Ι Χ Θ Υ Σ