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María Livia Galliano de Obeid  


María Livia Galliano de Obeid

Maria Livia Galliano est née le 25 décembre 1948. Epouse depuis 1970 de Carlos Obeid, joueur de rugby, elle est mère de trois enfants et grand-mère de trois petits-enfants. Elle appartient à une famille catholique fervente et habite Salta au Nord de l’Argentine.


Au début de l'année 1990, elle commence à avoir les premières manifestations surnaturelles, étant elle-même la première surprise car elle n'a jamais imaginé voir la Vierge et ne l'a jamais demandé. La Très Sainte Vierge lui apparaît pour la première fois dans l'intimité de sa maison ; et ceci va être une expérience transformante pour elle, parce qu'en fonction de cette apparition tout va devenir différent dans sa vie simple.

HISTOIRE DE LA PREMIÈRE VISION DE LA TRÈS SAINTE VIERGE
Survient une force qui met à genoux Maria Livia. Cette force élève son âme et l'oblige à lever la tête, et là, au milieu d'une immense lumière, apparaît une jeune fille d'environ 14 ans. Elle a les mains et les bras étendus vers le bas, desquels jaillissent des lumières très pures qui descendent comme des rayons de cristal.
Cette jeune femme est d'une beauté extraordinaire. Maria Livia ne doute pas qu'elle soit la Bienheureuse Vierge Marie.
Cette apparition demeure à la regarder en silence ; elle a un visage d'enfant et ses yeux de couleur bleue mer sont grands et profonds ; ses caractéristiques sont si marquantes que celui qui la voit ne peut jamais l'oublier et que sa mémoire reste dans l'âme comme si elle y était imprimée.
Elle porte un vêtement d'un blanc très pur, un manteau bleu profond avec des étincelles verdâtres et un voile blanc couvre sa tête. Ses pieds nus sont appuyés sur un petit nuage qui reste à quelques centimètres du sol.
Cette jeune personne lui parle en se présentant elle-même.
Après cette expérience, Maria Livia n'a pas mangé durant trois jours et a dit qu'elle ne pouvait avaler sa salive.

En mai 1990, elle reçoit ses premières locutions. Depuis, celles-ci l’ont conduite à une vie spirituelle très profonde et beaucoup de rayonnement. En 2001, la Vierge lui a demandé de monter sur la colline du Cerro, proche de la ville, pour y prier chaque samedi. Cette prière a réuni une foule croissante qui compte, aujourd’hui, 20 à 30 000 personnes.

Carlos, son mari, parfaitement heureux dans leur ménage, eut quelque mal à accepter au fond de son cœur que Dieu compte plus que lui dans le cœur de son épouse. Mais il l’accepta finalement et se mit totalement au service de son épouse et de sa cause. Il est son défenseur efficace et c’est lui qui a fondé le groupe fervent des servidores, pour organiser ces réunions de prière massives qui durent de midi à 19 ou 20 heures. Maria Livia prie pour chaque pèlerin qui le demande, c'est à dire presque tous, chaque samedi.

Carlos a négocié l’acquisition de la colline par le carmel de Salta, avec toute l’organisation nécessaire : nivellement de larges parkings pour des centaines d’autocars et des milliers de voitures, lieu de prière à l’abri du soleil, chapelle, sans oublier des toilettes : une douzaine à la mesure de ces foules avec des servidores pour accomplir tous les services nécessaires, qu’ils font avec le sourire mais en silence, pour ne pas troubler la prière. C'est un groupe d’élite que Maria Livia forme régulièrement : beaucoup de jeunes, depuis les plus petits. Carlos s’est donné ainsi tout entier à Dieu et il a pleinement rejoint sa femme en Dieu même, dans un nouvel et suprême accomplissement de leur amour sans ombre depuis l’adolescence.

Selon les directives prudentes et réservées de Rome en ces matières, l’archevêque garde ses distances. Mais il a nommé deux commissions successives pour étudier et guider ce vaste mouvement international de prière. Chaque année, il autorise la messe le 8 décembre sur la colline. Il a reçu l’Abbé Laurentin comme expert privé au contact de la Commission.

Le message stimule la conversion des cœurs, la récitation du chapelet, le jeûne du mercredi et du vendredi, la lecture de l’Evangile, la messe et la confession fréquente. Chaque samedi, il y a des conversions nombreuses, des guérisons, des libérations y compris de cas de possession. On y voit de nombreux « repos dans l’esprit ».

La saison torride de l’été austral (janvier-mars) interrompt les samedis au Cerro, lesquels reprennent à la mi-mars. L’Abbé Laurentin est venu à Orléans présenter Maria Livia, invitée par l’association Témoins de l’Amour et de l’Espérance à la session du 1er au 4 mai 2008.

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